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A l'occasion de la Journée Internationale pour le Travail Décent le 7 octobre, la Plateforme de Coordination Travail Décent organise un séminaire pour parler de la réduction de l’espace civil, de la démocratie et du dialogue social.

La Plateforme de Coordination Travail Décent (PCTD, issue du CSC Travail Décent) vous invite au séminaire "Attaque contre la société civile : démocraties en danger !" qui aura lieu le lundi 7 octobre de 9h à 13h30 à l’Aeropolis, 579 Chaussée de Haecht, 1030 Schaerbeek. 

A l'occasion de la Journée Internationale pour le Travail Décent, la Plateforme donne la parole à ses partenaires pour parler de la réduction de l’espace civil, de la démocratie et du dialogue social. Les défis auxquels la société civile est confrontée dans le monde entier et son rôle dans la défense de la démocratie seront examinés par :

  • Jordania Ureña - Secrétaire Générale adjointe de la CSI
  • Bachabi Moudassirou - Secrétaire Général de la Confédération générale des travailleurs au Bénin Nash Tysmans
  • Responsable de la région Asie au sein de StreetNet
  • Dr Godfrey Kanyenze - directeur de LEDRIZ, l'institut de recherche de la confédération syndicale ZCTU au Zimbabwe

Inscrivez-vous ici : https://forms.gle/XLiFzDAFwAjL5HVFA

 

Face aux coupes envisagées dans le budget de la coopération au développement par la coalition Arizona dans le cadre des négociations gouvernementales au niveau fédéral, le CNCD-11.11.11 tire la sonnette d’alarme. Il publie aujourd’hui son Rapport 2024 sur la Coopération belge au développement, avec ses recommandations prioritaires pour le futur gouvernement.

Le risque de coupes budgétaires dans la Coopération belge au développement plane sur les négociations de l’Arizona. Pourtant, l’aide publique au développement de la Belgique a diminué en 2023. Aujourd’hui, notre pays n’y consacre plus que 0,44% de ses richesses, bien loin de l’objectif international situé à 0,7%. La Belgique se retrouve ainsi sous la moyenne européenne, et entourée de pays voisins qui consacrent tous une part plus importante de leurs richesses à l’aide au développement.

En outre, la Belgique est reconnue au niveau international pour une coopération au développement qui est de qualité, car elle se concentre dans les pays et les secteurs qui en ont le plus besoin. Or les négociations gouvernementales évoquent aussi l’idée de défédéraliser une partie de la coopération au développement, ce qui serait désastreux pour son efficacité pourtant saluée par ailleurs. En effet, une défédéralisation ne mènerait qu’à une fragmentation budgétaire et une augmentation considérable des frais institutionnels – à l’encontre totale de la simplification administrative voulue par les partis de l’Arizona.

Selon le Secrétaire général du CNCD-11.11.11 Arnaud Zacharie, « En plus de sauver des vies et de contribuer à sortir des pays de la pauvreté, la coopération au développement est un investissement stratégique pour la Belgique elle-même. Car nous vivons dans un monde interconnecté : un virus survenu en Chine nous a confinés pendant près de deux ans. La guerre en Ukraine a fait exploser notre facture d’énergie. Le dérèglement climatique a causé des inondations meurtrières dans notre propre pays. Investir dans le financement climatique, dans l’éradication de maladies transmissibles, dans la prévention de conflits ou dans la stabilité économique mondiale sont dans notre intérêt aussi. Nous ne pouvons pas résoudre les problèmes mondiaux en pensant qu’ils s’arrêtent à nos frontières. »

Comme le souligne le Rapport 2024 sur la Coopération belge au développement, les études prouvent que la coopération au développement permet de réduire la pauvreté, accroître les investissements, stimuler la croissance, augmenter l’espérance de vie et le taux moyen de scolarisation. Dans le domaine de la santé, l’aide au développement a permis d’éradiquer différentes maladies, et de sauver 27 millions de vies humaines par le seul Fonds mondial contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme. Elle a aussi permis à 34 millions d’enfants supplémentaires d’aller à l’école depuis les années 2000.

