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Belgium

Détails de l'annonce

Organisation : PLAN INTERNATIONAL BELGIQUE
Site web : http://www.planinternational.be
Lieu de l'emploi : Bruxelles /
Type d'emploi : Contrat à durée indéterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Récolte de fonds
Date de publication : 16/02/2021
Date limite : 06/04/2021

Profil

Votre Profil

Formations, connaissances, talents

  • Vous avez un diplôme niveau bachelier en administration, en gestion de bureau avec une approche axée service et orientée client ou une expérience équivalente. Nous accueillons aussi des candidat.e.s qui ont l'esprit ouvert, qui veulent apprendre, qui peuvent rapidement maîtriser leurs tâches et qui sont très motivé.e.s à se consacrer à notre mission et à nos donateurs.trices.
  • Vous êtes interessé.e par la mission de Plan International et vous portez nos valeurs.
  • Vous avez une bonne maîtrise du français ou du néerlandais et une bonne connaissance de l’autre langue. La connaissance de l’anglais est un atout.
  • Vous avez une connaissance opérationnelle de MS Office.
  • Vous avez de l’expérience dans l’utilisation et la connaissance des applications de CRM, de l’expérience dans l'utilisation de divers programmes informatiques (pour le traitement des données) et la capacité d'apprendre rapidement à les utiliser.
  • Vous avez un esprit d’analyse pour trouver des solutions adéquates.
  • Vous travaillez avec les données de façon précise et confidentielle, vos compétences organisationnelles et administratives sont votre force.
  • Vous avez de bonnes aptitudes à la communication, tant par téléphone que par écrit, et capacité d'adaptation à utiliser celles-ci lors de situations différentes. Entre autre, vous pouvez expliquer de façon enthousiaste et convaincante l'importance et le contenu de nos activités, d'inspirer confiance et de tenir ses promesses
  • Vous aimez réfléchir à un meilleur service aux donateurs, à l’optimalisation de l’utilisation des données, à l’amélioration de nos processus. Vous osez formuler des propositions et vous aidez à les mettre en place.
  • La connaissance de la coopération au développement et du comportement des donateurs sont des atouts.
  • Vous savez structurer le travail et être capable de coordonner les différentes tâches les unes avec les autres.
  • Vous aimez faire partie d’une équipe mais vous n'avez pas peur d'effectuer vos tâches par le biais du télétravail.

Description

Plan International Belgique cherche UN.E DONOR RELATIONS OFFICER (H/F/X)

Plan International Belgique travaille depuis plus que 35 ans à la création d'un monde équitable et sûr pour tous les enfants. Tous les enfants, garçons et filles, ont le droit de jouir d’une éducation de qualité et d’opportunités de développement personnel. Cependant, à travers le monde, les filles sont encore trop souvent défavorisées, discriminées, parfois même maltraitées.

Plan International Belgique fait partie d'une fédération internationale ambitieuse qui a des projets dans près de 80 pays (dont la Belgique), dans le monde entier. Nos projets génèrent un impact en influençant les politiques, en sensibilisant et en réalisant des projets avec et pour les enfants et les jeunes.

Afin de réaliser ses grandes ambitions et concrétiser sa mission en faveur des enfants, Plan International Belgique cherche un.e Donor Relations Officer (f/h/x) enthousiaste et compétent.e.

Votre rôle en tant que Donor Relations Officer

Vous êtez le point de contact et l’ambassadeur.trice de l’accueil et de la fidélisation des donateurs.trices. de Plan International Belgique. Vous construisez une relation durable et personnalisée pour nos Parrains.Marraines Plan. Toujours soucieux.se d’offrir un service de qualité, vous réfléchissez activement et proposez des manières de garder les donateurs.trices existant.e.s et d’améliorer nos processus internes.

Vous traitez et suivez les données des donateurs.trices dans nos systèmes de gestion, de manière ponctuelle et confidentielle. Vous faites du rapportage de ces données au manager. De plus, vous soutenez votre équipe dans les campagnes annuelles de collecte de fonds pour recruter des nouveaux.elles donateurs.trices.

Vous aimez faire des propositions d’amélioration, de simplification et d’automatisation en terme de tâches et d’outils informatiques.

Notre offre

  • Un environnement de travail enrichissant dans un contexte belge et international, au sein d’une ONG internationale et ambitieuse
  • L'occasion de faire une différence pour les enfants et les jeunes dans nos pays partenaires et en Belgique
  • Une possibilité de vous développer professionnellement avec des collègues compétent.e.es, motivé.e.s et socialement engagé.e.s. Notre organisation a 60 employé.e.s et vous ferez partie d’une équipe enthousiaste de 4 personnes dans un département de +/- 11 personnes
  • Un contrat de travail à temps plein à durée indéterminée
  • Une rémunération compétitive, complétée par des avantages extra-légaux (assurance de groupe, assurance hospitalisation, chèques-repas).

Plan International Belgique est situé au cœur de Bruxelles, juste à côté de la gare de Bruxelles-Central.

Interessé.e?

Nous serons ravi.e.s de recevoir votre CV et lettre de motivation !

Envoyez votre CV et votre lettre de motivation à job@planinternational.be avec la référence "Donor Relations Officer" au plus tard le 24 février 2021.

Dans le cadre de notre politique de protection et de sauvegarde de l'enfance, nous demandons à chaque collaborateur.trice de nous soumettre un extrait de casier judiciaire (modèle 2)

En tant qu'ONG engagée dans un monde plus égalitaire, Plan International Belgique s'efforce de composer une équipe équilibrée en termes de genre, entre autres.

Détails de l'annonce

Organisation : Viva Salud, KIYO et Solidagro
Site web : http://www.vivasalud.be
Adresse email : fanny@vivasalud.be
Lieu de l'emploi : Belgique /
Fichier : PDF icon progdgd2017-2021_belgique.pdf
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps partiel
Fonction : Expertise/recherche
Date de publication : 15/02/2021
Date limite : 21/02/2021

Profil

  • Etre indépendant.e du projet et des différentes parties prenantes ;
  • Etre bilingue français-néerlandais ;
  • Disposer d’une expérience dans le domaine de l'évaluation ;
  • Connaitre le secteur des ONG ;
  • Connaitre l’approche par les droits et la théorie du changement ;
  • Etre communicatif/ve et organisé.e.

Description

CONTEXTE DU PROJET


UN PROGRAMME COMMUN

Viva Salud, KIYO et Solidagro collaborent au sein d’un programme commun co-financé par le Service public fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement depuis 2017 et jusque fin 2021. Ce programme a pour cadre l’approche basée sur les droits et est actif dans 11 pays : en Belgique, en Bolivie, au Brésil, au Burkina Faso, au Burundi, en Bolivie, au Brésil, au Mali, au Maroc, en Palestine, aux Philippines, en RD Congo et au Sénégal. 
 

TROIS ORGANISATIONS

Viva Salud soutient le développement d'un vaste mouvement social en faveur de relations sociales, économiques et politiques justes. Pour cela, Viva Salud agit conjointement et en solidarité avec des partenaires et des réseaux qui se mobilisent pour le droit à la santé, le développement souverain et la justice sociale en Palestine, aux Philippines, en RD Congo, au niveau international et en Belgique.
KIYO fait de l’empowerment avec les enfants et les jeunes pour qu’ils puissent prendre leurs vies en charge et réaliser leurs droits. Avec ses partenaires, KIYO renforce leurs compétences à la vie et techniques. Cela leur permet d’apporter un changement individuel, sociétal et positif en tant que citoyens du monde. 
Solidagro contribue à la réalisation du droit mondial à l'alimentation et l’eau en promouvant le système alimentaire agro-écologique. Dans la chaîne qui va de la production à la consommation, nous convainquons les organisations et les individus de se tourner vers l'agriculture écologique et ses produits. Nous renforçons les mouvements qui défendent l'agroécologie, et nous plaidons auprès des gouvernements pour qu'ils créent un cadre juridique et mettent en œuvre des politiques efficaces qui favorisent l'agroécologie. Nous contribuons à réduire la concentration de pouvoir dans le système alimentaire industriel, à plus de souveraineté alimentaire pour des nations et des peuples, et à accroître la justice climatique.
 

UNE APPROCHE PAR LES DROITS

Viva Salud, KIYO et Solidagro estiment que chaque développement est basé sur la réalisation de droits. Qu’il s’agisse des droits de l’enfant, du droit à la santé ou du droit à l’alimentation, ce n’est que quand les détenteurs de droits seront en mesure de pouvoir revendiquer leurs droits que les porteurs d’obligations, et en premier lieu – mais pas seulement – les autorités, rempliront, défendront et promouvront ces droits.
 

BELGIQUE

Avec le programme en Belgique, le programme commun voulait contribuer à ce que les titulaires d’obligations intègrent et appliquent l’approche par les droits pour le développement dans leurs politiques et que finalement les droits des détenteurs de droits soient mieux garantis.
Le programme Belgique est divisé en 4 objectifs spécifiques (OS) : le travail dans les écoles (OS1), le travail avec les organisations sociales (OS2), l’agrandissement et le renforcement de notre base sociale (OS3) et le travail de plaidoyer (OS4). KIYO et Solidagro sont les seules organisations concernées par l’OS1, pour le reste, Viva Salud, KIYO et Solidagro sont concernées par les 3 autres OS. Le 3e OS ne doit pas être évalué dans le cadre de cette évaluation.
Chaque organisation est responsable du suivi d’un ou de deux OS via un staff de son organisation : KIYO est responsable de l’OS1, Viva Salud des OS2 et OS4 et Solidagro de l’OS3.
La coordinatrice du programme commun coordonne le travail en Belgique de manière transversale et générale.
 

