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Republic of Congo

Détails de l'annonce

Organisation : Avocats Sans Frontières
Site web : http://www.asf.be
Adresse email : fboniotti@asf.be
Lieu de l'emploi : Kinshasa, Goma/province du Nord Kivu /
Fichier : PDF icon appel_a_candidatures_consultant_etude_pdh_vf.pdf
Type d'emploi : Autre
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Expertise/recherche
Date de publication : 19/06/2017
Date limite : 18/06/2017

Profil

 

 Diplôme universitaire, niveau maitrise au moins ou équivalent  en droit avec une spécialisation dans le domaine des droits de l'Homme

  Expérience avérée en techniques de recherche et d’enquête qualitatives

Expérience avérée en matière d’analyse de décisions judiciaires et quasi-judiciaires au regard de leur conformité aux standards des droits humains

 Connaissance avérée des mécanismes de protection des droits humains

Connaissance approfondie du droit pénal et de la procédure pénale

  Connaissance ou expérience du système juridique et judiciaire de la RDC est un atout majeur

   Excellente capacité d’analyse et de rédaction

 Expérience professionnelle ou associative en Afrique, notamment dans la région des Grands Lacs est un plus

 Disponibilité et aptitude à travailler et à voyager en RDC

Maîtrise parfaite du français 

Description

Réaliser une étude visant à appréhender et analyser le phénomène de criminalisation des activités des défenseurs des droits de l’Homme et activistes pro-démocratie (DDH) et de l’exercice des libertés publiques en période électorale. 

Détails de l'annonce

Organisation : MEMISA
Site web : http://www.memisa.be
Adresse email : greta.desmyter@memisa.be
Lieu de l'emploi : RDC /
Type d'emploi : Contrat à durée indéterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Coordination
Date de publication : 21/11/2016
Date limite : 11/12/2016

Profil

voir dans la description de l'emploi

Description

 

Memisa Belgique est une organisation non gouvernementale de coopération au développement dans le domaine de la santé. Son but est de contribuer à l’accessibilité pour tous aux soins de santé de qualité dans les pays en développement. Les projets actuels de coopération médicale sont répartis dans 6 pays (principalement en R.D. du Congo)

 

Memisa engage un

Conseiller médical

 

Assistant Technique International Responsable Qualité* pour la RDC (H/F)

(*Quality Control & Evaluation, Research & Development)

 

Résumé du Poste

Le responsable qualité participe au développement de la stratégie médicale des interventions en RDC en collaboration avec le Conseiller médical à Bruxelles et est responsable du suivi et de l’ajustement de sa réalisation dans toutes les interventions de Memisa en RDC. Il est en particulier concerné par le développement des Zones de Santé de Démonstration. Il travaille en étroite collaboration avec les responsables des projets à Kinshasa et avec les médecins des bureaux régionaux. Il est basé à Kinshasa avec des déplacements fréquents dans les Zones de Santé (30%).

 

Fonctions

ü  Assurance qualité

ü  Représentation médicale technique de Memisa en RDC

ü  Renforcement des capacités

ü  Développement de projets

ü  Rapport des projets en RDC

ü  Innovation, Documentation et recherche

 

Liens hiérarchiques

ü  N+1 administratif : le directeur des opérations à Kinshasa.

ü  N+1 technique : conseiller médical à Bruxelles.

ü  Planifie et effectue ses activités sous l’autorité du directeur des opérations et en lien avec le conseiller médical à Bruxelles pour le contenu.

ü  Membre de l’équipe de gestion de la Coordination Nationale

ü  Collabore étroitement avec les responsables des projets à Kinshasa

ü  Appuie et supervise techniquement les médecins accompagnateurs techniques des projets

ü  Sera évalué par le directeur des opérations à Kin et par le Conseiller Médical de Bruxelles.

 

 

 

Tâches

·         Participer à l’élaboration, l’évaluation et le rapportage des Projets et Programmes en RDC (appui technique, stratégie médicale, assurance qualité)

 

·         Coordonner le développement des Zones de Santé de Démonstration (ZSD) :

o   veiller à la mise en œuvre du plan d’action détaillé par zone dans les zones de santé de démonstration

o   déterminer les besoins de renforcement de capacités et recruter les experts adéquats

o   coordonner les missions de diagnostiques, de suivi et d’évaluation

o   faire le lien et entretenir les contacts entre tous les niveaux (central, provincial et zone de santé)

o   s’assurer d’une documentation et feed-back adéquat aux autorités concernant les expériences de mise en œuvre de la SRSS

o   coordonner le volet formations médicotechniques avec Lumos et Kisantu (formations des experts de Lumos dans les Hôpitaux de démonstration, stages du personnel des ZSD à Kisantu, mission de formation des spécialistes de Kisantu dans les ZSD), avec Médecins Sans Vacances et avec d’éventuelles autres partenaires.

 

·         Concertation, harmonisation technique et assurance qualité médicotechnique

o   Organisation des réunions techniques/ thématiques pour échanges participatifs professionnels et harmonisation des instructions

o   Responsable de l’introduction des projets qualité auprès des accompagnateurs médicaux des différents niveaux (Médecins et Infirmiers dans les BAT et du BDOM partenaire)

o   Elaboration des Manuels d’exécution (technique) des Projets

o   Harmonisation des procédés et protocoles techniques

o   Identification des besoins en formations et autres activités de renforcement des capacités médicotechniques pour l’ensemble du Programme

 

·         Documentation

o   Capitalisation des expériences

o   Recherche-action autour des hypothèses d’intervention

o   Identification des opportunités de collaboration avec des chercheurs

o   Partage avec le niveau central pour alimentation de la politique nationale

 

·         Contacts techniques avec les autorités et les bailleurs (en collaboration avec le coordonnateur des projets, en se partagent les taches)

o   Participation dans des réunions de coordination et ateliers techniques organisés par les ministères, d’autres bailleurs, l’ambabel etc…

o   Donner un appui technique lors des contacts avec les Bailleurs et lors des démarches d’acquisition des Projets.

o   Entretenir les contacts avec les responsables techniques des Bailleurs et les liens avec l’administration sanitaire des différents niveaux.



Profil

ü  Médecin avec expérience clinique (de préférence récente) de minimum 3 ans

ü  Maîtrise en santé publique ou en économie de la santé

ü  Expérience internationale d’au moins 3 ans dans le renforcement des systèmes de santé; expérience en RDC et au niveau périphérique (district) est un atout.

ü  Connaissance de la problématique du développement dans son ensemble, des tendances actuelles, des méthodes et des instruments.

ü  Bonnes capacités de communication envers le public ainsi qu’au niveau des réseaux.

ü  Affinités avec les objectifs et les valeurs de Memisa

ü  Pragmatique et entreprenant, capable de travailler de manière efficace et autonome.

ü  Flexible, résistant au stress, esprit d’équipe, ouvert à d’autres cultures, esprit d’initiative.

ü  Maitrise de la langue française ; maitrise du néerlandais est un atout important.

ü  Capacité d’analyse, managériale et rédactionnelle

ü  Maîtrise de l’outil informatique


Date d’entrée en fonction

Janvier-février 2017

 

Procédure :

Veuillez nous faire parvenir votre lettre de motivation comprenant 3 références accompagnées de votre Curriculum Vitae avant le 12 décembre 2016 à l’adresse suivante :

Greta Desmyter

Memisa Belgique

Kerkstraat 63

1701 ITTERBEEK

Tél : 02/454 15 42

Greta.desmyter@memisa.be

www.memisa.be

 

Détails de l'annonce

Organisation : Coopération Technique Belge
Site web : http://www.btcctb.org
Adresse email : corine.hayez@btcctb.org
Lieu de l'emploi : Kisangani (avec fréquents déplacements à Gemena et Lisala) /
Fichier : File fr-tdr_rdc_12-179-2c-ati_insertion_professionnelle_gestion_de_centres_de_ressources.docx
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Gestion de projet
Date de publication : 28/09/2016
Date limite : 15/10/2016

Profil

Diplômes :

  • Diplôme d’études supérieures (min niveau bac+3 ou équivalence par expérience professionnelle).

 

Expérience :

  • Expérience d’au moins 5 ans dans le secteur de la formation professionnelle, de la mise en place d’Activités génératrices de revenus et/ou de l’insertion professionnelle;
  • Expérience en matière de renforcement des capacités;
  • Expérience d’au moins 3 ans dans la gestion d’un ou de plusieurs projets de coopération internationale.

Expertise technique:

  • Connaissance approfondie des principes et pratiques de gestion d’établissement de formation, de préférence dans des établissements ETFP; 
  • Connaissances des principes de gestion et d’entreprenariat
  • Capacités en gestion de projets et en management des ressources humaines (+ 10 personnes);
  • Maîtrise les outils informatiques courants;

 

Compétences :

  • Compétences en facilitation, animation d’équipe et en coaching tant d’équipes que d’individus, en particulier en milieu défavorisé ou pauvre ;
  • Bonnes aptitudes communicationnelles (de grandes facilités de présentations et d’exposés et de gestion de réunions) et le sens du ‘networking’;
  • Excellentes capacités rédactionnelles (formulation de rapports et autres documents écrits).

Compétences linguistiques:

  • Excellent niveau de français oral et écrit.

Description

L’ATI expert(e) en insertion professionnelle assure les fonctions suivantes :

 

Coaching :

  • est responsable d’une équipe d’experts nationaux répartis sur trois sites (Kisangani, Gemena et Lisala), il anime cette équipe, encourage les initiatives et assure l’échange d’expériences ;
  • renforce les structures d’appui dans leur organisation du travail et gestion d’équipe (Unité formation-emploi, AGR des centres pilotes, Centre de ressources) ;
  • organise avec les chefs d’antenne « Insertion » la création et la mise en œuvre des Unités Formation-Emploi dans chaque établissement ETFP affilié.