Soliris Village : la solidarité internationale Bruxelloise à l'honneur

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 11/09/2024
  3. Dans
Le mercredi 18 septembre à partir de 13h, Soliris.brussels organise sur la Place de la Bourse l’évènement Soliris Village, qui mettra à l’honneur la richesse des initiatives en solidarité internationale bruxelloises.

En plein cœur de la ville, Soliris Village proposera aux citoyen·nes de rencontrer les associations des diasporas et administrations communales bruxelloises membres du réseau, ainsi que les différentes structures impliquées dans la dynamique de ce réseau : Brussels International (administration en charge des relations internationales de la Région de Bruxelles-Capitale), Brulocalis (association des villes et communes de Bruxelles), CNCD-11.11.11 et Echos Communication ONG.

Les différents membres de la plateforme présenteront leurs projets et programmes de solidarité internationale, leurs outils d’éducation à la citoyenneté mondiale et solidaire, leurs partenariats et leurs appels à projets. Des animations et ateliers seront également proposés au public afin de sensibiliser aux enjeux de la Solidarité internationale, dans une approche du local au global.

Parallèlement, une exposition se tiendra dans le bâtiment de la Bourse pour permettre au public de mieux visualiser la richesse, la diversité et les complémentarités qui caractérisent les initiatives solidaires à l’échelle de la Région bruxelloise.

Vous trouverez toutes les informations ici : https://soliris.brussels/fr/agenda/soliris-village-2024/



Le programme de la conférence internationale ECMS co-organisée par la plateforme hongroise des OSC les 28 et 29/11 à Budapest, est disponible. Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 16 septembre.

Nous vous l'annoncions début juillet, les OSC belges sont invitées à participer à la conférence internationale "Shaping Tomorrow through Global Education" co-organisée par HAND, la plateforme hongroise des OSC, les 28 et 29/11 à Budapest, en collaboration avec CONCORD, GENE et le Centre Nord/Sud du Conseil de l'Europe.  Les inscriptions sont ouvertes jusqu'au 16/09.

Cette conférence s'inscrit dans le cadre du projet de la plateforme des OSC hongroise relatif à la Présidence hongroise du Conseil de l'UE.

L'évènement se centrera sur la présentation et le partage de bonnes pratiques et de résultats de recherche liés à la mise en oeuvre de stratégies nationales et européennes en lien avec la Déclaration de Dublin sur l'éducation globale (2022). Au programme notamment, la coopération entre le gouvernement et la société civile, les sujets émergents et les méthodolgies innovantes en ECMS, la formation des éducateur·trices, ainsi que le financement aux différents niveaux. La conférence aura lieu à Budapest, au European Youth Centre du Conseil de l'Europe.  Le programme est désormais disponible.

Différentes parties prenantes sont attendues : monde académique, enseignant·es, EU, gouvernements, OSC, secteur privé, etc. Une occasion aussi de réseauter et de prendre connaissance du développement et des pratiques de l'ECMS dans d'autres pays européens !  Ne tardez pas à vous inscrire via le formulaire d'inscription ouvert jusqu'au 16/09.  Un pack d'infos pratiques relatifs à l'inscription est disponible.  

E-mail de contact : GE_conference@hand.org.hu.

Appel à projets Semaine des droits des femmes 2025

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 04/09/2024
  3. Dans
La Ville de Bruxelles lance un appel à projets pour la Semaine des droits des femmes 2025 sur le thème de la santé. Les idées d'activités doivent être rentrées pour le vendredi 15 novembre 2024 au plus tard.

La Ville de Bruxelles organise depuis de nombreuses années la Semaine des droits des femmes pour marquer la date symbolique du 8 mars (Journée internationale pour les droits des femmes). Pendant une semaine, des activités de tous genres (conférences, ateliers ludiques, expositions, pièces de théâtre,…) abordent diverses thématiques en lien avec les inégalités de genre et les droits des femmes. Le thème choisi pour cette édition est la santé.