CLAUSE CORONA

La crise de la corona que nous connaissons depuis mars 2019 aura un certain impact sur les résultats de notre programme mais également sur le déroulement de ces évaluations. Nous en discuterons avec les évaluateurs/trices lorsque ceux-ci/celles-ci auront été recruté.es et analyserons avec eux les différentes possibilités et la flexibilité qui devra être nécessaire.
 

OBJECTIF DE L’ÉVALUATION FINALE

En évaluant notre travail dans les 11 pays dans lesquels nous sommes actifs, nous pourrons apprendre de ces 5 années de travail et rendre des comptes sur les résultats obtenus pour chaque objectif spécifique sur la base des critères du CAD : pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité.
En Belgique, nous avons 4 objectifs spécifiques. Viva Salud, KIYO et Solidagro sont concernées par le travail en Belgique. Le 3e objectif spécifique, celui lié au renforcement et à l’élargissement de notre base sociale, ne doit pas être évalué car il est déjà évalué dans le cadre d’un parcours d’apprentissage d’une durée de 4 années sur les évaluations d’impact mené par HIVA-KUL et financé par la DGD.
 

OBJECTIF SPÉCIFIQUE 1 : LE TRAVAIL DANS LES ÉCOLES

« Des élèves en Belgique, quelle que soit leur origine (genre, religion et statut socio-économique), revendiquent leurs droits individuels et collectifs, et s'engagent en entreprenant des actions solidaires. »
Résultats :
  • Les garçons et les filles dans les écoles secondaires sont conscients de la problématique mondiale des droits et comprennent que, indépendamment de leurs origines, ils sont capables de créer du changement dans leurs environnements.
  • La politique de l’école est adaptée en fonction d’une perspective des droits de l’enfant et/ou du droit à l’alimentation.
  • Les acteurs de l’école au sens large sont impliqués dans la réalisation de projets visant à promouvoir le droit à l’alimentation et/ou les droits de l’enfant.

 

OBJECTIF SPÉCIFIQUE 2 : LE TRAVAIL AVEC LES ORGANISATIONS SOCIALES

« Des organisations sociales et des acteurs belges de la coopération au développement sont renforcés et se mobilisent afin de faire valoir les droits de l'enfant, le droit à l'alimentation et le droit à la santé, avec un focus sur l'approche basée sur les droits. »
Résultats :
  • Des organisations sociales sont renforcées dans leur contenu pour lutter pour le droit à l'alimentation, à la santé, et les droits de l'enfant, avec un focus sur l'approche basée sur les droits.
  • Les organisations sociales ont renforcé leurs capacités organisationnelles.
  • Les acteurs belges de la coopération au développement sont renforcés dans leur contenu et analysent leurs projets dans le Sud en utilisant une approche basée sur les droits des enfants.
  • L'expertise du consortium sur l'approche basée sur les droits bénéficie d’une reconnaissance plus large auprès des organisations sociales, des réseaux et des acteurs de la coopération au développement.

 

OBJECTIF SPÉCIFIQUE 4 : LE TRAVAIL DE PLAIDOYER

« Des décideurs politiques réagissent aux recommandations de réseaux d'intégrer l'approche basée sur les droits et de lui donner la priorité dans leurs politiques. »
Résultats :
  • Les réseaux ont renforcé le soutien aux exigences politiques spécifiques promouvant le droit à la santé.
  • Les réseaux ont renforcé le soutien aux exigences politiques spécifiques au profit du droit à l'alimentation.
  • Les réseaux ont renforcé le soutien aux exigences politiques spécifiques promouvant les droits de l'enfant.

 

QUESTIONS D’ÉVALUATION 

Nous aimerions que l’évaluation nous donne les réponses aux questions suivantes :

PERTINENCE

1.    Les problèmes adressés sont-ils pertinents (est-ce qu’ils contribuent aux changements identifiés dans la théorie du changement) et répondent-ils aux besoins des groupes cibles ?

 

COHÉRENCE

2.    L’intervention du programme et les spécificités de l’approche droits qu’elle veut mettre en avant apporte-t-elle une valeur ajoutée dans le secteur de la coopération au développement ?

 

EFFICACITÉ

3.    Dans quelle mesure les résultats sont-ils tous atteints et de bonne qualité ?
4.    Est-ce que l’objectif spécifique est réalisé ?

 

EFFICIENCE

5.    Des économies d’échelle ont-elles été réalisées grâce au travail en programme commun ?
Impact
6.    Quelles sont les retombées potentielles de l’action à moyen et long terme ? (il peut s’agir d’effets aussi bien positifs que négatifs, prévus ou imprévus)

 

DURABILITÉ

7.    Les conditions sont-elles remplies pour faire perdurer les effets de la stratégie appliquée à l’issue de l’intervention ? (par exemple participation et implication des groupes cibles/acteurs intermédiaires, effet multiplicateur, intégration dans des organisations/politiques existantes, création d’une base de soutien, intégration dans la politique, outils, instruments et méthodes développés…)
8.    Les groupes cibles disposent-ils des capacités nécessaires (en ce y compris les outils développés dans le cadre de l’intervention) pour prendre eux-mêmes l’initiative de l’intervention et/ou la responsabilité de poursuivre les résultats à l’issue de l’intervention ?
 
Pour chaque question d’évaluation, il est attendu que le rapport final dégage :
  • des éléments d’amélioration ; 
  • les bonnes pratiques/facteurs de réussite ; 
  • des pistes de solutions sous forme de recommandations. 

 

RAPPORT

Afin de pouvoir garantir une certaine analyse comparative des différentes évaluations, nous aimerions que toutes les évaluations suivent le template suivant :
  • une table des matières
  • une liste des abréviations
  • une synthèse de maximum 2 pages (pouvant être utilisée comme document indépendant)
  • introduction qui comprend les objectifs de l'évaluation, l'approche, les techniques utilisées et les limites de l'évaluation, le cas échéant
  • une évaluation couvrant les critères repris dans ces termes de référence (pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité) et donnant clairement une réponse aux questions d'évaluation qui y sont liées
  • les leçons apprises
  • les conclusions et recommandations
  • annexes 
Le rapport pourra être rédigé en français ou en néerlandais et ne pourra pas dépasser 20 pages pour la Belgique (annexes non comprises).

 

MÉTHODOLOGIE

Nous voudrions que l’évaluateur/trice mette en place une méthode participative. Il faudra tenir compte de plusieurs paramètres :
  • l’innovation : Nous serions ravis de pouvoir discuter et voir appliquer des méthodologies innovantes (telles que le Qualitative Impact Protocol, par exemple).
  • la combinaison : Il nous parait intéressant (mais pas nécessaire) de combiner certaines évaluations, telles que cette évaluation des 4 objectifs spécifiques de la Belgique, avec le Brésil, le Burundi et le Maroc en mode desk study, voire même avec l’évaluation terrain de la RD Congo. Cela permettrait à l’évaluateur/trice de gagner en temps de préparation et de compréhension du programme commun.
  • les langues : le français et le néerlandais pour collaborer avec l’équipe de Viva Salud, KIYO et Solidagro et bien comprendre les documents liés à notre programme commun.
La proposition de services de l’évaluateur/trice devra prendre en compte ces différents aspects et indiquer comment il/elle compte s’y prendre.

 

PLANNING DU PROCESSUS

Timing
Etape
Février 2021
Recrutement de l’évaluateur/trice
Mars-Avril 2021
Développement de la méthodologie
Juin-Août 2021
Préparation de l’évaluation
Septembre 2021
Déroulement de l’évaluation
Octobre 2021
Rapport intermédiaire disponible et session de restitution
Novembre 2021
Rapport final disponible
Janvier 2022
Réponse managériale disponible

 

BUDGET INDICATIF

Pour permettre à un.e évaluateur/trice externe de mener à bien cette évaluation finale, Viva Salud, KIYO et Solidagro disposent d’un budget de €8.000.
Doivent être compris dans le budget :
  • Les journées de préparation pour analyser les documents existants et rencontrer certains staffs (directeurs, coordinateurs Belgique de chaque organisation, coordinatrice du programme) ;
  • Le temps de travail pour mener l’évaluation ;
  • Les frais de transport national, les per diem et les frais de consultance pour la réalisation de l’évaluation ;
  • La rédaction d’un rapport intermédiaire, sa présentation lors d’une restitution aux staffs des 3 organisations et la rédaction d’un rapport final.

 

SOLLICITER

Les candidat.e.s intéressé.e.s sont invité.e.s à adresser leur candidature pour le 21 février 2021 au plus tard à Fanny Polet, coordinatrice du programme commun, fanny.polet@kiyo-ngo.be, composée des documents suivants : 
  • un curriculum vitae ;
  • une proposition technique de 5 pages maximum décrivant l’approche méthodologique, le plan de travail et la combinaison de certaines évaluation le cas échéant ;
  • un devis détaillé ;
  • un exemple pertinent d'une évaluation antérieure réalisée par l'évaluateur ;
  • l’engagement à suivre notre code éthique (voir plus bas).
Ces documents peuvent être rédigés en français ou en néerlandais.
 