Réflexion stratégique et méthodologique :

  • propose et appuies des mécanismes d’observation du marché de l’emploi et d’identification d’acteurs/partenaires pour l’insertion professionnelle, l’entreprenariat et la création d’activités génératrices de revenu au niveau provincial et local ;
  • analyse les filières porteuses et propose les stratégies appropriées pour favoriser l’emploi et l’auto-emploi des jeunes, en tenant compte de l’équilibre entre les garçons et les filles ;
  • propose des mécanismes de suivi des lauréats/sortants ETFP ;
  • assure le dialogue et la concertation avec les structures provinciales et territoriales d’appui à l’insertion professionnelle ;
  • accompagne la mise en œuvre de projets d’établissements ETFP.

Partenariats Ecoles-Entreprises :

  • facilite avec les autres acteurs présents dans la province, l’accès au financement (épargne et crédit) pour les lauréats en développant et suivant la collaboration entre les établissements EFTP et les institutions de financement ;
  • assure avec les partenaires pour chaque filière, un programme de stage, d’insertion professionnelle et d’accompagnement, en rapport avec l’analyse du marché local ;
  • identifie les opportunités de formation en alternance et assure la promotion des chantiers-écoles ;
  • facilite l’implication et la contribution des artisans et entrepreneurs dans la cogestion du secteur et des établissements en tant qu’acteurs économiques organisés.

Appui aux chefs des Projets EDUT et EDU-MOSU :

  • prépare, en collaboration avec les responsables du projet, la programmation des activités incluant l’aspect financier ;
  • contribue à l’élaboration des rapports d’activités pour la thématique de l’insertion.

Détails de l'annonce

Organisation : Save the Children International (Afrique de l’Ouest et du Centre)
Site web : https://www.savethechildren.net/jobs/job-details/3327
Lieu de l'emploi : Goma /
Type d'emploi : Autre
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Autre
Date de publication : 04/09/2016
Date limite : 17/09/2016

Profil

L’équipe évaluatrice devra accomplir les critères suivants: • La personne évaluatrice devra démontrer au moins 5 ans d’expérience en évaluation de projets de développement et d’action humanitaire. • Expérience indispensable en préparation et conduite d’évaluation. • Expérience en Santé et protection de l’enfant. • Il est souhaité que l’évaluation ait une très bonne capacité d’analyse et de synthèse ainsi que la maitrise du contexte général dans la RDC et de préférence la province du Nord Kivu, • Bonne connaissance de la problématique de la protection de l’enfance, la nutrition nécessaire et expérience en évaluation dans ce domaine est un atout important. • Bonne connaissance de la langue française • Le responsable de l’évaluation devra garantir la totale indépendance de l’évaluation par rapport au projet. Pour cette raison, elle ne pourra pas avoir été impliquée ni dans la conception du projet ni dans sa mise en œuvre.