Afin de sensibiliser le public Bruxellois aux inégalités de genre dans le domaine de la santé, l'échevinat en charge de l'égalité des chances vous invite à soumettre vos projets pour intégrer la programmation de cette prochaine édition de la Semaine des Droits des Femmes qui aura lieu du samedi 8 mars au vendredi 14 mars.

Les projets doivent être envoyés le vendredi 15 novembre 2024 au plus tard à la cellule Egalité des chances de la Ville de Bruxelles, de préférence par mail à egalitedeschances@brucity.be ou par courrier à l'adresse :

Cellule Egalité des Chances
Rue des Halles 4
1000 Bruxelles

Toutes les informations et documents de participation se trouvent sur www.bruxelles.be/appel-sddf.

Coalition Arizona : pas de prospérité pour tous ?

  1. Créé par Raphaël MALDAGUE
  2. Le 30/08/2024
  3. Dans
Dans une carte blanche publiée aujourd'hui sur le site de L'Echo, les responsables des acteurs de la Coopération belge s’inquiètent de l’impact des coupes budgétaires envisagées par la coalition Arizona dans le secteur de la coopération au développement.

« Réduire de moitié l’aide au développement », pouvait-on lire dans De Standaard le week-end dernier, comme l’une des manières dont la future coalition Arizona [gouvernement fédéral] voulait faire des coupes sombres dans les dépenses publiques. Entre-temps, ces chiffres ont été nuancés par des rapports indiquant que certaines réductions n’avaient pas encore été discutées en profondeur par les négociateurs. Par exemple, il ne s’agirait pas de réduire de moitié le budget total du développement, mais « seulement » une partie de celui-ci – les compétences dites « partagées ».

Néanmoins, le plan budgétaire en cours de négociation jette une lumière crue sur les propositions sur la table des négociations en matière de coopération au développement. Il s’agit d’économies. Le gouvernement Arizona tournerait ainsi radicalement le dos à une promesse internationale vieille de plusieurs décennies visant à mobiliser 0,7% de nos richesses pour l’aide au développement – alors que l’aide belge dépasse à peine 0,4% du RNB actuellement.

« Les choix politiques reflètent le type de société que nous voulons promouvoir. Solidaire et ouverte sur le monde extérieur ou fermée et se regardant le nombril ? »

Pour nous, cette dernière option n’est pas envisageable. Car, plus que jamais, les enjeux internationaux et nationaux sont étroitement imbriqués. Voyez l’impact d’une guerre, d’une crise climatique ou d’une pandémie mondiale sur notre économie et notre propre vie quotidienne. Inversement, nos politiques nationales ont un impact majeur sur les pays en développement. Par exemple, notre engagement à réduire nos propres émissions de carbone a un impact sur les sécheresses, les incendies de forêt, les tempêtes et les famines dans le monde.

« La Belgique n’est pas une île. Nous avons un rôle à jouer dans le monde. »

D’un point de vue moral. Parce que nous avons un jour convenu - avec la Déclaration universelle des droits de l’Homme - de toujours défendre les droits humains pour toutes et tous. Mais cela a également un sens d’un point de vue stratégique. La sécurité et la prospérité de la Belgique et des Belges commencent à l’étranger. Il est illusoire d’espérer vivre dans un îlot de prospérité quand on baigne dans un océan de misère, car dans un monde interdépendant les « effets boomerang » affectent nos sociétés – comme l’illustrent notamment les conséquences en Belgique et en Europe des crises humanitaires, des pandémies ou des guerres. Il est d’autant plus important de montrer que l’on peut et que l’on doit faire les choses différemment que les intérêts personnels et les violations brutales des droits de l’homme gagnent à nouveau du terrain au niveau international. En optant pour la coopération et la solidarité internationales. Il ne s’agit pas de choisir entre investir dans notre propre société ou dans le reste du monde.