Voici la grille d’évaluation qui sera utilisée pour apprécier les offres reçues :
 
Pondération
Offre X
Offre Y
Offre Z
Expérience de l'évaluateur (pertinente pour l'expertise requise pour cette évaluation)
15 points
 
 
 
Proposition calendrier et communication
10 points
 
 
 
Compréhension du contexte et des enjeux de l'évaluation
15 points
 
 
 
Méthode d'évaluation proposée
25 points
 
 
 
Langues
20 points
 
 
 
Combinaison de plusieurs évaluations
15 points
 
 
 
Total qualité
100 points
 
 
 
Prix soumis
en euro
 
 
 

Ces offres seront évaluées par un comité composé de la coordinatrice du programme commun et des chargés de programme pour la Belgique de Viva Salud, KIYO et Solidagro.

 

ANNEXES

  • Partie Belgique du Programme commun 2017-2021 Viva Salud, KIYO et Solidagro (en néerlandais).
  • Code éthique:
L’évaluation doit être réalisée selon les exigences les plus strictes en matière d’intégrité et dans le respect des croyances, et des us et coutumes des environnements sociaux et culturels dans lesquels elle a lieu ; dans le respect des droits humains et de l’égalité des genres ; et conformément au principe "ne pas nuire", dans le cas de l’aide humanitaire. Les évaluateurs doivent respecter le droit des particuliers et des institutions de fournir des renseignements à titre confidentiel, et faire en sorte que des données qualifiées de sensibles soient protégées et ne permettent pas de remonter à leur source. Ils doivent en outre valider les déclarations présentes dans les rapports auprès de leurs auteurs. Lorsqu’ils souhaitent utiliser des informations personnelles, les évaluateurs doivent obtenir l’accord éclairé des personnes concernées. Lorsqu’une infraction ou une malfaisance est mise au jour, ce fait doit être signalé discrètement aux organes compétents (par exemple, le bureau d’audit ou d’enquête approprié).

Détails de l'annonce

Organisation : Viva Salud
Site web : http://www.vivasalud.be
Lieu de l'emploi : Belgique /
Fichier : PDF icon progdgd2017-2021_burundi.pdf
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Autre
Fonction : Expertise/recherche
Date de publication : 15/02/2021
Date limite : 21/02/2021

Profil

  • Etre indépendant.e du projet et des différentes parties prenantes ;
  • Etre bilingue français-néerlandais, avoir une bonne connaissance de l’anglais et du portugais;
  • Disposer d’une expérience dans le domaine de l'évaluation ;
  • Connaitre le secteur des ONG ;
  • Connaitre l’approche par les droits et la théorie du changement ;
  • Etre communicatif et organisé.

Description

CONTEXTE DU PROJET


UN PROGRAMME COMMUN

Viva Salud, KIYO et Solidagro collaborent au sein d’un programme commun co-financé par le Service public fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement depuis 2017 et jusque fin 2021. Ce programme a pour cadre l’approche basée sur les droits et est actif dans 11 pays : en Belgique, en Bolivie, au Brésil, au Burkina Faso, au Burundi, en Bolivie, au Brésil, au Mali, au Maroc, en Palestine, aux Philippines, en RD Congo et au Sénégal. 
 

TROIS ORGANISATIONS

Viva Salud soutient le développement d'un vaste mouvement social en faveur de relations sociales, économiques et politiques justes. Pour cela, Viva Salud agit conjointement et en solidarité avec des partenaires et des réseaux qui se mobilisent pour le droit à la santé, le développement souverain et la justice sociale en Palestine, aux Philippines, en RD Congo, au niveau international et en Belgique.
KIYO fait de l’empowerment avec les enfants et les jeunes pour qu’ils puissent prendre leurs vies en charge et réaliser leurs droits. Avec ses partenaires, KIYO renforce leurs compétences à la vie et techniques. Cela leur permet d’apporter un changement individuel, sociétal et positif en tant que citoyens du monde. 
Solidagro contribue à la réalisation du droit mondial à l'alimentation et l’eau en promouvant le système alimentaire agro-écologique. Dans la chaîne qui va de la production à la consommation, nous convainquons les organisations et les individus de se tourner vers l'agriculture écologique et ses produits. Nous renforçons les mouvements qui défendent l'agroécologie, et nous plaidons auprès des gouvernements pour qu'ils créent un cadre juridique et mettent en œuvre des politiques efficaces qui favorisent l'agroécologie. Nous contribuons à réduire la concentration de pouvoir dans le système alimentaire industriel, à plus de souveraineté alimentaire pour des nations et des peuples, et à accroître la justice climatique.


UNE APPROCHE PAR LES DROITS

Viva Salud, KIYO et Solidagro estiment que chaque développement est basé sur la réalisation de droits. Qu’il s’agisse des droits de l’enfant, du droit à la santé ou du droit à l’alimentation, ce n’est que quand les détenteurs de droits seront en mesure de pouvoir revendiquer leurs droits que les porteurs d’obligations, et en premier lieu – mais pas seulement – les autorités, rempliront, défendront et promouvront ces droits.
 

PAYS CONCERNÉS

Brésil:
  • KIYO dispose d'un bureau national au Brésil composé d’une équipe de trois personnes. 
  • Dans le cadre de ce programme, KIYO travaille avec cinq partenaires spécialisés dans les droits de l'enfant : CEDECA, AMAR, PAMEN, RRC et SER. 
  • Stratégies d'intervention : renforcement des capacités, empowerment, participation, plaidoyer, sensibilisation et services directs.
  • Groupe cible : enfants et jeunes des communautés urbaines pauvres (favelas), enfants des rues, enfants en conflit avec la loi ainsi que leurs familles et les acteurs de la communauté environnante.
Burundi:
  • KIYO dispose d’un bureau local à Bujumbura composé d’une équipe de six personnes. 
  • Dans le cadre de ce programme, KIYO travaille avec quatre partenaires locaux : APRODEM, FVS-AMADE, Jumelage Jeunesse Burundi et OIDEB.
  • Stratégies d’intervention : renforcement de capacités, empowerment, plaidoyer, sensibilisation et services directs.
  • Groupes cibles :
    • Bénéficiaires directs : les titulaires de droits : enfants des rues; mineurs en conflit avec la loi ; enfants chef de ménage ; enfants victimes de trafic transfrontalier ; enfants vivants avec le VIH SIDA ; écoliers ; enfants orphelins et autres enfants vulnérables.
    • Bénéficiaires intermédiaires : les titulaires d’obligations : écoles ; enseignants ; autorités
    • décentralisées de protection de l’enfance : comité de protection de l’enfance, centres de développement familial et communautaires ; groupes de solidarité ; acteurs de la chaîne pénale ; parents et familles ; communauté ; administration (police, justice…).
    • Bénéficiaires indirects : les partenaires de KIYO.
Maroc :
  • KIYO travaille au Maroc en collaboration avec Karama Solidarity, et PRM qui représente Karama Solidarity au Maroc et qui coordonne le programme au Maroc. KIYO n’a pas son propre bureau.
  • KIYO travaille avec 4 partenaires locaux : ATTAWASOL (Association Aide et Secours), Karama pour le développement de la femme, AMANE et PRM.
  • Stratégies d’interventions : renforcement de capacités, services directs, empowerment, sensibilisation et plaidoyer.
  • Groupes cibles :
    • Bénéficiaires directs : détenteurs de droits : enfants vulnérables et spécifiquement : victimes de violences familiales et de rejet social car de mères célibataires, victimes de discrimination car malentendants, potentiellement/effectivement victimes de violences sexuelles.
    • Bénéficiaires intermédiaires : titulaires d’obligations vis-à-vis des bénéficiaires directs et qui sont susceptibles d’avoir un impact sur leur bien-être : adultes : familles, professeurs et éducateurs, acteurs de santé, acteurs juridiques, association de la société civile –  parmi lesquelles nos organisations partenaires, grand public, institutions concernées et décideurs politiques.

CLAUSE CORONA

La crise de la corona que nous connaissons depuis mars 2019 aura un certain impact sur les résultats de notre programme mais également sur le déroulement de ces évaluations. Nous en discuterons avec les évaluateurs/trices lorsque ceux-ci/celles-ci auront été recruté.es et analyserons avec eux les différentes possibilités et la flexibilité qui devra être nécessaire.

 

OBJECTIF DE L’ÉVALUATION FINALE

En évaluant notre travail dans les 11 pays dans lesquels nous sommes actifs, nous pourrons apprendre de ces 5 années de travail et rendre des comptes sur les résultats obtenus pour chaque objectif spécifique sur la base des critères du CAD : pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité.
Dans ces Termes de Référence, nous vous proposons d’évaluer les objectifs spécifiques suivants : 
 
Pays Brésil + Burundi + Maroc
Combinaison 1 OS par pays = 3 OS
Type d'évaluation Desk study
ONG concernée KIYO

 

BRÉSIL: 

Objectif spécifique : Les droits de l'enfant sont promus au Brésil par des activités de sensibilisation des titulaires d'obligations afin de leur faire prendre leurs responsabilités et par des stratégies de soutien de bénéficiaires (empowerment) afin de les rendre capables d'exiger activement l'application de leurs droits et de participer à la politique de la jeunesse en conformité avec le CIDE (Convention internationale des droits de l’enfant) et l’ECA (loi juvénile brésilienne). 
Résultats: 
  1. Participation : Les enfants et les jeunes participent en tant que jeunes leaders, par l'intermédiaire de délégations de jeunes, aux conférences de l’ECA et aident à déterminer (droits de vote) le plan pluriannuel de la politique nationale de la jeunesse.
  2. Non-discrimination : Une politique inclusive des droits de l'enfant est renforcée dans les programmes scolaires qui réduit la discrimination, le racisme et l'exclusion des enfants des milieux pauvres.
  3. Droit à la (sur)vie et au développement : les modèles d'accueil et d'intégration des enfants vulnérables de la société civile sont renforcés par le partage des connaissances et constituent une précieuse alternative au gouvernement, axée sur les solutions, qui permet une coopération plus complémentaire.
  4. L'intérêt supérieur de l'enfant : les autorités publiques, en tant que principaux agents de service, seront parrainées et renforcées pour l'implantation efficace et l'application pratique des décisions d'exécution de l'ECA.