Description

Cette activité intervient à l’issue de la 6e phase du projet OFDA mis en œuvre par SCI dans les Zones de Santé de Masisi, Mweso et Birambizo en partenariat avec le ministère de la sante publique de la RDCongo, il s’est concentré sur les secteurs suivants : le contrôle des maladies transmissibles, l'éducation pour le changement de comportement de santé, le système de santé et la santé générale, les médicaments et équipements médicaux et la santé reproductive. Il a également mis en œuvre des interventions nutritionnelles dans tous les centres de santé appuyés afin de fournir le paquet minimum d'activités de soins de santé primaires au niveau du centre de santé conformément aux directives nationales. Save the Children devrait documenter et consolider les leçons apprises lors de la mise en œuvre afin d'assurer les meilleures pratiques et de se concentrer sur le renforcement des systèmes de gestion des approvisionnements existants et les pratiques de supervision pour assurer la supervision formative aux partenaires afin d'assurer la qualité des services dans les structures ciblées et des interventions communautaires. L’évaluation devra aider à ressortir ces informations afin de relever la contribution que le projet a pu apporter au sein de la communauté bénéficiaire. Quant à l’enquête CAP, elle devra aider à ressortir le niveau actuel de la connaissance, de l’attitude et de la pratique des bénéficiaires après la mise en œuvre du projet OFDA6. 2.1. Objectifs  Evaluation du processus : • Passer en revue les activités mises en œuvre, Identifier tous les problèmes liés à la planification, à la mise en œuvre, au monitoring et aux différents outils de gestion opérationnelle mis en œuvre ; • Analyser les forces et faiblesses des stratégies d’intervention mises en œuvre ;  Evaluation de résultats et d’impact • Evaluer qualitativement et quantitativement le niveau d’appropriation des connaissances, des attitudes et des pratiques des populations cibles à travers la réalisation d’une enquête selon une méthodologie appropriée en termes de planning, collecte et d’analyse des données qui doit impérativement inclure les éléments ci-après ;  Le pourcentage de membres de la communauté qui pratiquent les messages clés d’éducation à la santé (pratiques clés familiales).  Le pourcentage d’enfants sous 5 ans et femmes ayant accouchée les derniers 12 mois qui ont reçu une moustiquaire au cours de Consultation Préscolaire ou Consultation Prénatale ainsi que son utilisation à domicile.  Capitalisation de l’évaluation • Identifier les bonnes pratiques et les leçons apprises liées à cette intervention. • Identifier également des éléments à capitaliser durant le processus d’évaluation Cet état des lieux servira plus tard à des planifications futures afin d’estimer l’impact des actions de sensibilisation menées au cours des actions de Save the Children. 2.2. Couverture de l’évaluation La couverture géographique de l’évaluation comprend le territoire de Masisi (ZS Masisi et Mweso) et Rutshuru (ZS Birambizo/Kibirizi). 2.4. Objectifs Recueillir les données permettant de cerner les causes du problème de santé dans les zones de santé ciblées par le projet OFDA6. 2.5. Objectifs spécifiques  Mesurer les connaissances, attitudes et pratiques prévalant au sein des familles et communautés en matière de nutrition et alimentation, soins de santé primaires pour la femme enceinte et le nourrisson, accès aux soins de santé pour le jeune enfant ;  Identifier les déterminants comportementaux dans les domaines précités ;  Identifier les facteurs socioculturels (tabous, interdits alimentaires et les pratiques traditionnelles), démographiques, économiques, éducatifs qui y sont associés qu'ils soient au niveau de l'individu, du ménage, de la famille ou de l'ensemble de la communauté ;  Identifier les facteurs (positifs et négatifs) et les personnes clés qui favorisent, renforcent ou retardent la pratique des comportements appropriés ;  Evaluer qualitativement et quantitativement le niveau d’appropriation des connaissances, des attitudes et des pratiques des populations. La collecte et l’analyse des données doit impérativement prendre en compte les éléments ci-après : - Le nombre et le pourcentage d’enfants de 6-24 mois qui reçoivent la nourriture en utilisant les 4 groupes d’aliments ou plus chaque jour (diversité d’alimentation) ; - Le nombre et le pourcentage d’enfants 0-6mois sous allaitement maternel exclusif ; - Le nombre et le pourcentage de membres de la communauté qui pratiquent les messages clés d’éducation à la santé (pratiques clés familiales). - Le pourcentage d’enfants de moins de 5 ans et femmes ayant accouchées les derniers 12 mois qui ont reçu une moustiquaire au cours de CPS ou CPN ainsi que son utilisation à domicile. - Les barrières au niveau des communautés en rapport avec la consommation de différents groupes d’aliments (les habitudes alimentaires). 2.6. Couverture de l’évaluation La couverture géographique de l’évaluation comprend le territoire de Masisi (ZS Masisi et Mweso) et Rutshuru (ZS Birambizo). 3.1. Approche globale Le/la consultant(e) proposera dans son offre technique et financière, la démarche qu’il adoptera pour pouvoir atteindre les objectifs énumérés au 2e point qui devra impérativement inclure la participation des enfants. De plus, l’évaluation devra contempler une analyse du projet de l’approche Do No Harm et Peace and Conflict Impact Assessment (PCIA). Il s’agira d’apprécier l’intégration ou non de ces instruments dans l’intervention sujette à l’évaluation. Save the Children se réserve le droit de valider la note méthodologique proposée par le consultant avant la mise en œuvre de l’activité. La méthodologie proposée par le consultant devra garantir la participation des différents acteurs impliqués de manière directe ou indirecte dans le projet ainsi que le respect des droits des personnes à délivrer des informations tout en étant protégées par l’anonymat et la confidentialité tout au long du processus de collecte de données. De même, le contexte socioculturel devra être respecté ainsi que la garantie de démontrer la véracité de l’information. L’équipe évaluatrice devra adhérer au code de protection de l’enfance de Save the Children et intégrer ses principes dans sa méthodologie de travail. De plus, la personne responsable de l’évaluation et de l’enquête CAP devra faire une prévision des risques et garantir la sécurité de tous les acteurs qui participent à l’évaluation : les bénéficiaires directs et indirects ainsi que les évaluateurs eux-mêmes, et tout particulièrement la sécurité des enfants et adolescents impliqués dans le projet et/ou dans le processus de l’évaluation. 3.2. Critères d’évaluation et questions clés L’évaluation de l’atteinte des résultats se fera suivant les indicateurs de la matrice d'intervention. Si le chargé de l’évaluation le juge nécessaire, il pourra définir de nouveaux indicateurs de mesure quantitatifs et qualitatifs pour les différents critères l’évaluation énumérés ci-dessous. Pertinence : Adéquation des résultats et des objectifs de l’intervention au contexte dans lequel elle se réalise. Grâce à cette analyse de pertinence, la qualité du diagnostic qui soutient l’intervention sera étudiée. - Le projet ou programme était-il approprié pour le contexte dans lequel il a été mis en œuvre ? - Dans quelle mesure a-t-il pris en compte les différents besoins des personnes concernées en fonction de leur âge, sexe, appartenance ethnique et autres identités sociales ? Comment le projet ou programme a-t-il été adapté pour répondre à ces différents besoins ? - Comment le projet ou programme a-t-il veillé à écouter le point de vue des enfants et à le refléter aussi bien dans les activités du projet que, plus largement, dans nos relations avec les gouvernements et autres parties prenantes ? L’intervention correspond aux priorités et nécessités des institutions, populations et partenaires locaux ? - Les priorités des institutions et populations bénéficiaires ont-elles changé depuis le démarrage du projet ? Dans le cas d’une réponse affirmative, comment la programmation et l’exécution de l’intervention se sont adaptées aux dits changements ? - Le contexte institutionnel dans lequel se déroulent les activités va-t-il changé ? Dans le cas d’une réponse affirmative, comment la programmation et l’exécution de l’intervention se sont adaptées aux dits changements ? - Une stratégie de sortie a-t-elle été définie et ce prenant en compte les spécificités du contexte ? Cohérence : Niveau d'analyse de la conception de l’intervention - Les problèmes identifiés au départ étaient en ligne avec les stratégies locales, nationales et régionales existantes ? - Le projet était intégré aux stratégies locales, nationales et régionales existantes ? - La structure des objectifs, résultats et activités de l’intervention-t-elle été correctement définie ? - Les activités programmées ont elle été adéquates pour atteindre les objectifs de l’intervention tant au niveau du projet qu'au niveau de chaque résultat ? - La conception du projet est-elle adéquate ? Si elle ne l’est pas, s’est-elle adaptée et améliorée ? Existe-t-il une enquête de base ? - Le suivi établi par Save the Children est-il adéquat pour l’exécution correcte du projet ? Les mesures de contrôle financier et technique vis-à-vis du partenaire ont-elles été suffisantes dès la phase de conception du projet ? L’adaptation de ces mesures aux problèmes d'exécution financière survenus en cours de projet s’est-elle faite de manière adéquate ? Couverture : Analyse de l’impact de l’intervention en termes de quantité et de typologie des bénéficiaires directs et indirects. - Tous les groupes cibles ont-ils bénéficié du projet ou programme ? - Y a-t-il eu des contraintes sur le plan de l’accès aux services ou aux articles fournis par le projet ou le programme ? - Notre travail a-t-il abouti à des projets, programmes et/ou politiques plus équitables et non discriminatoires pour les enfants et les jeunes aux niveaux national, régional et mondial ? - Quels sont les bénéficiaires réellement touchés par le projet ? Sont-ils les bénéficiaires initialement prévus ? - Le nombre de bénéficiaires réels du projet correspond-il au nombre de bénéficiaires prévus ? - Quels acteurs ont-ils participé à chaque phase du projet et dans quelle mesure ? - Dans quelle mesure les bénéficiaires du projet ont-ils participé et leur point de vue a été pris en compte dans la prise de décision ? - Efficacité : Évaluation du degré d'atteinte des objectifs initialement prévue, c'est à dire, le jugement de l’intervention en fonction de son orientation aux résultats. - Tous les résultats prévus ont-ils été atteints ? - L’objectif spécifique de l’intervention peut-il être respecté par rapport aux résultats prévus ? - D’'autres effets non prévus ont-ils été atteints dans l’exécution ? Décrivez-les. - Les bénéficiaires ont-ils rencontré des difficultés pour accéder aux activités de l’intervention? - Save the Children et/ou ses partenaires ont-ils mis en œuvre le projet ou programme comme il était prévu et dans le cas contraire, pourquoi ? Un projet ou programme particulier a-t-il engendré un changement particulier dans la vie des enfants ou d’autres personnes, que ce soit sur le plan de leur état physique ou de leur situation sociale, des résultats de notre travail sur la santé, l’éducation, la nutrition ou la protection, ou d’autres indicateurs de succès ? Ce changement était-il significatif et comment s’est-il produit ? - Quel(s) élément(s) du projet ou programme ont occasionné ce changement ? - Si votre projet ou programme a essayé une nouvelle méthodologie ou approche, quel en a été le résultat ? Quel enseignement en a-t-on tiré et quelles recommandations ont été faites ? - Sur quelle base la population de bénéficiaires a-t-elle été sélectionnée ? D’autres groupes démographiques auraient-ils pu être inclus pour que le projet ait un plus grand impact ? - Les partenariats étaient-ils appropriés ? Ont-ils été gérés avec efficacité ? Efficience : Évaluation des résultats atteints en comparaison avec les ressources employées. - Dans quelle mesure l’usage des ressources financières dans l’obtention des résultats a été efficient ? - Le chronogramme d'activité est-il adéquat à la mise en œuvre du projet ? - Y a-t-il eu flexibilité pour adapter le projet à un contexte changeant ? - Dans quelle mesure la collaboration institutionnelle et les mécanismes de gestion articulés ont contribué à atteindre les résultats de l’intervention ? - Quelle a été la méthodologie utilisée pour la gestion technique et administrative ? L’évolution de cette méthodologie au cours de la 2e phase d'exécution du projet a-t-elle permis une utilisation des ressources humaines et financières plus efficiente ? - Quel est le rapport coût-résultats du projet ou programme ? - Aurait-on pu obtenir les mêmes résultats avec des ressources moins importantes ? - Comment a-t-on partagé les connaissances ? Impact : Effets de l’intervention. - L’intervention a-t-elle contribué à atteindre l’objectif global et spécifique ? - Quels effets ont été provoqués par le projet, sur les bénéficiaires, les institutions partenaires, les enfants mais également sur les autres collectifs non bénéficiaires directes du projet ? - Les effets négatifs ont-ils été identifiés ? - Des effets positifs ou négatifs non attendus se sont-ils produits ? - Quels sont les effets non prévus du projet ou programme et comment ont-ils influencé les résultats ? - Le projet ou programme fonctionnera-t-il dans un contexte différent ? Qu’arriverait-il si nous l’intensifiions dans un contexte plutôt que dans un autre ? - Avons-nous créé de nouvelles solutions aux problèmes rencontrés par les enfants et sont-elles innovatrices, fondées sur des données probantes et reproductibles ? Avons-nous prouvé leur efficacité en travaillant avec d’autres acteurs ? Partageons-nous ces solutions de manière efficace pour obtenir le plus grand impact pour les enfants ? - Durabilité : Valorisation de la continuité dans le temps des effets positifs engendrés par l’intervention une fois que l’aide soit retirée. - Les changements occasionnés par le projet ou programme dureront-ils au-delà de la durée du programme ? - Le projet ou programme nous a-t-il permis de tirer parti de nos connaissances et de nos interventions pour garantir un impact durable à grande échelle pour les enfants ? - Comment le projet ou programme a-t-il collaboré avec les partenaires locaux pour augmenter leurs capacités de manière durable ? Existe-t-il des preuves que les changements identifiés dans le projet sont durables ou tendent à l’être? - Le partenaire a-t-il les capacités de gestion pour donner continuité aux résultats du projet terminé? - -Y a-t-il eu une influence positive sur les capacités institutionnelles ainsi que sur la volonté politique d'intégrer la protection des droits des enfants dans son agenda politique ? - Les populations bénéficiaires, particulièrement les plus vulnérables, pourraient-elles continuer à bénéficier des améliorations induites par le projet ? - Le rôle de Save the Children dans les processus de renforcement institutionnel est-il le plus adéquat ? - Quel niveau de participation à Save the Children à la RDC dans la prise de décision ? - Les politiques de protection des enfants font-elles partie de l’agenda politique aux différents niveaux décisionnels (local, régional, national) - Quels sont les risques/menaces liés au maintien des résultats positifs obtenus ? Aspects méthodologiques système suivis et évaluation : autres aspects de l’intervention. - Le système d'indicateurs prédéfini a -t-il été efficace ? - Les sources de vérification ont- elles été bien identifiées ? - Les méthodes de compilation et analyses des données ont- elles été appropriées ? - Les facteurs externes ont-ils été correctement identifiés ? Le/la consultant(e) proposera dans son offre technique et financière, la démarche qu’il adoptera pour pouvoir atteindre les objectifs énumérés dans le point 2 de ce document. Il est essentiel pour SCI que la méthodologie choisie par l’équipe évaluatrice intègre l’approche par le Droit et notamment des Droits de l’Enfance, et favorise dans la mesure du possible la participation des enfants. Il faudra donc utiliser une méthodologie qui intègre cette approche spécifique. De plus, l’évaluation devra contempler une analyse du projet depuis les perspectives de Do No Harm et Peace and Conflict Impact Assessment (PCIA). Il s’agira d’apprécier l’intégration ou non de ces instruments dans l’intervention sujette à l’évaluation. 