« Lorsque nous investissons dans la solidarité internationale, nous investissons dans l’avenir de toutes et tous, y compris chez nous. »

Si le gouvernement belge souhaite vraiment assurer la sécurité et le bien-être de tous, il doit aussi oser investir dans la lutte contre les causes des inégalités mondiales et de l’insécurité économique et sociale. Pour ce faire, il faut investir dans la diplomatie et la coopération au développement. Le simple fait d’investir dans la défense ne garantit pas une sécurité durable. Il s’agit d’une mesure de dernier recours. Nous devrions simplement respecter nos engagements internationaux et investir dans des partenariats par le biais de la diplomatie et de la coopération au développement, afin de prévenir les conflits. La Belgique joue ce rôle depuis des années. Souvent avec les compliments du monde extérieur. La position politique sur le conflit israélo-palestinien, où chaque vie humaine compte et où le droit international doit être respecté, flanquée de notre coopération au développement à Gaza - aujourd’hui lourdement affectée - n’est qu’un exemple parmi tant d’autres.

La coopération au développement est trop souvent considérée comme une « goutte d’eau dans l’océan ». C’est injustifié. On ne met pas de côté la recherche sur le cancer parce qu’elle n’a pas réussi jusqu’à présent à guérir et à prévenir tous les cancers. On continue d’investir et de faire de la recherche dans ce domaine parce qu’on a fait le choix, en tant que société, de se battre pour chaque vie humaine. Ainsi, chaque « goutte » de la coopération au développement compte. Chaque investissement dans ce domaine, chaque vie humaine en vaut la peine. Bien entendu, le débat se poursuit sur la manière de déployer cette coopération au développement de manière la plus efficaces possible. Mais pour pouvoir mettre en œuvre une politique, il faut des ressources.

« La coopération au développement permet d’atteindre des résultats concrets. »

Les études démontrent que l’aide au développement permet de réduire la pauvreté et d’accroître les investissements, l’espérance de vie et le taux moyen de scolarisation dans les pays en développement bénéficiaires. La coopération au développement a par exemple permis à 34 millions d’enfants supplémentaires d’aller à l’école depuis les années 2000 selon l’UNESCO. Elle a aussi permis d’éradiquer quasi complètement la poliomyélite et de réduire de près de 50% le nombre de nouvelles infections au VIH SIDA depuis 2000.

Les différents acteurs belges mettent chaque jour la Coopération au Développement en pratique, cherchant les plus grands leviers. Ils ont chacun leur propre méthode de travail, leur propre expérience et expertise et c’est précisément grâce à cela qu’ils se renforcent mutuellement pour lutter ensemble contre la pauvreté et l’inégalité. Prenons l’exemple des soins de santé. Notre gouvernement belge renforce les systèmes de santé dans les pays partenaires, tandis que les ONG renforcent les moyens aux populations locales de défendre leur droit à la santé. Les organisations multilatérales organisent des campagnes de vaccination, tandis que d’autres investissent dans le secteur privé pour promouvoir la production locale de produits médicaux. De grandes organisations humanitaires, ainsi que des initiatives citoyennes à petite échelle, se mobilisent pour offrir aux plus précaires des soins de santé dans les situations de crise. Tout cela permet de sauver des vies, chaque jour.

En résumé : investir dans la coopération au développement est un choix politique. Notre demande est de faire ce choix non pas sur la base d’une idéologie ou de symboles, mais avec une vision à long terme dans le respect des engagements internationaux de la Belgique.

Signataires : Arnout Justaert, directeur de NGO Federatie ; Els Hertogen, directrice de la coupole des ONG flamandes 11.11.11 ; Raphaël Maldague, directeur de la fédération ACODEV ; Joris Totté, directeur de la Société belge d’investissement dans les pays en développement BIO ; Jean Van Wetter, directeur de l’Agence belge de développement ENABEL ; Arnaud Zacharie, secrétaire général du Centre national de coopération au développement (CNCD-11.11.11).

La nouvelle édition du catalogue des outils pédagogiques ECMS pour le monde scolaire est prête pour la rentrée !