BURUNDI : 

Objectif spécifique : Grâce à l'intervention coordonnée de la société civile burundaise, des structures communautaires participatives mixtes garantissent davantage les droits des tous les enfants.
Résultats :
  1. La participation des enfants est renforcée dans la défense et la promotion de leurs droits au travers d'espace de démocratie participative
  2. La discrimination des enfants est combattue
  3. Le droit de vivre, survivre et se développer est protégé comme levier à l'autonomisation et l'empowerment individuel.
  4. Le respect de l'intérêt supérieur de l'enfant est renforcé dans toutes les décisions sociales et politiques.

MAROC : 

Objectif spécifique : Les droits de l'enfant sont davantage respectés au Maroc, parmi lesquels les enfants victimes de violences familiales et de rejet social car de mères célibataires, les enfants victimes de discrimination car malentendants et les enfants potentiellement ou effectivement victimes de violences sexuelles, dans les régions de Tanger et Rabat.  
Résultats :
  1. La participation des enfants est renforcée pour soutenir leur autoprotection
  2. La discrimination des enfants est combattue
  3. Le droit de vivre, de survivre et de se développer des enfants est mieux protégé
  4. Le respect de l'intérêt supérieur de l'enfant est renforcé dans les décisions sociales et politiques

 

QUESTIONS D’ÉVALUATION 

Nous aimerions que l’évaluation nous donne les réponses aux questions suivantes :


PERTINENCE

1.    Les problèmes adressés sont-ils pertinents et répondent-ils aux besoins des population ciblées (détenteurs de droits et porteurs d’obligation)?
 

COHÉRENCE

2.    L’intervention du programme est-elle compatible avec les autres interventions menées au sein du secteur de droits de l’enfants (politique nationale et autres acteurs de la société civile)? Apporte-t-elle une valeur ajoutée tout en évitant le chevauchement d’activités ?

 

EFFICACITÉ

3.    Dans quelle mesure les résultats du programme ont contribué à la réalisation des objectifs du programme ? (Dans quelle mesure les interventions des différents partenaires ont contribué à la réalisation des objectifs du programme)
4.    Le programme a-t-il développé une approche suffisamment holistique pour contribuer efficacement à la réalisation de l’objectif spécifique ?
5.    Dans quelle mesure le genre a-t-il été intégré dans les activités et la gestion du programme de manière générale ?

 

EFFICIENCE

6.    Les stratégies opérationnelles prévues par le programme pour atteindre chacun des résultats attendus sont-elles efficientes ? Les méthodes choisies pour l’exécution ont-elles permis d’atteindre les résultats attendus ?
7.    Les ressources – humaines, financières et matérielles- affectées au programme ont-elles efficacement servis les intérêts du programme ? 

 

IMPACT

8.    Les bénéfices reçus par les groupes cibles ont-ils eu un effet global plus large sur un plus grand nombre de personnes dans le secteur, la région ou le pays dans son ensemble ?
a.    Description quantitative de l’impact de l’action (Identification des catégories de la population ayant bénéficié (directement et/ou indirectement) de l’action et estimation du nombre de personnes concernées par catégorie)
b.    Description qualitative de l’impact de l’action (négatif, positif, attendu, imprévu) : création ou consolidation d’une structure ou d’une politique du pays bénéficiaire, renforcement des capacités, modification souhait …) 

 

DURABILITÉ

9.    Les conditions pour l’appropriation locales (par le Gouvernement et les communautés) sont-elles remplies et le resteront-elles après la fin de l’intervention ? (durabilité sociale)
10.    Les partenaires disposent-ils des capacités nécessaires afin de contrôler/maîtriser eux-mêmes l’intervention et de poursuivre les résultats ? (transfert de connaissance/renforcement de capacités/durabilité technique)
 
Pour chaque question d’évaluation, il est attendu que le rapport final dégage :
  • des éléments d’amélioration ; 
  • les bonnes pratiques/ facteurs de réussite ; 
  • des pistes de solutions sous forme de recommandations. 

 

RAPPORT

Afin de pouvoir garantir une certaine analyse comparative des différentes évaluations, nous aimerions que toutes les évaluations suivent le template suivant :
  • une table des matières
  • une liste des abréviations
  • une synthèse de maximum 2 pages (pouvant être utilisée comme document indépendant)
  • introduction qui comprend les objectifs de l'évaluation, l'approche, les techniques utilisées et les limites de l'évaluation, le cas échéant
  • une évaluation couvrant les critères repris dans ces termes de référence (pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité) et donnant clairement une réponse aux questions d'évaluation qui y sont liées
  • les leçons apprises
  • les conclusions et recommandations
  • annexes 
Le rapport pourra être rédigé en français, en néerlandais ou en anglais et ne pourra pas dépasser 15 pages par pays (annexes non comprises).

 

MÉTHODOLOGIE

Nous voudrions que l’évaluateur/trice mette en place une méthode participative, tant avec les organisations partenaires que les bureaux locaux et le staff qui travaille depuis la Belgique. Il faudra tenir compte de plusieurs paramètres :
  • l’innovation : Nous serions ravis de pouvoir discuter et voir appliquer des méthodologies innovantes (telles que le Qualitative Impact Protocol, par exemple).
  • la combinaison : Il nous parait intéressant (mais pas nécessaire) de combiner certaines évaluations, telles que les évaluations en mode desk study pour la Belgique, le Brésil, le Burundi et le Maroc, voire même l’évaluation terrain de la RD Congo.
  • les langues : le français et le néerlandais pour collaborer avec l’équipe de KIYO, bien comprendre les documents liés à notre programme commun et mener l’évaluation desk study du Burundi et du Maroc et le portugais pour l’évaluation desk study du Brésil.
La proposition de services de l’évaluateur/trice devra prendre en compte ces différents aspects et indiquer comment il/elle compte s’y prendre.
 

PLANNING DU PROCESSUS

Timing
Etape
Février 2021
Recrutement de l’évaluateur/trice
Mars-Avril 2021
Développement de la méthodologie
Juin-Août 2021
Préparation de l’évaluation
Septembre 2021
Déroulement de l’évaluation
Octobre 2021
Rapport intermédiaire disponible et session de restitution
Novembre 2021
Rapport final disponible
Janvier 2022
Réponse managériale disponible

 

BUDGET

Pour permettre à un.e évaluateur/trice externe de mener à bien ces évaluations finales, KIYO dispose de €11.400. 
Doivent être compris dans le budget :
  • Les journées de préparation pour analyser les documents existants et rencontrer certains staffs (directeurs, coordinateurs de chaque organisation, coordinatrice du programme) ;
  • Le temps de travail pour mener les évaluations que celles-ci se déroulent en mode desk study;
  • La rédaction d’un rapport intermédiaire, sa présentation lors d’une restitution aux staffs des 3 organisations et la rédaction d’un rapport final.

 

SOLLICITER

Les candidat.e.s intéressé.e.s sont invité.e.s à adresser leur candidature pour le 21 février 2021 au plus tard à Sandra Bootsma, Chargée de programme, sandra.bootsma@kiyo-ngo.be, composée des documents suivants : 
  • un curriculum vitae ;
  • une proposition technique de 5 pages maximum décrivant l’approche méthodologique, le plan de travail et la combinaison de certaines évaluation le cas échéant ;
  • un devis détaillé ;
  • un exemple pertinent d'une évaluation antérieure réalisée par l'évaluateur ;
  • l’engagement à suivre le code éthique de KIYO (voir plus bas).
Ces documents peuvent être rédigés en français, en néerlandais ou en anglais.
Voici la grille d’évaluation qui sera utilisée pour apprécier les offres reçues :
 
Pondération
Offre
X
Offre
Y
Offre
Z
Expérience de l'évaluateur (pertinente pour l'expertise requise pour cette évaluation)
15 points
 
 
 
Proposition calendrier et communication
15 points
 
 
 
Compréhension du contexte et des enjeux de l'évaluation
20 points
 
 
 
Prise en compte des questions d’évaluation
10 points
 
 
 
Méthode d'évaluation proposée
20 points
 
 
 
Langues
10 points
 
 
 
Combinaison de plusieurs évaluations
10 points
 
 
 
Total qualité
100 points
 
 
 
Prix soumis
en euro
 
 
 
   
Ces offres seront évaluées par un comité composé de chargés de programme de KIYO en Belgique et des responsables des bureaux locaux correspondants, qui feront le lien avec les organisations partenaires.