3.3. Participation des enfants. Notre travail, en tant qu’organisation, prend appui sur la Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant (CDE). Ce cadre d’orientation énonce plusieurs raisons clés d’obtenir la participation utile des enfants et des jeunes aux évaluations que nous effectuons. Ils ont un droit inhérent à prendre part aux activités d’évaluation parce que le projet ou le programme porte sur des « questions qui intéressent l’enfant » (Article 12). Il est essentiel que vous permettiez aux parties prenantes de tous âges de participer à l’évaluation. (Une partie prenante est toute personne ou organisation, externe ou interne, qui a un intérêt dans notre projet ou programme.) Vous devez également considérer comment les enfants et les jeunes - nos parties prenantes clés - peuvent jouer un rôle utile à toutes les étapes du processus de votre évaluation. Ce manuel comprend de nombreux exemples de la façon de procéder pour assurer un grand nombre de moyens créatifs, adaptés à l’âge des enfants, d’impliquer les enfants et les jeunes. Obtenir la participation d’un large éventail de parties prenantes à l’évaluation permet l’adhésion au processus et encourage la responsabilité. Cela permet également de renforcer les capacités locales et de tirer un grand nombre d’enseignements pouvant réellement être utilisé pour améliorer les activités, systèmes et processus. Normes pratiques de la participation des enfants Norme 1 – Une approche éthique : transparence, franchise et responsabilité Norme 2 – La participation des enfants est pertinente et volontaire Norme 3 – Un environnement adapté à l’enfant et dans lequel il dispose des moyens de participer Norme 4 – L’égalité des chances Norme 5 – Le personnel est efficace et sûr de lui Norme 6 – La participation encourage la sécurité et la protection des enfants Norme 7 – Le suivi et l’évaluation Chaque norme expose les critères pouvant être utilisés pour évaluer si la norme est respectée. Les normes 1, 2 et 7 soulignent plus particulièrement le fait que les enfants doivent participer au suivi et à l’évaluation dans le cadre d’un processus global et non pas uniquement en tant qu’informateurs. Défense des enfants La sécurité et le bien-être des enfants doivent toujours primer. Les enfants et les jeunes ne doivent être exposés à aucun risque, que ce soit un risque psychologique (comme la honte ou la peur), social (menaçant leurs relations familiales/communautaires), politique (discrimination, menaces ou violence en raison de leur situation ou de leur action, par exemple être affectés par les forces ou groupes armés) ou physique (maltraitance ou violence). Les activités d’évaluation doivent procurer un espace sûr et créatif dans lequel les enfants auront le sentiment que leurs opinions et leurs idées sont importantes. Tous les membres du personnel, les partenaires et les consultants doivent adhérer à la politique de défense des enfants et au Code de bonne conduite de Save the Children. Les responsables doivent fournir une formation et prendre toutes les autres mesures nécessaires pour identifier, atténuer et gérer les risques pour la sécurité et le bien-être des enfants. Les membres du personnel devront être prêts à soutenir un jeune qui choisit de révéler un cas d’abus ou de signaler une inquiétude dans le cadre d’une activité ou une discussion d’évaluation. Ils devront envisager le potentiel de ce type de révélation, surtout si son contenu est de nature délicate. 4. Phases de l’evaluation A. Evaluation 1ère phase - Préparation de l’évaluation : - Définition du plan de travail - Finalisation de la méthodologie - Établissement des critères l’évaluation 2ème phase - Réalisation de l’étude d’évaluation : - Revue documentaire - Travail de terrain - Analyse de résultats - Rédaction du rapport préliminaire l’évaluation 3ème phase – Gestion des apprentissages de l’évaluation - Triangulation des résultats : tout résultat, fruit de l’évaluation, devra provenir d’au moins 3 sources différentes de façon à garantir sa véracité. - Restitution des résultats avec l’équipe de Save the Children, les partenaires et les bénéficiaires y compris les enfants. - Rédaction du rapport de l’évaluation avec les conclusions et recommandations pertinentes. B. Enquête CAP 1ère phase – Préparation : - Définition du plan de travail - Finalisation de la méthodologie (Techniques et échantillon d’étude) 2ème phase - Réalisation de l’enquête : - Travail de terrain - Analyse de résultats 3ème phase – Rapportage - Restitution des résultats avec l’équipe de Save the Children, les partenaires et les bénéficiaires y compris les enfants. - Rédaction du rapport de l’évaluation avec les conclusions et recommandations pertinentes. Chaque produit devra être approuvé par les responsables de l’évaluation afin d'assurer leur qualité. Avant de pouvoir procéder à l’étape suivante, il faudra impérativement que les produits attendus de l’étape précédente soient jugés satisfaisants par l’équipe de Save the Children qui supervise le processus l’évaluation. 5. Processus de l’évaluation Le consultant qui sera sélectionné aura les documentations du projet (cadre logique, proposition du projet, IPTT (Indicator Performance Tracking Tools), DIP (Détailed Implémentation Plan) pour bien conduire l’évaluation. L’évaluation sera conduite dans 13 aires de santé réparties dans 3 Zones de sante du projet (Masisi, Mweso, Birambizo/Kibirizi). Le consultant proposera un calendrier prenant en compte toutes les étapes de l’évaluation. 6. Organisation de l’évaluation • L’évaluateur/ évaluatrice: Il sera responsable de la bonne mise en œuvre de l’évaluation et de la production des outils de l’évaluation ainsi que le rapport attendu • La coordination MEAL et le Programme Manager assureront un suivi direct du processus de l’évaluation, fourniront les coordonnées des personnes clés pour l’évaluation et la documentation nécessaire demandée par l’équipe évaluatrice, superviseront la qualité du rapport attendu (intermédiaire et final), le respect des temps établis dans ces termes de référence et dans le plan de travail, et enfin ils se chargeront du plan de communication et diffusion des résultats, conclusions et leçons apprises de l’évaluation. 7. Principes d’évaluation Le responsable de l’évaluation devra suivre les principes de la pratique l’évaluation. Ces principes seront respectés tout au long de la réalisation de l’évaluation externe: - Anonymat et confidentialité: le responsable de l’évaluation devra respecter le droit des personnes et maintenir l’anonymat des acteurs qui participent à l’évaluation ainsi que la confidentialité quant à leurs opinions. - Responsabilité: le responsable de l’évaluation devra agir avec pleine responsabilité et assumer les conséquences qui découlent des résultats de l’évaluation. - Intégrité: le responsable de l’évaluation devra être méticuleux pendant tout le processus l’évaluation et révéler toute l’information qui découle de l’étude l’évaluation. - Respect: le responsable de l’évaluation devra comprendre et respecter le contexte local et la réalité socioculturelle et institutionnelle de la zone d’étude. - Impartialité: le responsable de l’évaluation devra être objectif et rigoureux dans le développement de l’évaluation, éviter les préjudices et vérifier l’exactitude des affirmations. - Incidents: dans le cas où apparaitraient des problèmes pendant la réalisation du travail de terrain ou dans une autre phase l’évaluation, ceux-ci devront être immédiatement communiqués à Save the Children. Dans le cas contraire, l’existence des dits problèmes ne pourront en aucun cas être utilisés pour justifier la non-obtention des résultats attendus par Save the Children dans les présents termes de référence. - Validation de l’information: Il revient au responsable de l’évaluation de garantir la véracité de l’information collectée pour l’élaboration des rapports, et en dernière instance, il sera responsable de l’information présentée dans le rapport l’évaluation. 8. Chronogramme et les livrables Le consultant proposera un chronogramme prenant en compte toutes les étapes de cette évaluation et de l’enquête. Il est attendu qu’il puisse produire les documents suivants : A. Evaluation : a) Plan de travail: Ce document concrétise la méthodologie de l’évaluation et temporalise les étapes de l’évaluation et planifie le travail de préparation, le travail de terrain, d’analyse et de rédaction. Ce produit sera remis à Save the Children une semaine après la sélection de l’équipe évaluatrice. b) Plan de travail détaillé: Il détaillera les outils prévus pour la récolte des données et la matrice l’évaluation. Ce produit sera remis à Save the Children deux semaines après la sélection de l’équipe évaluatrice. c) Rapport du travail de terrain: Ce rapport contiendra une première analyse issue du travail de terrain indiquant les principaux incidents rencontrés, l’adéquation avec le planning et les objectifs initialement prévus et les perceptions personnelles quant à la récolte des données et leur fiabilité. Ce produit sera remis à Save the Children 1 semaine maximum après la fin de l’étude de terrain. Soumission du travail de terrain. d) Rapport d’étude l’évaluation préliminaire: Ce rapport devra contenir les aspects clefs de l’évaluation réalisée. Save the Children pourra être amené à faire les commentaires opportuns sur ce rapport afin d’arriver à un consensus quant à la qualité de celui-ci attachant une attention particulière à la cohérence entre les données, les conclusions et les recommandations suggérées. Afin de garantir l’indépendance de l’évaluateur, Save the Children ne discutera pas le contenu même de l’évaluation et en cas de divergences quant aux conclusions, celles-ci pourront être reflétées dans une annexe à part. Il est possible que ce processus génère plusieurs versions du même rapport. Ce produit sera remis à Save the Children trois semaines après la soumission du rapport du travail de terrain. e) Restitution des résultats avec l’équipe de mise en œuvre de Save the Children, les partenaires et les bénéficiaires : Ce restitution doit être faite avant de fournir le rapport final pour assurer que les résultats trouvés dans l’évaluation sont corrects et que les partenaires et les bénéficiaires sont au courant et d’accord avec les informations trouvées sur le terrain. f) Rapport d'étude l’évaluation final : Ce document définitif devra répondre à toutes les questions posées par le responsable de l’évaluation. Il contiendra les leçons apprises, les conclusions, les recommandations. Il sera accompagné d'un résumé exécutif qui contiendra les leçons apprises, les conclusions, les recommandations. Le contenu du rapport est le suivant : 1. Description général 1.1 Brève description du contexte dans lequel le projet s’est développé 1.2 Objectifs d'évaluation 1.3 Sommaire exécutif de résultats 1.4 Description résumé du projet 1.5 Objectifs du projet. Cadre logique 2. Méthodologie 2.1 Acteurs / Contacts interviewé et sites visités. 2.2 Approche par acteur / groupe 2.3 Processus interne de l’équipe évaluateur 2.4 Contraintes / Limites 2.5 Analyse d’information collectée. 3. Analyse et conclusions des activités, la mise en œuvre, suivi et correction. 4. Conclusions 4.1 Chronogramme/Exécution des activités prévues. 4.2 Pertinence 4.3 Efficacité 4.4 Efficience 4.5 Redevabilité 4.6 Cohérence 4.7 Impact 4.8 Couverture 4.9 Durabilité 4.10 Suivi 5. Recommandations selon les critères 8.1. Pertinence 8.2. Efficacité 8.3. Efficience 8.4. Redevabilité 8.5. Cohérence 8.6. Impact 8.7. Couverture 8.8. Durabilité 8.9. Suivi 6. Leçons apprises. 7. Analyse SWOT. 8. Recommandations généraux. 9. Conclusions. Ce produit sera remis à Save the Children une semaine après soumission du rapport d'étude l’évaluation préliminaire. Ce délai pourra être rallongé en fonction de la quantité des ajustements et corrections nécessaires pour l’obtention d'un rapport de qualité acceptable aux yeux de Save the Children. Tous les rapports seront accompagnés de documents annexes contenant les sources de vérification de l’atteinte des indicateurs posés: bases de données, photographies, nombre de participants aux activités, etc. B. Enquête CAP a) Plan de travail : Ce document concrétise la méthodologie de l’évaluation et temporalise les étapes de l’évaluation et planifie le travail de préparation, le travail de terrain, d’analyse et de rédaction. Ce produit sera remis à Save the Children une semaine après la sélection de l’équipe évaluatrice. b) Plan de travail détaillé : Il détaillera les outils prévus pour la récolte des données et la matrice l’enquête. Ce produit sera remis à Save the Children deux semaines après la sélection de l’équipe évaluatrice. c) Rapport du travail de terrain : Ce rapport contiendra une première analyse issue du travail de terrain indiquant les principaux incidents rencontrés, l’adéquation avec le planning et les objectifs initialement prévus et les perceptions personnelles quant à la récolte des données et leur fiabilité. Ce produit sera remis à Save the Children 1 semaine maximum après la fin de l’étude de terrain. Soumission du travail de terrain. d) Rapport préliminaire de l’enquête : Ce rapport devra contenir les aspects clefs. Save the Children pourra être amené à faire les commentaires opportuns sur ce rapport afin d’arriver à un consensus quant à la qualité de celui-ci attachant une attention particulière à la cohérence entre les données, les conclusions et les recommandations suggérées. Afin de garantir l’indépendance de l’évaluateur, Save the Children ne discutera pas le contenu même de l’évaluation et en cas de divergences quant aux conclusions, celles-ci pourront être reflétées dans une annexe à part. Il est possible que ce processus génère plusieurs versions du même rapport. Ce produit sera remis à Save the Children trois semaines après la soumission du rapport du travail de terrain. e) Restitution des résultats avec l’équipe de mise en œuvre de Save the Children, les partenaires et les bénéficiaires : Cette restitution doit être faite avant de fournir le rapport final pour assurer que les résultats corrects et que les partenaires et les bénéficiaires sont au courant et d’accord avec les informations trouvées sur le terrain. f) Rapport : Ce document définitif devra répondre à toutes les questions posées par le responsable de l’évaluation. Il contiendra les leçons apprises, les conclusions, les recommandations. Il sera accompagné d'un résumé exécutif qui contiendra les leçons apprises, les conclusions, les recommandations. Le contenu du rapport est le suivant : 1. Description général 1.6 Brève description du contexte dans lequel le projet s’est développé 1.7 Objectifs 1.8 Sommaire exécutif de résultats 1.9 Description résumé du projet 1.10 Objectifs du projet. Cadre logique 2. Méthodologie 2.6 Acteurs / Contacts interviewé et sites visités. 2.7 Approche par acteur / groupe 2.8 Processus interne de l’équipe évaluateur 2.9 Contraintes / Limites 2.10 Analyse d’information collectée. 3. Analyse des connaissances, Attitudes et pratiques des bénéficiaires. 4. Conclusions ; 5. Recommandations Leçons apprises ; 6. Analyse SWOT ; 7. Recommandations généraux. 8. Conclusions. Ce produit sera remis à Save the Children une semaine après soumission du rapport préliminaire. Ce délai pourra être rallongé en fonction de la quantité des ajustements et corrections nécessaires pour l’obtention d'un rapport de qualité acceptable aux yeux de Save the Children. Tous les rapports seront accompagnés de documents annexes contenant les sources de vérification de l’atteinte des indicateurs posés : bases de données, photographies, nombre de participants aux activités, etc. 9. Dissémination En RDC, les résultats de cette évaluation et de cette enquête seront partagés lors d’une séance de restitution avec le Field Manager, l’équipe de Save the Children, les partenaires ainsi que quelques représentants des bénéficiaires du projet. Le rapport final sera partagé avec le bailleur de fond (OFDA), les représentants du gouvernement et si possible directement aux enfants qui ont bénéficié du projet. Le rapport sera partagé avec la coordination MEAL qui est responsable pour assurer la qualité de rapport d’évaluation et partager les leçons apprises entre nos programmes à travers le monde et les différentes équipes d’appui.