Pour accompagner les enseignant·es dans leurs démarches d’Éducation à la citoyenneté mondiale et solidaire (ECMS), 25 organisations de la société civile belges ont rassemblé dans ce catalogue (anciennement appelé "Catalogue de la solidarité internationale") plus d’une centaine de propositions pédagogiques : dossiers, livrets illustrés, djeux interactifs, fiches d’activités ou sites internet qui sont ancrés dans l’actualité mondiale. L’objectif de cette compilation ? Outiller les enseignant·es pour mettre en œuvre des projets conformes aux exigences des nouveaux référentiels, et contribuer à faire de tous·tes les élèves (du fondamental et du secondaire) des citoyen·nes du monde. L’ECMS vise en effet à développer sept postures qui s’inscrivent dans les finalités de l’enseignement organisé en FW-B et, par conséquent, dans les visées transversales du tronc commun, en particulier « Se connaître et s’ouvrir aux autres », « Développer une pensée critique et complexe » et « Développer la créativité et l’esprit d’entreprendre » :

  • 1. S’informer sur le monde et ses interconnexions ;
  • 2. Se sentir concerné·e ;
  • 3. Développer une pensée positive et non discriminante ;
  • 4. Être conscient·e de sa responsabilité locale et globale ;
  • 5. Se construire librement une opinion critique ;
  • 6. Mener une action utile/pertinente vers l’extérieur ;
  • 7. Adhérer librement aux valeurs de citoyenneté mondiale.

En s’appuyant sur des démarches pédagogiques participatives pour sensibiliser les enfants et les jeunes aux inégalités et aux interdépendances mondiales, l’ECMS se veut ainsi émancipatrice, porteuse d’un sens qui incite à l’engagement individuel et collectif.

Le catalogue peut être téléchargé gratuitement sur le site d'Iles de Paix.

ACADIHMIE 2024 - Cours annuel de DIH de la Croix-Rouge de Belgique

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 29/08/2024
  3. Dans
La rentrée approche, c'est l'occasion d'acquérir de nouvelles connaissances ! La Croix-Rouge de Belgique propose l’ACADIHMIE, son cours annuel 100% digital de droit international humanitaire (DIH) du 23 septembre au 18 novembre 2024. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 27 septembre.

L’ACADIHMIE, le cours annuel de droit international humanitaire (DIH) organisé par la Croix-Rouge de Belgique, est une formation interactive et dispensée par des expert·es aux profils très variés qui vous permet de vous initier au droit international humanitaire mais également de renforcer vos connaissances de cette discipline juridique. Abordant la matière de manière nuancée et pratique, l’ACADIHMIE vous donnera les clés pour mieux appréhender les conflits armés contemporains sous l’angle de leurs conséquences humanitaires.

L’ACADIHMIE est un cours qui se déroule exclusivement en distanciel. Le programme du cours, articulé autour de 6 modules thématiques, permet de s’initier et d’approfondir les bases du DIH. Chaque module comprend des activités à réaliser individuellement sur une plateforme en ligne (plateforme d’apprentissage digitale) ainsi que des sessions en visioconférences qui se déroulent à horaires fixes. Un test écrit permet d’évaluer les connaissances acquises tout au long du cours et un certificat de participation est délivré par la Croix-Rouge aux participant·es qui prennent part à l’ensemble des modules.

La formation se déroule du 23 septembre au 18 novembre, et les sessions en visioconférences sont données en soirée.

La participation à l’ACADIHMIE est accessible au tarif unique de 140 € par personne, à régler au moment de l’inscription. Ce tarif inclut l’accès à une plateforme d’apprentissage en ligne pour la durée du cours, la participation aux sessions digitales avec les expert·e·s, la participation à un test d’évaluation et l’obtention d’une certification de participation conformément aux conditions précisées dans le règlement.

Les inscriptions pour l’édition 2024 sont ouvertes jusqu’au 27 septembre 2024.

Le programme et les informations pratiques sont disponibles sur le site web de la Croix-Rouge.

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