 

ANNEXES

  • Partie du Burundi du Programme commun 2017-2021 Viva Salud, KIYO et Solidagro en pièce jointe (les parties du Brésil et du Maroc peuvent être envoyées sur simple demande à fanny.polet@kiyo-ngo.be)
  • Code éthique:
Le code éthique suivant est basé sur la proposition réalisée par le groupe d'évaluation des Nations Unies  : 
L’évaluation doit être réalisée selon les exigences les plus strictes en matière d’intégrité et dans le respect des croyances, et des us et coutumes des environnements sociaux et culturels dans lesquels elle a lieu ; dans le respect des droits humains et de l’égalité des genres ; et conformément au principe "ne pas nuire", dans le cas de l’aide humanitaire. Les évaluateurs doivent respecter le droit des particuliers et des institutions de fournir des renseignements à titre confidentiel, et faire en sorte que des données qualifiées de sensibles soient protégées et ne permettent pas de remonter à leur source. Ils doivent en outre valider les déclarations présentes dans les rapports auprès de leurs auteurs. Lorsqu’ils souhaitent utiliser des informations personnelles, les évaluateurs doivent obtenir l’accord éclairé des personnes concernées. Lorsqu’une infraction ou une malfaisance est mise au jour, ce fait doit être signalé discrètement aux organes compétents (par exemple, le bureau d’audit ou d’enquête approprié).

Détails de l'annonce

Organisation : Viva Salud
Site web : http://www.vivasalud.be
Lieu de l'emploi : Bruxelles et RD Congo (Est) /
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Autre
Fonction : Expertise/recherche
Date de publication : 15/02/2021
Date limite : 21/02/2021

Profil

PROFIL DE L’ÉVALUATEUR/TRICE

  • Etre indépendant.e du projet et des différentes parties prenantes ;
  • Maitriser le français (le néerlandais est un atout) ;
  • Disposer d’une expérience dans le domaine de l'évaluation ;
  • Connaitre le secteur des ONG ;
  • Connaitre l’approche par les droits et la théorie du changement ;
  • Etre communicatif/ve et organisé.e.

Description

CONTEXTE DU PROJET

UN PROGRAMME COMMUN

Viva Salud, KIYO et Solidagro collaborent au sein d’un programme commun co-financé par le Service public fédéral Affaires étrangères, Commerce extérieur et Coopération au Développement depuis 2017 et jusque fin 2021. Ce programme a pour cadre l’approche basée sur les droits et est actif dans 11 pays : en Belgique, en Bolivie, au Brésil, au Burkina Faso, au Burundi, en Bolivie, au Brésil, au Mali, au Maroc, en Palestine, aux Philippines, en RD Congo et au Sénégal.
 

TROIS ORGANISATIONS

Viva Salud soutient le développement d'un vaste mouvement social en faveur de relations sociales, économiques et politiques justes. Pour cela, Viva Salud agit conjointement et en solidarité avec des partenaires et des réseaux qui se mobilisent pour le droit à la santé, le développement souverain et la justice sociale en Palestine, aux Philippines, en RD Congo, au niveau international et en Belgique.
KIYO fait de l’empowerment avec les enfants et les jeunes pour qu’ils puissent prendre leurs vies en charge et réaliser leurs droits. Avec ses partenaires, KIYO renforce leurs compétences à la vie et techniques. Cela leur permet d’apporter un changement individuel, sociétal et positif en tant que citoyens du monde.
Solidagro contribue à la réalisation du droit mondial à l'alimentation et l’eau en promouvant le système alimentaire agro-écologique. Dans la chaîne qui va de la production à la consommation, nous convainquons les organisations et les individus de se tourner vers l'agriculture écologique et ses produits. Nous renforçons les mouvements qui défendent l'agroécologie, et nous plaidons auprès des gouvernements pour qu'ils créent un cadre juridique et mettent en œuvre des politiques efficaces qui favorisent l'agroécologie. Nous contribuons à réduire la concentration de pouvoir dans le système alimentaire industriel, à plus de souveraineté alimentaire pour des nations et des peuples, et à accroître la justice climatique.
 

UNE APPROCHE PAR LES DROITS

Viva Salud, KIYO et Solidagro estiment que chaque développement est basé sur la réalisation de droits. Qu’il s’agisse des droits de l’enfant, du droit à la santé ou du droit à l’alimentation, ce n’est que quand les détenteurs de droits seront en mesure de pouvoir revendiquer leurs droits que les porteurs d’obligations, et en premier lieu – mais pas seulement – les autorités, rempliront, défendront et promouvront ces droits.
 

RD CONGO

L'objectif en RDC est que les partenaires se mobilisent et soient capables de mobiliser leurs réseaux et leur base sociale en vue d’améliorer les conditions de réalisation du droit à la santé et des droits de l'enfant. Viva Salud et KIYO, deux ONG belges, se partagent l’implémentation de cet objectif avec 5 partenaires locaux. Viva Salud, depuis son bureau local de Kinshasa, travaille avec 2 organisations partenaires : Etoile du Sud et le CODIC. Et KIYO, depuis son nouveau bureau local de Bukavu (Est de la RD Congo) travaille avec 3 organisations partenaires : ADED, OCET et AVREO. Les partenaires de Viva Salud sont actifs dans les provinces de Kinshasa, du Nord et du Sud-Kivu, du Haut-Katanga, de la Tshopo et du Maniema. Et les partenaires de KIYO sont actifs dans Nord et le Sud-Kivu. Pour des raisons logistiques et budgétaires, nous pensions proposer que l’évaluation terrain se déroule exclusivement dans le Nord et le Sud-Kivu. 
 

CLAUSE CORONA

La crise de la corona que nous connaissons depuis mars 2019 aura un certain impact sur les résultats de notre programme mais également sur le déroulement de ces évaluations. Nous en discuterons avec les évaluateurs/trices lorsque ceux-ci/celles-ci auront été recruté.es et analyserons avec eux les différentes possibilités et la flexibilité qui devra être nécessaire.
 

OBJECTIF DE L’ÉVALUATION FINALE

Le but de cette évaluation finale est d’apprécier les objectifs spécifiques des 11 pays dans lesquels nous sommes actifs (un pays égale un objectif spécifique dans la majorité des cas). En évaluant notre travail dans les 11 pays dans lesquels nous sommes actifs, nous pourrons apprendre de ces 5 années de travail et rendre des comptes sur les résultats obtenus pour chaque objectif spécifique sur la base des critères du CAD : pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité.
 
Dans ces Termes de Référence, nous vous proposons d’évaluer l’objectif spécifique de la RD Congo, partagé entre Viva Salud et KIYO et leurs 5 partenaires :
« Les organisations partenaires congolaises, leurs réseaux et leur base sociale se mobilisent ensemble en vue d'améliorer les conditions de réalisation du droit à la santé et des droits de l'enfant pour tous. »
 
Cet objectif est désagrégé dans les résultats suivants :
Résultat 1 : Des organisations partenaires et leurs réseaux jouent ensemble un rôle de sentinelle, basé sur des données de qualité et sur leur expertise de terrain.
Résultat 2 : Les titulaires de droits (groupes-cibles de nos partenaires) sont capables de revendiquer et défendre leurs droits individuels et collectifs.
Résultat 3 : Des structures de démocratie participatives permettent à des titulaires d'obligations et des détenteurs de droits, sans discrimination, de dialoguer et de faire des recommandations en faveur du droit à la santé et des droits de l'enfant.
Résultat 4 : Les titulaires d'obligations sont conscientisés et responsabilisés pour la promotion et le respect des droits par l'action conjointe des partenaires du programme.
Résultat 5 : Les partenaires du programme et leurs réseaux sont capables de porter les thématiques du droit à la santé et des droits de l'enfant à l'attention d'un public plus large fin d'obtenir leur soutien.
 

QUESTIONS D’ÉVALUATION

Nous aimerions que l’évaluation nous donne les réponses aux questions suivantes :
Pertinence
  1. Y a-t-il eu des changements liés au contexte/au sein de l’organisation et qui ont eu un impact négatif sur la pertinence des interventions ? Si oui, comment ont-ils été gérés ?
  2. Est-ce que les activités de nos organisations partenaires ont permis de contribuer aux changements visés à moyen terme dans la théorie du changement du pays concerné ? Les chemins de changement étaient-ils correctement choisis ?
Cohérence
  1. L’intervention du programme est-elle compatible avec les autres interventions menées au sein du pays? L’approche basée sur les droits apporte-t-elle une valeur ajoutée par rapport aux interventions dans le pays ? Les synergies et les interdépendances entre les interventions menées par le programme commun ont-elle assuré une certaine cohérence ?
Efficacité
  1. Dans quelle mesure les résultats sont-ils tous atteints et de bonne qualité ?
  2. Est-ce que l’objectif spécifique est réalisé ?
Efficience
  1. Est-ce que les moyens ont-ils été investis d’une façon proportionnelle et pertinente par rapport aux résultats atteints ?
Impact
  1. Les bénéfices reçus par les groupes cibles ont-ils eu un effet multiplicateur sur un plus grand nombre de personnes dans le secteur, la région ou le pays dans son ensemble ?
  2. Quelle est la plus-value de l’intervention du programme dans le moyen et long terme pour les groupes cibles ?
Durabilité
  1. Les conditions pour l’appropriation locale au niveau financier et social sont-elles remplies et le resteront-elles après la fin de l’intervention (durabilité sociale et financière) ? -> proposition de dissocier la question par partenaire local et/ou par partenaire belge
  2. Les partenaires disposent-ils des capacités nécessaires afin de contrôler eux-mêmes l’intervention et de poursuivre les résultats ? (transfert de connaissance/renforcement de capacités/durabilité technique)
 
Pour chaque question d’évaluation, il est attendu que le rapport final dégage :
  • des éléments d’amélioration ;
  • les bonnes pratiques/facteurs de réussite ;
  • des pistes de solutions sous forme de recommandations.
 