Détails de l'annonce

Organisation : Save the Children International (Afrique de l’Ouest et du Centre)
Site web : https://www.savethechildren.net/jobs/job-details/3218
Lieu de l'emploi : Goma /
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Gestion de projet
Date de publication : 18/07/2016
Date limite : 31/07/2016

Profil

• EiE expert with INEE and GCPEA specialisms • Minimum of 5 years of relevant field experience of these approaches with an international humanitarian aid organization, preferably within the Central and/or East Africa context. Experience in Eastern DRC will be an asset. • Fluency (oral and written) in English and French are required. Swahili language skills are an asset. • Demonstrated experience in budget management • Creative and innovative approach to design and deliver effective training interventions. • Demonstrated success in providing hands-on training and technical assistance to education providers • Able and willing to travel and spend time to remote and insecure locations.

Description

Contract Length: 12 months Role: The Project Manager will be responsible for providing technical and managerial oversight of the existing education projects in PNK and for the further development and expansion of the education portfolio in partnership with SC Norway and other supporting members. This includes: - Ensuring an excellent of delivery of Education in Emergencies (EiE) which focuses on the contextualisation and implementation of the Inter-agency National Eduction in Emergences (INEE) guidelines, as well as safe access to quality primary education and Schools as Zones for Peace (SZOP) which focuses on the contextualisation and implementation of Global Coalition to Protect Education from Attack (GCPEA) guidelines within 30 schools and communities. - Representation of and raising the profile of SC education with the province including to partners and the Cluster - Develop strong relationships with the funding member, SC Norway, across technical advisors, award management and the SMT, as necessary, to ensure effective program delivery - Mapping of technical best practices, tools used, lessons learnt and effectively share with partners and global program coordination team to inform program planning and implementation worldwide KEY AREAS OF ACCOUNTABILITY: Programme management and quality • Assume a leadership role in planning, coordination, implementation, reporting and the monitoring and evaluation (M&E) of project activities for EiE and SZOP • Work in consultation with the field teams to develop quarterly and annual work plans • Provide technical oversight of project activities to ensure the delivery of quality of education • In close collaboration with the MOE, supervise the M&E and supervision process for optimal performance of teachers, directors and other staff in targeted schools • In coordination with the team, carry out quarterly program performance monitoring visits to provide continuous strategic and technical direction to field staff, implementing partners and program beneficiaries • Work with the supply chain to ensure accurate forecasting, timely contracting and procurement of supplies, commodities and equipment in line with project needs and SCI norms. • Work with all local and international education partners to share information and best practices • Coordinate and actively engage with SCN technical advisor to ensure mapping of best practices and lessons including the incorporation of lessons learnt into future activities • Prepare project’s reports to a high quality and in a timely manner • Represent SC in appropriate coordination forums (Cluster and others) with partners, beneficiaries and local authorities and with with Education partners (including Officials from the Ministry of Education and Ministry of Social Welfare) in close cooperation with the Field Manager Budget Follow Up and Monitoring • Liaise with the finance team to ensure that accurate project expenditure reports are produced monthly and disseminated to the relevant staff. • Review project budget on monthly basis to ensure that expenses have been correctly allocated, spending is on-track and budget is re-phased for the following reporting period. • Ensure compliance to donor’s rules and regulations at financial level and also on programmatic and technical aspects of the project. Staff and Partners’ Capacity Building and Management • Participate in the recruitment of the project’s staff. • Lead, manage and motivate direct reports, ensure they have clear objectives and receive meaningful feedback on their performance regularly • Create and maintain a cooperative and positive working environment where education staff have clear roles and responsibilities, participate in decision making and are supported in progressing towards their personal development objectives • Ensure that program staff is kept abreast of current educational issues, trends and education policy in the country • Comply with and ensure compliance to all relevant Save the Children policies and procedures with respect to child protection, health and safety, equal opportunities and other relevant policies • Provide technical and strategic guidance for supportive approaches to apply and scale up education interventions within the PNK education program as well as at a national level • Provide capacity building for the project team and develop or adopt relevant training curricula, standard operating procedures, IEC materials and job aides for education • Supervise the coordination and planning for programme-related trainings Advocacy • In coordination with the Field Manager, represent Save the Children with local authorities, donors and members of the humanitarian community. • Represent Save the Children in provincial cluster meetings and others relevant meetings • Regularly share materials aimed at informing advocacy and communication initiatives • Contribute to advocacy and research initiatives Field Management Team • Be a proactive and engaged member of the Field Management Team • In collaboration with the FMT ensure a productive working environment and strong collaboration across all program and support teams • Manage needs assessments in education and lead the development of the Education component of Petit Nord-Kivu Emergency preparedness plan • Working in coordination with Program Quality and Development teams lead on proposal development for education and work in partnership with health and child protection for holistic proposals • Be the technical reference person for education program in PNK. • Advocate for the importance of education in emergency and post-emergency settings

Détails de l'annonce

Organisation : Handicap International Belgium
Site web : http://www.handicapinternational.be
Lieu de l'emploi : Goma /
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Coordination
Date de publication : 25/08/2016
Date limite : 01/09/2016

Profil

 PROFIL RECHERCHE

Formation : 

- Formation initiale généraliste : Master Humanitaire, Master en Monitoring et Evaluation, formation en contrôle de la qualité des projets

- Formation gestion de projet

 

Expérience : 

- Minimum 2 ans d’expérience dans la gestion de programmes humanitaires d’urgence

- Forte expérience de reporting bailleur indispensable

- Expérience de gestion d’équipes et de projets à distance 

- Connaissance des bailleurs PAM, Unicef, ECHO est un plus

 

Connaissances complémentaires :

- Maîtrise totale de l’environnement Windows et de MS Office 

- Maîtrise du français et de l’anglais obligatoire 

- Grande capacité rédactionnelle 

 

Qualité personnelles: 

- Grande capacité d’analyse

- Capacité d’encadrement et d’accompagnement

- Capacité de représentation

- Capacité à travailler sous pression et dans un contexte d’insécurité

- Sens des priorités et des responsabilités, forte capacité organisationnelle

- Force de propositions

- Autonome et sens du travail en équipe

- Motivation sincère pour l’engagement humanitaire

- Sens de l’humour

- Capacité d’écoute

Description

PRESENTATION DE L’ONG

 Handicap International est une organisation de solidarité internationale indépendante et impartiale, qui intervient dans les situations de pauvreté et d’exclusion, de conflits et de catastrophes. Œuvrant aux côtés des personnes handicapées et des populations vulnérables, elle agit et témoigne, pour répondre à leurs besoins essentiels, pour améliorer leurs conditions de vie et promouvoir le respect de leur dignité et de leurs droits fondamentaux.

 

Pour plus d’information sur l’association :

http://www.handicap-international.fr/

 

Présente dans plus de 55 pays, Handicap International est composée de 2 directions opérationnelles :

- La Direction de l’Action Humanitaire (DAH)

- La Direction d’Action du Développement (DAD)

CONTEXTE DE LA MISSION

 

L’historique d’Handicap International en RDC remonte à 1995.