RAPPORT

Afin de pouvoir garantir une certaine analyse comparative des différentes évaluations, nous aimerions que toutes les évaluations suivent le template suivant :
  • une table des matières
  • une liste des abréviations
  • une synthèse de maximum 2 pages (pouvant être utilisée comme document indépendant)
  • introduction qui comprend les objectifs de l'évaluation, l'approche, les techniques utilisées et les limites de l'évaluation, le cas échéant
  • une évaluation couvrant les critères repris dans ces termes de référence (pertinence, cohérence, efficacité, efficience, impact et durabilité) et donnant clairement une réponse aux questions d'évaluation qui y sont liées
  • les leçons apprises
  • les conclusions et recommandations
  • annexes
 
Le rapport sera rédigé en français et ne pourra pas dépasser 25 pages (annexes non comprises).
 

MÉTHODOLOGIE

Nous voudrions que l’évaluateur/trice mette en place une méthode participative, tant avec les organisations partenaires que les bureaux locaux et le staff qui travaille depuis la Belgique. Il faudra tenir compte de plusieurs paramètres :
  • l’innovation : Nous serions ravis de pouvoir discuter et voir appliquer des méthodologies innovantes (telles que le Qualitative Impact Protocol, par exemple).
  • la combinaison : Il nous parait intéressant (mais pas nécessaire) de combiner certaines évaluations, telles que celle-ci avec l’évaluation des objectifs spécifiques de la Belgique et l’évaluation en mode desk study du Brésil, du Burundi et du Maroc.
  • les langues : le français pour collaborer avec l’équipe de Viva Salud et de KIYO et bien comprendre les documents liés à notre programme commun et mener l’évaluation de la RD Congo.
 
La proposition de services de l’évaluateur/trice devra prendre en compte ces différents aspects et indiquer comment il/elle compte s’y prendre.
 

PLANNING DU PROCESSUS

Timing
Etape
Février 2021
Recrutement de l’évaluateur/trice
Mars-Avril 2021
Développement de la méthodologie
Juin-Août 2021
Préparation de l’évaluation
Septembre 2021
Déroulement de l’évaluation et 1re restitution aux partenaires sur place
Octobre 2021
Rapport intermédiaire disponible et session de restitution en Belgique
Novembre 2021
Rapport final disponible
Janvier 2022
Réponse managériale disponible
 

BUDGET INDICATIF

Pour permettre à un.e évaluateur/trice externe de mener à bien cette évaluation finale, Viva Salud et KIYO disposent d’un budget de €12.000.
 
Doivent être compris dans le budget :
  • Les journées de préparation pour analyser les documents existants et rencontrer certains staffs (directeurs, coordinateurs de chaque organisation, coordinatrice du programme) ;
  • Le temps de travail pour mener l’évaluation sur le terrain ;
  • Les frais de transport international et national, les per diem et les frais de consultance pour la réalisation de l’évaluation terrain ;
  • Les briefings pré- et post-évaluations avec les gestionnaires de programme avant et après les déplacements internationaux ;
  • La rédaction d’un rapport intermédiaire, sa présentation lors d’une restitution aux staffs des 2 organisations et la rédaction d’un rapport final.
 

SOLLICITER

Les candidat.e.s intéressé.e.s sont invité.e.s à adresser leur candidature pour le 21 février 2021 au plus tard à Fanny Polet, coordinatrice du programme commun, fanny.polet@kiyo-ngo.be, composée des documents suivants :
  • un curriculum vitae ;
  • une proposition technique de 5 pages maximum décrivant l’approche méthodologique, le plan de travail et la combinaison de certaines évaluations le cas échéant ;
  • un devis détaillé ;
  • un exemple pertinent d'une évaluation antérieure réalisée par l'évaluateur ;
  • l’engagement à suivre notre code éthique (voir plus bas).
Ces documents doivent être rédigés en français (sauf l’exemple pertinent d’évaluation antérieure, qui peut être rédigé en néerlandais ou en anglais).
 
Voici la grille d’évaluation qui sera utilisée pour apprécier les offres reçues :
 
Pondération
Offre
X
Offre
Y
Offre
Z
Expérience de l'évaluateur (pertinente pour l'expertise requise pour cette évaluation)
20 points
 
 
 
Proposition calendrier et communication
15 points
 
 
 
Compréhension du contexte et des enjeux de l'évaluation
20 points
 
 
 
Prise en compte des questions d’évaluation
10 points
 
 
 
Méthode d'évaluation proposée
25 points
 
 
 
Combinaison de plusieurs évaluations
10 points
 
 
 
Total qualité
100 points
 
 
 
Prix soumis
en euro
 
 
 
 
Ces offres seront évaluées par un comité composé de la coordinatrice du programme commun, des gestionnaires de programme pour la RD Congo de KIYO et de Viva Salud en Belgique et des responsables des bureaux locaux de Viva Salud et de KIYO en RDC, qui se chargeront de faire le lien avec les organisations partenaires.
 

ANNEXES

  • La partie RD Congo du Programme commun 2017-2021 Viva Salud, KIYO et Solidagro est disponible sur simple demande via fanny.polet@kiyo-ngo.be.
  • Code éthique
L’évaluation doit être réalisée selon les exigences les plus strictes en matière d’intégrité et dans le respect des croyances, et des us et coutumes des environnements sociaux et culturels dans lesquels elle a lieu ; dans le respect des droits humains et de l’égalité des genres ; et conformément au principe "ne pas nuire", dans le cas de l’aide humanitaire. Les évaluateurs doivent respecter le droit des particuliers et des institutions de fournir des renseignements à titre confidentiel, et faire en sorte que des données qualifiées de sensibles soient protégées et ne permettent pas de remonter à leur source. Ils doivent en outre valider les déclarations présentes dans les rapports auprès de leurs auteurs. Lorsqu’ils souhaitent utiliser des informations personnelles, les évaluateurs doivent obtenir l’accord éclairé des personnes concernées. Lorsqu’une infraction ou une malfaisance est mise au jour, ce fait doit être signalé discrètement aux organes compétents (par exemple, le bureau d’audit ou d’enquête approprié).

Détails de l'annonce

Organisation : ECLOSIO
Site web : https://www.eclosio.ong
Lieu de l'emploi : Gembloux /
Type d'emploi : Contrat à durée déterminée
Type de contrat : Temps partiel
Fonction : Récolte de fonds
Date de publication : 15/02/2021
Date limite : 07/03/2021

Profil

D PROFIL RECHERCHÉ
D.1 COMPÉTENCES ET EXPÉRIENCES
 Titulaire d’un Master
 Expérience avérée dans plusieurs disciplines en lien ou connexes avec les systèmes alimentaires durables (agroécologie, santé, environnement, droit…)
 Expérience (minimum 5 ans) avérée dans les processus de gestion des savoirs et ses différentes phases : identification, déconstruction, collecte et analyse de données, co-construction, rédaction, synthèse et diffusion des produits issus de la gestion des savoirs, avec une sensibilité à l’inclusivité dans ces processus
 Excellentes capacités de coordination/facilitation et de travail en mode projet d’équipes multidisciplinaires
 Excellentes capacités de rédaction et de synthèse
 Capacité à appréhender les contextes d’action de manière systémique
 Expérience de recherche interdisciplinaire ou transdisciplinaire et/ou de recherches-actions participatives hautement souhaitée
 Capacité pédagogique et d’accompagnement de dynamiques collectives et inclusives, une pratique des techniques d’intelligence collective est vivement souhaitée
 Expérience de coopération avec des pays du Sud souhaitée
D.2 QUALITÉS
 Rigueur et souci du détail et de la qualité
 Respect des délais et sens de l’organisation
 Capacité à travailler harmonieusement en équipe
 Proactivité
 Sensibilité interculturelle et à l’équité de genre
 Adaptabilité, respect et tact
 Attitude orientée solution
 Disposer, au moment de la candidature, de la capacité légale de travailler en Belgique

Description

OFFRE D’EMPLOI
Mai 2023
CHARGÉ·E DE GESTION ET PARTAGE DES SAVOIRS (KNOWLEDGE MANAGEMENT)
A CONTEXTE
Les 4 ONG universitaires francophones de Belgique (Eclosio, FUCID, Louvain Coopération et ULB-Coopération) sont regroupées au sein du consortium Uni4Coop, en vue de renforcer leurs synergies, leurs interactions et leurs capacités d’action pour contribuer à l'atteinte des Objectifs du Développement Durable. Ensemble, elles mettent en oeuvre un vaste programme de 5 ans principalement financé par l’État belge, qui développe dans 11 pays des projets liés à l’agroécologie, à la santé et à l’éducation. L’un de ces projets est appelé l’outcome Gestion Inclusive des Savoirs (GIdS) et est intrinsèquement lié à la spécificité universitaire de ces ONG.
B “OUTCOME GIDS”
Considérer les savoirs, sous toutes leurs formes (savoirs cognitifs, compétences et attitudes), comme une richesse, les conjuguer, susciter leur émergence, faciliter leur partage et les diffuser, figurent parmi les missions d’Uni4Coop.
Uni4Coop a déjà mené de nombreuses initiatives visant à coconstruire des savoirs, à faire coexister des acteurs issus de la société civile et des chercheurs dans la recherche de solutions. Cela s’est effectué via des recherches-actions dans le domaine de la santé, des systèmes alimentaires durables, ou par l’organisation d’échanges, de colloques, ou encore par la contribution à des publications et leur diffusion. Une vaste diversité de savoirs a ainsi été utilisée pour enrichir le débat public et politique.
Uni4Coop désire amplifier ces dynamiques, les systématiser, les ancrer davantage dans ses processus et les rendre plus inclusives. En qualité de consortium d’ONG universitaires, relié à des centres de recherche et des acteurs de terrain, il entend jouer un rôle de contribution aux recherches et d’intermédiation entre les différents partenaires pour le développement mondial, en permettant à chaque savoir de s’exprimer, d’être pris en compte pour apporter sa contribution à une recherche de solution durable aux défis sociétaux.
C POSTE
Le·la chargé·e de gestion et partage des savoirs a pour mission l’atteinte de deux livrables prioritaires :
1. Analyse des transitions agroécologiques vers des systèmes alimentaires durables
La transition vers des systèmes alimentaires durables et l’impact de l’agroécologie ont été choisis comme thématiques à développer prioritairement. La personne recrutée devra assister et appuyer les démarches d’analyses transversales, d’échanges et de restitutions participatives en veillant particulièrement à l’inclusivité. Un travail d’apprentissage inter-pays devra être mené et se basera principalement sur les données collectées concernant la transition agroécologique dans les zones d’action où l’outil TAPE (développé par la FAO) se trouve au centre du dispositif, parmi d’autres outils de monitoring de l’agroécologie.
2. État des lieux des processus de GIdS
La personne recrutée aura pour mission d’inventorier et d’analyser les dispositifs de gestion inclusive des savoirs mis en oeuvre au sein des projets, notamment les recherches-actions participatives, les communautés d’apprentissages et de pratiques (CAP) et les initiatives de déconstruction des savoirs afin d’identifier des sujets novateurs pouvant faire l’objet d’une capitalisation, d’une recherche complémentaire et d’une publication.
2
Offre d’emploi GIdS
Le·la chargé·e de gestion et partage des savoirs travaillera en proche collaboration fonctionnelle avec un groupe de travail GIdS d’Uni4Coop et sous la supervision d’un référent désigné par le comité de pilotage d’Uni4Coop.
D PROFIL RECHERCHÉ
D.1 COMPÉTENCES ET EXPÉRIENCES
 Titulaire d’un Master
 Expérience avérée dans plusieurs disciplines en lien ou connexes avec les systèmes alimentaires durables (agroécologie, santé, environnement, droit…)
 Expérience (minimum 5 ans) avérée dans les processus de gestion des savoirs et ses différentes phases : identification, déconstruction, collecte et analyse de données, co-construction, rédaction, synthèse et diffusion des produits issus de la gestion des savoirs, avec une sensibilité à l’inclusivité dans ces processus
 Excellentes capacités de coordination/facilitation et de travail en mode projet d’équipes multidisciplinaires
 Excellentes capacités de rédaction et de synthèse
 Capacité à appréhender les contextes d’action de manière systémique
 Expérience de recherche interdisciplinaire ou transdisciplinaire et/ou de recherches-actions participatives hautement souhaitée
 Capacité pédagogique et d’accompagnement de dynamiques collectives et inclusives, une pratique des techniques d’intelligence collective est vivement souhaitée
 Expérience de coopération avec des pays du Sud souhaitée
D.2 QUALITÉS
 Rigueur et souci du détail et de la qualité
 Respect des délais et sens de l’organisation
 Capacité à travailler harmonieusement en équipe
 Proactivité
 Sensibilité interculturelle et à l’équité de genre
 Adaptabilité, respect et tact
 Attitude orientée solution
 Disposer, au moment de la candidature, de la capacité légale de travailler en Belgique
E CONDITIONS D’EMPLOI
 Contrat à durée déterminée (CDD) de 1 an à temps plein dans un secteur porteur de valeurs humaines en plein développement.
 Salaire brut mensuel sur base de la grille CP 329.02, en fonction du diplôme et de l’expérience reconnue.
 Lieu de travail : Poste basé au bureau d’Eclosio (Gembloux) avec présence ponctuelle dans chacune des autres ONG (Bruxelles, Louvain-la-Neuve, Namur, Liège), ainsi que des possibilités de télétravail.
 Prestations ponctuelles possibles à l’étranger dans les pays d’intervention du consortium.
F PROCESSUS DE RECRUTEMENT
Le dépôt de candidature comporte 2 éléments obligatoires :
• Réponse au formulaire en ligne: forms.office.com/e/XCTRcGduYf
• Envoi de CV + lettre de motivation + copie du diplôme à julie.simon@ulb-cooperation.org
Pour être considérées, les candidatures seront complètes.
Nous nous réservons la possibilité de ne pas répondre aux candidatures non retenues.
3
Offre d’emploi GIdS
Poste à pourvoir dès que possible. Nous analyserons les candidatures dès le 15 juin, les dossiers peuvent être déposés dès la date de publication de la présente offre. Nous clôturerons le recrutement selon les dossiers pertinents reçus.
En fonction du nombre de candidatures reçues, une épreuve écrite pourra être organisée.
Les interviews auront lieu dans les bureaux d’ULB-Coopération à Bruxelles, la semaine du 26 juin 2023 (à confirmer).
Pour tout renseignement : email uniquement svp : julie.simon@ulb-cooperation.org

Détails de l'annonce

Type d'emploi : Contrat à durée indéterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Coordination
Date de publication : 12/02/2021
Date limite : 07/03/2021

Profil

The successful candidate will balance excellent project coordination skills with strong interpersonal communication in a multicultural context, and the ability to plan, organise and implement in a cooperative manner. They will be excited by working at the cutting edge of development finance and inequality policy campaigns for transformative change, and have experience of working with advocacy-focused civil society networks or similar organisations.

Description

The Project Coordinator will be responsible for the overall coordination of an EU-funded project entitled: “Raising the voices of communities on the front-line in the fight against economic inequalities”. This project is aimed at reinforcing the global fight against inequality, with a special focus on Indonesia and the Indian states of Maharashtra and Madhya Pradesh. The project connects the national-level work to end specific cases of economic, gender and caste inequalities in Indonesia and India to the regional and global level work to end inequalities within and between countries. The role involves project coordination and implementation, as well as activities related to monitoring, evaluation, learning and reporting, network strengthening, outreach and information sharing.

  • Key contacts: Eurodad colleagues; Eurodad partners in India, Indonesia and the Philippines, Eurodad members and global allies.
  • Contract & location: Brussels-based, permanent contract. Gross annual salary range between €48,6k – €58k (incl. vouchers, holiday pay and end of year bonus), depending on skills and experience. Attractive benefits package including additional days leave, complementary Hospitalisation, Ambulatory and Dental insurance (DKV), meal, eco, gift and culture-vouchers, working from home allowance, trainings, public transport allowance, travel insurance and contribution to a complementary private pension plan.

Détails de l'annonce

Organisation : NATURE + asbl
Site web : http://www.natureplus.be
Lieu de l'emploi : Gembloux /
Fichier : File recrutement_profil_de_poste_direction_nplus_final.docx
Type d'emploi : Contrat à durée indéterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Direction
Date de publication : 12/02/2021
Date limite : 05/03/2021

Profil

Niveau de qualification requis
  • La/le candidate/candidat devra être de niveau bio-ingénieur (un Master équivalent sera considéré).
Expérience minimum requise:
  • au moins dix années d’expérience professionnelle.
  • dont au moins sept années dans le domaine de la gestion des écosystèmes forestiers tropicaux.
  • dont au moins trois années dans un poste de direction/coordination d’équipe.
Savoir-faire & compétences techniques
Indispensables :
  • excellente capacité rédactionnelle en français.
  • aptitude à la planification et à la coordination.
  • formulation, gestion et suivi de projets (y compris approche cadre logique, indicateurs de suivi et de performance, montages financiers et cofinancements, montage de partenariats institutionnels…).
  • maîtrise de l’anglais.
Une expérience en foresterie sociale et communautaire est un atout.
 