 

Depuis janvier 2009, un projet de plateforme logistique vient en soutien aux opérations d'urgence en faveur des populations affectées par la crise dans toute la province du Nord Kivu. Début 2011, une base a été ouverte à Walikale, le plus grand territoire de la province, très difficile d’accès pour les acteurs humanitaires ou la plateforme propose des services tels que l’hébergement, un espace Internet, un garage, le prêt de véhicule et l’entreposage. A Goma, capitale de la province, c’est le service transport qui prédomine. Les convois se déploient sur l’ensemble des axes du Nord Kivu. 

Au cours de la prochaine phase (Juin 2016-Avril 2017), des modalités de recouvrement des coûts seront mises en œuvre dans le cadre du projet PL. 

 

Dans le cadre de la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnel, et de la Convention sur les armes à sous-munitions, HI intervient en discontinu depuis 2001 dans différentes provinces : Province Orientale/Maniema/Equateur. En Janvier 2016, un projet de 2 ans « Déminage par province » a débuté et vise à libérer intégralement les provinces de la Tshopo, de l’Ituri, du Bas-Uélé et du Haut-Uélé (anciennement Province Orientale) de toute contamination en priorisant les zones les plus utilisées par la population. Ce projet est mené conjointement avec AFRILAM, ONG congolaise de déminage et partenaire historique d’HI en RDC. Une base vie HI a été implantée à cet effet en avril 2016 à Kisangani. 

 

A travers sa Cellule Technique Inclusion (CTI), HI contribue aussi à l’amélioration des bonnes pratiques en termes d’approche inclusive et de redevabilité. La CTI finalise actuellement un diagnostic inclusion du mécanisme RRMP financé par UNICEF portant sur les phases en amont de la réponse, les évaluations multi sectorielles et le ciblage.

 

CHAINE DE RESPONSABILITE 

Le coordinateur opérationnel est basé à Goma, sous la responsabilité du Chef de Mission de la DAH.

 

Programmes spécifiques sur lesquels sera affecté l’expatrié : 

- Plateforme logistique Goma et Walikale  (OFDA)

- Cellule Technique Inclusion (Fonds propres)

- Déminage Province par Province (German MoFA)

- Autres projets en cours de développement

 

L’expatrié est en lien hiérarchique avec : 

- Chef de Projet Plateforme 

- Team Leader CTI 

- Assistant M&E

 

L’expatrié est en lien fonctionnel avec : 

- Coordinateur mines

- Siège : Adjointe Responsable Programmes et Référents techniques Besoin de Bases et Besoins Spécifiques

- Mission : Coordinateurs support et Référent Sécurité

 

PRINCIPALES RESPONSABILITES DE L’EXPATRIE

 Le Coordinateur des Opérations d’urgence de Handicap International est responsable de :

 

1/ Suivi/Evaluation/Apprentissage/Redevabilité : En charge des enjeux de suivi &évaluation, de monitoring, d’apprentissage et de redevabilité au niveau des projets mis en œuvre par HI DAH en RDC, conformément à la politique de Planification, Suivi, Evaluation (PSE) HI, et appui au lancement de nouveaux projets. 

 

2/ RH : Supervision et accompagnement des responsables opérationnels dans la mise en œuvre de leurs projets.

 

3/ Développement de nouveaux projets : En collaboration avec le Chef de Mission et les autres membres de l’équipe, contribue à développer de nouvelles propositions de projets en rapport avec les résultats des évaluations menées.

 

4/ Coordination interne et externe : Sur délégation du chef de mission, représente HI dans les mécanismes de coordination humanitaire pertinents et nécessaires pour la mise en œuvre de la stratégie opérationnelle, et assure la coordination en interne, sur les aspects opérationnels de la mission.

 

5/ Coordination du reporting bailleur : Consolide les documents fournis par les chefs de projets afin de produire des rapports bailleurs intermédiaires et finaux

 

CONDITIONS 

 Statut : Salarié à partir de 2200 euros + 457 euros net prime expat+ prime de vie chère 

Durée  : 6 mois (renouvelables)

Date de prise de poste : ASAP

Départ en couple/famille possible (Logement au Rwanda, à Gisenyi si départ en famille)

 

 

Pour postuler, veuillez suivre le lien suivant: https://hi.profilsearch.com/recrute/fr/fo_annonce_voir.php?id=1579&idpartenaire=142

Détails de l'annonce

Organisation : Lumière pour le Monde - Light for the World
Site web : http://www.lightfortheworld.be
Lieu de l'emploi : Lubumbashi, Likasi, Kolwezi, Mbuji Mayi /
Type d'emploi : Contrat à durée indéterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Santé
Date de publication : 22/05/2016
Date limite : 29/06/2016

Profil

  • Vous êtes un/une ophtalmologue doté(e) d’une solide compétence clinique et chirurgicale    - Connaissance approfondie des méthodes d’examen ophtalmologique afin de pouvoir poser des diagnostics corrects
    - Connaissance approfondie des techniques de traitement ophtalmologique tant non invasives que chirurgicales, une attention particulière étant accordée aux opérations de la cataracte utilisant la technique CCPI et la phacoémulsification, au traitement chirurgical du glaucome et au traitement laser de la rétinopathie diabétique
  • Vous avez acquis une certaine expérience professionnelle sur le continent africain
  • Vous avez une bonne connaissance du français, la connaissance du néerlandais et/ou de l’anglais est un atout
  • Vous disposez d’excellentes aptitudes communicatives  
  • Vous êtes ouvert(e) à d’autres cultures
  • Vous aimez travailler en équipe         
  • Vous êtes disposé(e) à vous établir à Lubumbashi pendant une période minimale de 2 ans.
    Offre
  •  Contrat à durée indéterminée
  • Paquet salarial intéressant
  • Un emploi passionnant dans un environnement de travail flexible

       Vous êtes intéressé(e)

       Faites parvenir votre CV et votre lettre de motivation avant le 30 juin 2016 à job@lightfortheworld.be

Description

LUMRE POUR LE MONDE est active dans le domaine de la prévention et du traitement des maladies oculaires et de la lutte contre la cécité évitable en Afrique centrale et de l’Est par le biais de la dispensation de soins oculaires dans une approche globale. Ses activités ont aussi pour but d’améliorer la qualité de vie des personnes avec un handicap visuel, entre autres par la promotion de l’enseignement inclusif.
 

Brève présentation de nos activités en R.D. du Congo

LUMRE POUR LE MONDE a pour ambition de développer et d’encadrer de manière durable des cliniques ophtalmologiques au Congo et est active dans les provinces du Haut-Katanga et du Kasaï-Oriental. Dans ces provinces, elle soutient le fonctionnement de 4 cliniques ophtalmologiques.
 

Responsabilités de l’ophtalmologue expat en R.D. du Congo

L’ophtalmologue sera basé(e) à Lubumbashi et sera principalement actif/active à la clinique St-Yvonne. Il/elle rendra également régulièrement visite à nos cliniques partenaires à Likasi, Kolwezi et Mbuji Mayi.


Sa tâche principale consistera à renforcer la formation pratique des médecins et infirmiers dans les domaines du diagnostic et des techniques chirurgicales. Il/elle effectuera des consultations et opérations aux côtés de ses collègues afin de perfectionner les compétences médicales du personnel. Il/elle accordera également une grande attention à l’amélioration des procédures de qualité.


L’ophtalmologue expat se chargera aussi du suivi des capacités des collaborateurs individuels et leur donnera des avis et conseils au sujet de formations théoriques ou de stages dans d’autres hôpitaux.

Détails de l'annonce

Organisation : Handicap International Belgium
Site web : https://hi.profilsearch.com/recrute/fr/fo_annonce_voir.php?id=1420&idpartenaire=142
Lieu de l'emploi : Walikale /
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Mission terrain
Date de publication : 19/05/2016
Date limite : 04/06/2016

Profil

- Formation supérieure généraliste - Minimum 3 ans d’expérience professionnelle sur un poste similaire - Très bonnes capacités de communication, d’analyse et de synthèse - Expériences confirmées du management d’équipe - Excellent relationnel et compétences relationnelles - Capacité à travailler de manière autonome et organisée, tout en communiquant étroitement avec son supérieur hiérarchique - Français impératif et anglais - Expérience en gestion de la sécurité sur une base isolée dans un contexte de conflit armé est un plus Critères additionnels : - Capacité à vivre dans un contexte isolé - Idéalement engagement sur la durée du projet - Aisance sur les procédures administratives, RH et de gestion financière LANGUE(S) DE TRAVAIL : Français : Courant Anglais : Bon

Description

CONTEXTE DE TRAVAIL : PRESENTATION DE L’ONG Handicap International est une organisation de solidarité internationale indépendante et impartiale, qui intervient dans les situations de pauvreté et d'exclusion, de conflits et de catastrophes. Œuvrant aux côtés des personnes handicapées et des personnes vulnérables, elle agit et témoigne pour répondre à leurs besoins essentiels et améliorer leurs conditions de vie. Handicap International s'engage à promouvoir le respect de leur dignité et de leurs droits fondamentaux. Depuis sa création en 1982, Handicap International a mis en place des programmes de développement dans plus de 60 pays, et intervient dans de nombreuses situations d'urgence. CONTEXTE GEOPOLITIQUE D’un point de vue contexte général et humanitaire, depuis plusieurs décennies, la République Démocratique du Congo (RDC) fait face à une crise humanitaire complexe et multifactorielle. Si l’est du pays est une région gorgée de richesses naturelles, il y règne depuis plusieurs décennies un climat de tension, de violence et d’insécurité chronique. Cette dynamique de conflit s’est installée progressivement, dans une interaction forte et de plus en plus indissociable entre problèmes ethniques, tensions démographiques, accès à la terre et propriété foncière et enfin lutte de pouvoir pour le contrôle des ressources naturelles. Ainsi, la province Nord-Kivu est l’un des territoires le plus touché par les crises en RDC et constitue l’un des contextes les plus complexes à décrypter. D’un point de vue maintien de la Paix, la RDC dispose de la plus grande mission des Nations Unies (MONUSCO) avec comme principale spécificité d’être dotée d’un mandat militaire avec une Force D’intervention active depuis 2013, dont le but est de neutraliser les groupes armés en appui à l’armée régulière congolaise (FARDC). Ceci entraîne de nombreux affrontements dans l’Est du pays. Egalement, le triple chapeau du Coordonnateur Humanitaire, à la fois coordinateur de l’aide humanitaire (OCHA), représentant pour le relèvement (PNUD) et représentant spécial adjoint du secrétaire général de la MONUSCO (maintien de la paix) est un enjeu permanent pour les ONG, leur plaidoyer et leur neutralité dans ce pays très vaste, où chaque territoire est presque un contexte à part entière et où la coordination humanitaire reste une préoccupation qui demande beaucoup de moyens et d’implication. D’un point de vue politique, le pays entre actuellement dans une phase électorale cruciale : les 2èmes élections démocratiques. Le président Joseph Désiré Kabila arrive au terme de son 3ème mandat, qui au regard de la constitution ne lui permet pas de se représenter. Il devrait donc logiquement y avoir un nouveau président élu. Le cycle électoral menant à l’investiture du président est très long et enchaîne une succession d’élections à tous les niveaux: maires, gouverneurs, députés… Il aurait dû débuter en septembre 2015 pour s’achever en Novembre 2016. Cependant aucune élection n’a encore eu lieu. DESCRIPTION DE POSTE : CONTEXTE DE LA MISSION L’historique d’Handicap International en RDC remonte à 1995. La Direction de l’Action Humanitaire a débuté ses activités à l’Est en 2007, prenant la suite de la Direction de l’Action du Développement, désormais basée à l’Ouest, sur l’un des mécanismes d’urgence les plus symboliques de la région : le RRMP (Réponse Rapide aux Mouvements de Population), en travaillant aux côtés des partenaires de ce mécanismes pour les appuyer dans la composante Protection de leurs interventions. Aujourd’hui, la DAH maintien son engagement sur son programme de Plateforme Logistique. La mission mène depuis janvier 2009 un projet de plateforme logistique en soutien aux opérations d'urgence en faveur des populations affectées par la crise dans toute la province du Nord Kivu. Début 2011, une base a été ouverte à Walikale, le plus grand territoire de la province, très difficile d’accès pour les partenaires humanitaire. La ville de Walikale est desservie par l’hélicoptère des Nations Unies (United Nation Humanitarian Air Service) en 45 minutes, ou par voiture après plusieurs jours de voyage. Ce territoire est considéré comme prioritaire au regard des besoins humanitaires dans la zone et du peu d’acteurs présents pour couvrir tout le territoire. La plateforme logistique avait donc pour but d’encourager la venue des acteurs pour leur permettre de faciliter leur implémentation ou la réalisation d’évaluation dans la perspective d’apporter une réponse. Ainsi la base s’est dotée de services tels que l’hébergement, un espace Internet, un garage, le prêt de véhicule et l’entreposage. PROJETS EN COURS SUR LA MISSION - Plateforme logistique Nord Kivu - Cellule Technique Inclusion - Déminage/dépollution (Province Orientale) Base :Walikale (avec des déplacements sur Goma) PRINCIPALE RESPONSABILITES Lien hiérarchique :  Sous la responsabilité directe du Chef de Mission.  Responsable des équipes de toute la base. Sous la responsabilité du Chef de Mission et avec l’appui technique des coordinateurs Administratif, Logistique, du Chef de Projet Plateforme et du Référent Sécurité, Il/elle sera responsable, sur le territoire de Walikale, de : 1)La gestion de la sécurité ainsi que le suivi de l’évolution du contexte humanitaire 2)La supervision des départements support de la base 3)Le développement des projets et la veille sur les possibilités de financement 4)Les relations externes sur le territoire et la représentation de Handicap International 5)Le management 6)Reporting 7)Implémentation du Projet Plateforme sur Walikale en lien avec le Chef de Projet : - Gestion des activités du projet - Membre d’œuvre du CoPil du Projet - Représentation et coordination externe - Participation au suivi des ressources du projet - Reporting et capitalisation, en lien avec le coordinateur Qualité - Suivi du processus d’amélioration continue - Veille stratégique et participation à l’organisation de l’atelier mi projet CONDITIONS : Statut: salarié, rémunération brute en fonction de l’expérience + indemnité d’expatriation de 457 euros nets mensuels • Début: asap • Durée :12 mois • Logement en collectivité pris en charge par Handicap International • Santé : Couverture médicale (CFE + mutuelle) + assurance rapatriement • Conditions de vie confortables mais seul expatrié sur la base. • Accès à Goma en Hélicoptère. 45 minutes.

Détails de l'annonce

Organisation : Coopération Technique Belge
Site web : http://www.btcctb.org
Adresse email : corine.hayez@btcctb.org
Lieu de l'emploi : Kisangani /
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Animation/Formation
Date de publication : 01/05/2016
Date limite : 13/05/2016

Profil

Diplômes: - Diplôme d’études supérieures (min niveau bac+3 ou équivalence par expérience professionnelle). Expérience: - Expérience d’au moins 5 ans dans le secteur de l’enseignement technique, de la formation professionnelle et/ou de l’insertion professionnelle; - Expérience en matière de renforcement des capacités; - Expérience d’au moins 3 ans dans la gestion d’un ou de plusieurs projets de coopération internationale. Expertise technique: - Connaissance approfondie des principes et pratiques de gestion d’établissement de formation, de préférence dans des établissements ETFP; - Connaissances sur les principes de gestion et d’entreprenariat; - Capacités en gestion de projets et en management des ressources humaines (+ 10 personnes); - Maîtrise les outils informatiques courants; Compétences: - Compétences en facilitation, animation d’équipe et en coaching tant d’équipes que d’individus; - Bonnes aptitudes communicationnelles (de grandes facilités de présentations et d’exposés et de gestion de réunions) et le sens du ‘networking’; - Excellentes capacités rédactionnelles (formulation de rapports et autres documents écrits). Compétences linguistiques: - Excellent niveau de français oral et écrit.

Description

Durée du contrat: 24 mois Date probable d’entrée en fonction: dès que possible Package salarial mensuel: entre 5.977,54 euros et 8.931,91 euros (en ce compris le salaire brut mensuel et les avantages liés au statut d'expatrié: primes d’éloignement et de pénibilité). Le salaire est calculé en fonction de la composition de ménage et de l’expérience professionnelle pertinente. Programme EDUT: Le territoire d’intervention du programme est la Province de la Tshopo, dont Kisangani, le chef-lieu de la province. Le projet s’inscrit dans la politique de développement de la Province et répond aux points principaux du Plan intégré de l’éducation sur la formation professionnelle et technique: - Renforcement de l’enseignement technique et professionnel, par un travail concerté tant sur la qualité de la formation que sur l’adéquation formation-emploi, et l’investissement dans des structures d’application et d’insertion. - Accompagnement et mise en œuvre de la décentralisation pour le pilotage, la concertation et le suivi-évaluation de la politique provinciale par des actions conjointes sur la capacité d’enregistrement des statistiques, le pilotage du système de formation au niveau provincial et la coordination entre les différents ministères ainsi que la concertation entre réseau officiel et réseaux conventionnés. La conception du projet prend en compte les potentiels de croissance, surtout dans les secteurs agricole et de la construction, et les contraintes, notamment une infrastructure routière encore très faible, la grande étendue du district , le poids très limité du secteur économique formel, une faible qualité de l’offre de formation, un pilotage et une gouvernance faibles du secteur ETFP, le manque de ressources humaines qualifiées aux niveaux technique et professionnel et les pressions sur l’environnement. Au vu des problèmes relevés durant la phase d’identification et confirmés durant la formulation et les études de base du projet Edut, l’accent de l’intervention sera mis sur: 1. La formation pratique des élèves des écoles techniques et des apprenants des centres de formation; 2. Le développement d’une culture entrepreneuriale au sein des établissements de formation et des structures d’appui à la formation technique, incluant des cours d’entreprenariat pratique à destination des apprenants, un renforcement des formateurs en entreprenariat, la mise en place d’activités génératrices de revenus (AGR) au sein des ETP Pilotes 3. L’accompagnement des sortants de la formation vers l’insertion professionnelle; 4. La collaboration avec les entreprises et autres acteurs pour assurer l’adéquation formation-emploi : dans la gouvernance au niveau de la province et au niveau local, dans la gestion des écoles et centres ETFP, dans le choix des filières, la généralisation des stages et l’insertion au travail; 5. Le renforcement des compétences des agents de l’administration publique décentralisée (gouvernement provincial) et déconcentrée (divisions provinciales des différents ministères techniques du niveau central) et des autres intervenants; 6. La gestion financière durable des écoles et centres ETFP; 7. La formation et l’insertion professionnelle des filles. Le projet focalisera ses appuis sur quatre domaines prioritaires: • les filières agricoles et de la transformation agricole; • les filières de la construction et menuiserie; • les filières de la coupe-couture – ouverture vers le stylisme de mode; • les filières de la mécanique et maintenance industrielle. En outre, il promouvra des modules « filières vertes » et innovants ayant un potentiel d’emploi notamment dans le domaine des énergies renouvelables. Les filières de la bureautique et informatique seront intégrées comme approche transversale. Le projet appuiera les autorités gouvernementales (Gouvernement provincial) et les partenaires économiques et sociaux à établir des plateformes de concertation au niveau provincial et local afin d’assurer un dialogue continu entre ces acteurs et ainsi assurer que l’offre de formation soit mieux adaptée à la demande, que la qualité de l’ETFP tant qualitativement que quantitativement puisse être améliorée. L’objectif global du projet est: A Kisangani et dans le district de la Tshopo, une offre de formation technique et professionnelle, tant formelle que non-formelle, répondant aux perspectives d’emploi et d’auto emploi de la région, permet à un nombre croissant de jeunes gens et jeunes filles de trouver ou de créer un emploi durable après avoir fini cette formation. Fonction L’ATI expert(e) en insertion professionnelle et entreprenariat: Gestion d’équipe - est responsable pour les travaux de l’équipe nationale insertion professionnelle (3 personnes) et des travaux de l’expert « partenariat public-privé »; - développe et appuie les structures d’appui dans leur organisation du travail et gestion d’équipe (Unité formation-emploi, AGR des centres pilotes, Centre de ressources). - contribue à l’identification des besoins de renforcement de capacités relativement à la recherche accrue d’adéquation formation/emploi et de potentialités d’emploi et accompagne la mise en œuvre; Conduite d’analyses, recherches-action et capitalisation d’expériences - contribue avec les différents ministères provinciaux et services déconcentrés concernés (qui ont l’Enseignement technique et la formation professionnelle dans leurs compétences) à une analyse du marché de l’emploi dans les secteurs concernés par le projet; - propose une méthodologie pour l’observation du marché de l’emploi et l’identification d’acteurs et partenaires pour l’insertion professionnelle au niveau provincial et local; - contribue à la réalisation d’une étude sur la demande de formation professionnelle; - participe à la capitalisation au niveau structurel des expériences dans l’adéquation formation-emploi; - contribue à l’élaboration des rapports d’activités, en appui des responsables du projet; Mise en place et renforcement des structures d’appui à l’insertion au niveau provincial (plateforme de concertation, CDR) et au sein des ETP pilotes (Unité formation-emploi, UFE) - appuie le développement et la rédaction d’un plan provincial d’insertion professionnelle, avec une attention particulière pour l’aspect genre; - appuie (ensemble avec les 3 experts locaux insertion professionnelle) la création et la mise en œuvre des UFE dans chaque établissement ETFP affilié; - assure avec les partenaires pour chaque filière, un programme de stage, d’insertion professionnelle (placement) et d’accompagnement, en rapport avec l’analyse du marché local; - propose des aménagements et dispositifs pour repenser l’offre de formation en fonction de l’emploi. - contribue à la définition des modalités, des outils, des mesures administratives et des prérequis nécessaires à la mise en place de stages pratiques efficaces ; - propose des mécanismes de suivi des lauréats/sortants ETFP Partenariats Ecoles-Entreprises et entreprenariat - contribue au développement de partenariats avec les opérateurs économiques de la province; - facilite l’implication et la contribution des artisans et entrepreneurs dans la cogestion du secteur et des établissements en tant qu’acteurs économiques organisés; - contribue à la réflexion et au développement de filières ou de modalités de formations innovantes; appuie les initiatives qui sont de nature à développer l’entrepreneuriat dans la province ; - accompagne la mise en œuvre de projets d’établissements ETFP; - facilite, ensemble avec les autres acteurs présents dans la province, l’accès au financement (épargne et crédit) pour les lauréats et anciens lauréats en développant et suivant la collaboration entre les écoles et centres EFTP et les institutions de financement; prépare, en collaboration avec les responsables du projet, la programmation des activités incluant l’aspect financier;

Détails de l'annonce

Organisation : Handicap International Belgium
Site web : http://www.handicap-international.org/
Lieu de l'emploi : walikale /
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Coordination
Date de publication : 12/05/2016
Date limite : 19/05/2016

Profil

  • Formation supérieure généraliste 
  • Minimum 3 ans d’expérience professionnelle sur un poste similaire
  • Très bonnes capacités de communication, d’analyse et de synthèse
  • Expériences confirmées du management d’équipe
  • Excellent relationnel et compétences relationnelles
  • Capacité à travailler de manière autonome et organisée, tout en communiquant étroitement avec son supérieur hiérarchique
  • Français impératif et  anglais 
  • Expérience en gestion de la sécurité sur une base isolée dans un contexte de conflit armé est un plus

Critères additionnels : 

  • Capacité à vivre dans un contexte isolé
  • Idéalement engagement sur la durée du projet
  • Aisance sur les procédures administratives, RH et de gestion financière

Description

PRESENTATION DE L’ONG

Handicap International est une organisation de solidarité internationale indépendante et impartiale, qui intervient dans les situations de pauvreté et d'exclusion, de conflits et de catastrophes. Œuvrant aux côtés des personnes handicapées et des personnes vulnérables, elle agit et témoigne pour répondre à leurs besoins essentiels et améliorer leurs conditions de vie. Handicap International s'engage à promouvoir le respect de leur dignité et de leurs droits fondamentaux. Depuis sa création en 1982, Handicap International a mis en place des programmes de développement dans plus de 60 pays, et intervient dans de nombreuses situations d'urgence. 

CONTEXTE GEOPOLITIQUE

D’un point de vue contexte général et humanitaire, depuis plusieurs décennies, la République Démocratique du Congo (RDC) fait face à une crise humanitaire complexe et multifactorielle. Si l’est du pays est une région gorgée de richesses naturelles, il y règne depuis plusieurs décennies un climat de tension, de violence et d’insécurité chronique. Cette dynamique de conflit s’est installée progressivement, dans une interaction forte et de plus en plus indissociable entre problèmes ethniques, tensions démographiques, accès à la terre et propriété foncière et enfin lutte de pouvoir pour le contrôle des ressources naturelles. Ainsi, la province Nord-Kivu est l’un des territoires le plus touché par les crises en RDC et constitue l’un des contextes les plus complexes à décrypter. 

D’un point de vue maintien de la Paix, la RDC dispose de la plus grande mission des Nations Unies (MONUSCO) avec comme principale spécificité d’être dotée d’un mandat militaire avec une Force D’intervention active depuis 2013, dont le but est de neutraliser les groupes armés en appui à  l’armée régulière congolaise (FARDC). Ceci entraîne de nombreux affrontements dans l’Est du pays. 

Egalement, le triple chapeau du Coordonnateur Humanitaire, à la fois coordinateur de l’aide humanitaire (OCHA), représentant pour le relèvement (PNUD) et représentant spécial adjoint du secrétaire général de la MONUSCO (maintien de la paix) est un enjeu permanent pour les ONG, leur plaidoyer et leur neutralité dans ce pays très vaste, où chaque territoire est presque un contexte à part entière et où la coordination humanitaire reste une préoccupation qui demande beaucoup de moyens et d’implication. 

D’un point de vue politique, le pays entre actuellement dans une phase électorale cruciale : les 2èmes élections démocratiques. Le président Joseph Désiré Kabila arrive au terme de son 3ème mandat, qui au regard de la constitution ne lui permet pas de se représenter. Il devrait donc logiquement y avoir un nouveau président élu. Le cycle électoral menant à l’investiture du président est très long et enchaîne une succession d’élections à tous les niveaux: maires, gouverneurs, députés… Il aurait dû débuter en septembre 2015 pour s’achever en Novembre 2016. Cependant aucune élection n’a encore eu lieu.  

CONTEXTE DE LA MISSION

L’historique d’Handicap International en RDC remonte à 1995. La Direction de l’Action Humanitaire a débuté ses activités à l’Est en 2007, prenant la suite de la Direction de l’Action du Développement, désormais basée à l’Ouest, sur l’un des mécanismes d’urgence les plus symboliques de la région : le RRMP (Réponse Rapide aux Mouvements de Population), en travaillant aux côtés des partenaires de ce mécanismes pour les appuyer dans la composante Protection de leurs interventions. 

Aujourd’hui, la DAH maintien son engagement sur son programme de Plateforme Logistique. La mission mène depuis janvier 2009 un projet de plateforme logistique en soutien aux opérations d'urgence en faveur des populations affectées par la crise dans toute la province du Nord Kivu. Début 2011, une base a été ouverte à Walikale, le plus grand territoire de la province, très difficile d’accès pour les partenaires humanitaire. La ville de Walikale est desservie par l’hélicoptère des Nations Unies (United Nation Humanitarian Air Service) en 45 minutes, ou par voiture après plusieurs jours de voyage. Ce territoire est considéré comme prioritaire au regard des besoins humanitaires dans la zone et du peu d’acteurs présents pour couvrir tout le territoire. La plateforme logistique avait donc pour but d’encourager la venue des acteurs pour leur permettre de faciliter leur implémentation ou la réalisation d’évaluation dans la perspective d’apporter une réponse. Ainsi la base s’est dotée de services tels que l’hébergement, un espace Internet, un garage, le prêt de véhicule et l’entreposage. 

PROJETS EN COURS SUR LA MISSION

- Plateforme logistique Nord Kivu  

- Cellule Technique Inclusion 

- Déminage/dépollution (Province Orientale)

Base :Walikale (avec des déplacements sur Goma)

PRINCIPALE RESPONSABILITES

Lien hiérarchique :

  • Sous la responsabilité directe du Chef de Mission.
  • Responsable des équipes de toute la base. 

Sous la responsabilité du Chef de Mission et avec l’appui technique des coordinateurs Administratif, Logistique, du Chef de Projet  Plateforme et du Référent Sécurité, Il/elle sera responsable, sur le territoire de Walikale, de :

1)La gestion de la sécurité ainsi que le suivi de l’évolution du contexte humanitaire

2)La supervision des départements support de la base 

3)Le développement des projets et la veille sur les possibilités de financement

4)Les relations externes sur le territoire et la représentation de Handicap International

5)Le management 

6)Reporting

7)Implémentation du Projet Plateforme sur Walikale en lien avec le Chef de Projet : 

    - Gestion des activités du projet

    - Membre d’œuvre du CoPil du Projet

    - Représentation et coordination externe

    - Participation au suivi des ressources du projet

    - Reporting et capitalisation, en lien avec le coordinateur Qualité

    - Suivi du processus d’amélioration continue

    - Veille stratégique et participation à l’organisation de l’atelier mi projet

CONDITIONS

Statut: salarié, rémunération brute en fonction de l’expérience + indemnité d’expatriation de 457 euros nets mensuels 
• Début: asap
• Durée :12 mois
• Logement en collectivité pris en charge par Handicap International 
• Santé : Couverture médicale (CFE + mutuelle) + assurance rapatriement 
• Conditions de vie confortables mais seul expatrié sur la base. 
• Accès à Goma en Hélicoptère. 45 minutes. 
 

APPLICATION

To apply please follow this link:

https://hi.profilsearch.com/recrute/fr/fo_annonce_voir.php?id=1420&idpartenaire=142

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