Secondaires :
  • aménagement forestier.
  • sylviculture.
  • télédétection.
  • bonne connaissance des procédures de gestion financière de l'UE et de grands bailleurs de fonds.
  • outils de management (management d’équipe, gestion financière, …).
Savoir-être
  • esprit de synthèse et structure dans le travail.
  • pragmatisme, dynamisme et proactivité.
  • sens éthique et honnêteté.
  • facilité à communiquer et à expliquer.
  • assumant sa position de direction tout en démontrant capacité d’écoute et ouverture d’esprit, orientation participative de la gestion des ressources humaines.
  • capacités de négociation et aptitude à convaincre.
  • diplomatie et capacité à évoluer au sein de cultures différentes.
Critère de disponibilité
  • Indépendamment de la nationalité, être déjà résident/résidente au sein d’un des pays de l’UE ou titulaire d’un permis de travail en Belgique afin d’être disponible pour prise de fonction au 15 juin 2021 à Gembloux (Belgique).
CONDITIONS DE TRAVAIL
Type de contrat
  • CDI à pourvoir courant du mois de juin 2021 (idéalement avant le 15 juin pour permettre 2 semaines de tuilage avec le prédécesseur et la participation à l’AG annuelle).
  • Poste à temps plein, aménagement possible d’1 jour de télétravail par semaine.
Localisation du poste & déplacements éventuels
  • Poste basé dans les locaux de Nature Plus à Gembloux, Belgique.
  • Missions régulières à l’international.
Fourchette de rémunération et autres avantages contractuels
  • En fonction des barèmes de rémunération de l’asbl établis selon l’expérience, la situation familiale et une grille cohérente avec le secteur en Belgique.
  • Participation aux frais de déplacement selon la législation du travail.
  • Participation aux frais de télétravail selon le règlement d’ordre intérieur de l’asbl.
  • Mise à disposition d’un ordinateur portable et d’un disque dur externe à des fins strictement professionnelles.
  • Droit à deux semaines de congés complémentaires (une au printemps et l’autre en fin d’année) en plus des congés légaux.
  • La fourchette sera communiquée aux candidats retenus pour l’entretien oral.
COMMENT CANDIDATER ?
Calendrier prévisionnel
  • 5 mars 2021 : Date limite d’envoi des candidatures
  • 31 mars 2021 : Fin du dépouillement et sélection pour entretien d’embauche courant avril
  • 25 avril 2021 : Notification du contrat
  • 15 juin 2021 : Prise de fonction
Dossier de candidature
Par envoi électronique uniquement, à l’adresse finance@natureplus.be
  • CV
  • Lettre de motivation
  • Au moins 2 personnes de référence joignables par téléphone ou visio
Modalité de recrutement
  • 1er round : Présélection sur base des dossiers de candidature
  • 2ème round : Entretien présentiel à Gembloux avec le président de l’asbl & épreuve écrite (sera fait à distance si les contraintes sanitaires l’imposent)
  • 3ème round : Entretien en visioconférence avec le comité de recrutement

Description

NATURE PLUS CHERCHE SON/SA DIRECTEUR/DIRECTRICE
Nature Plus est une association qui a pour but désintéressé de promouvoir la gestion durable des milieux naturels et semi-naturels, en particulier des écosystèmes forestiers tropicaux. Pour atteindre ce but, Nature Plus mène des activités de développement, de recherche et de formation dans les domaines suivants : Aménagement et gestion durable des forêts, foresterie sociale, agroforesterie, certification forestière, recherche appliquée, sylviculture, conservation et gestion de la faune, quantification de la biomasse.
Petite structure à taille humaine mais reconnue pour son excellence technique, Nature Plus est une association engagée et éthique qui porte une vision différente de la gestion des écosystèmes forestiers tropicaux. Nature Plus collabore exclusivement avec des organismes s’engageant à gérer durablement des ressources naturelles renouvelables. Nature Plus ne collabore pas avec des entreprises qui, de par la nature même de leurs activités, génèrent de manière directe ou indirecte de graves préjudices à l’environnement. Nature Plus applique à ce titre le principe de précaution et considère la politique du groupe dans son ensemble.
 
Nature Plus œuvre dans le respect des droits syndicaux et du travail, en Belgique et dans les pays d’intervention. Nature Plus ne travaille pas avec des sociétés dont l’activité même est de nature à spolier les droits fondamentaux de ses employés ou des populations locales.
 
Nature Plus cherche son/sa directeur/directrice, une personnalité dynamique, structurée et à l’esprit ouvert, qui dirigera et coordonnera les projets et l’équipe de l’asbl (pour l’instant, 4 personnes au siège,  2 assistants techniques en Afrique et des consultants occasionnels), animera les échanges et débats sur la vie et l’évolution de l’association (membres, administrateurs, employés), et assurera le développement et la représentation de l’association auprès de ses partenaires et bailleurs de fonds.
 
En travaillant sous la supervision de l’organe d’administration de l’asbl, et en contact plus régulier avec le président de l’asbl, le/la directeur/directrice travaille au quotidien avec la responsable administration finance et avec les gestionnaires de programmes et projets de l’asbl. Il/elle assume sa position de direction en équilibrant responsabilisation des membres de l’équipe et restitution de comptes à l’organe d’administration. Il/elle entretient avec toutes les composantes de l’asbl, équipe, administrateurs et membres, un esprit collaboratif pour porter la vision, la mission et l’éthique de l’association.
 
TACHES ET RESPONSABILITES
Direction des activités de l’asbl
  • Direction de l’ensemble des activités et du personnel de l’association (priorités, partage du travail, résultats/produits attendus.. ).
  • Planification d'ensemble des échéances, tâches et produits (tenue d'un outil permettant une vue d'ensemble des missions, échéances, congés... )
  • Organisation du partage d'informations et mise à jour de la planification (chaque semaine au niveau du siège, systématiquement à chaque réunion de l’organe d'administration (OA))
  • Décision et suivi financiers globaux de l'association.
  • En collaboration avec la responsable administration et finance : prévision budgétaire annuelle, suivis financiers et suivis budgétaires périodiques.
  • Décision des modes de fonctionnement et des outils de gestion, décision des options d'amélioration proposées par le personnel de l'asbl et à valider par l’OA.
  • Signatures des décisions engageant l'asbl en concertation avec l’OA.
  • Interface avec l’OA et l'AG (planification, relai des convocations demandées par l’OA, compilation des documents, participation éventuelle, prise de notes et procès-verbal sur demande de l’OA).
Direction des ressources humaines de l’asbl
  • Animation de l’équipe permanente dans un souci de bonne communication interne et d’esprit collaboratif.
  • Participation aux comités de recrutement.
  • Préparation des contrats, conventions et termes de références pour le personnel du siège ainsi que pour les consultants et collaborateurs ponctuels.
  • Arbitrage et validation des rémunérations conformément aux grilles de décision définies par l’OA.
  • Briefing du personnel nouvellement recruté par l'asbl.
  • Suivi-évaluation périodique et structuré du personnel du siège et du personnel terrain (début de contrat, annuel, fin de contrat).
  • Validation des congés pour le personnel du siège (sur base des informations données par la responsable administration et finances.)
  • Gestion des situations de crises (rapatriements, urgences, accidents du travail, conflits de toutes natures, etc.).
Développement stratégique et prospection
  • Coordination/animation de la communication et de la réflexion stratégique interne au niveau de l’équipe permanente (au moins 2 jours de retraite annuelle) et au niveau de l’asbl (au moins 1’atelier d’échange avec les membres lors de l’AGO).
  • Prospection et développement de nouveaux projets, contrats, conventions.
  • Réponses aux appels d'offre.
  • Rédaction de nouveaux projets / contrats / conventions de partenariat.
  • Veille pour la recherche de financements (appels à proposition, appels d'offre, cofinancements) (à mener en collaboration avec le RAF).
Communication interne et externe de l’asbl
  • Coordination de la rédaction et de la présentation du rapport d’activité annuel de l’asbl pour l’AG.
  • Mise en ligne sur le site de l’asbl des rapports d’activités, fiches projets et livrables projets pertinents.
  • Contribution, relecture et validation des supports de communication de l'asbl.
  • Coordination et supervision de la mise à jour du site web.
Supervision technique
  • Supervision technique des projets et contrats.
  • Coordination du suivi technique des projets par l’équipe permanente.
  • Contrôle-qualité des documents et réalisations des travailleurs et experts contractés par l'asbl.
  • Chargé du suivi technique direct de projets définis en concertation avec l’OA.
  • Missions d'appui et de suivi régulières sur le terrain, y compris à l’international.
  • Veille technique en collaboration avec les équipes et les partenaires scientifiques de l'asbl.
Relations extérieures et représentation
  • Responsable du contact avec les partenaires et les bailleurs.
  • Représentation de l'asbl au sein des comités de pilotage des projets.
  • Représentation de l'asbl lors de rencontres professionnelles, conférences, etc.
  • Développement et entretien des relations institutionnelles au niveau des antennes de Nature Plus.
 

Détails de l'annonce

Organisation : Défi Belgique Afrique
Site web : http://www.ongdba.org
Lieu de l'emploi : Bruxelles /
Fichier : PDF icon dba_tdr_prog_dgd_2022-2026.pdf
Type d'emploi : Autre
Type de contrat : Autre
Fonction : Expertise/recherche
Date de publication : 12/02/2021
Date limite : 01/03/2021

Profil

Contenu, méthodologie et profil

La consultance permettra un approfondissement de la stratégie de DBA pour 2022-2026 afin d’articuler et de valider ensemble, pour le Volet Belgique : 

  • le cadre logique
  • la théorie du changement (TOC) revisitée
  • l’inclusion des objectifs de développement durable (ODD)
  • l’intégration des thématiques transversales
  • les innovations en ECMS concernant le public cible

Pour lui permettre de réaliser son travail, le/la consultant·e s’entretiendra régulièrement avec le comité de pilotage (composé de membres du conseil d’administration, de l’équipe bénévole et de l’équipe permanente de DBA) qui supervise l’écriture du programme.

Voici également une liste non exhaustive des documents qui seront mis à disposition du/de la consultant·e :

  • les notes stratégiques des différents ateliers de l’équipe permanente, du conseil d’administration et de l’équipe bénévole portant sur la stratégie DBA ;
  • le schéma de présentation d’un programme DGD (guideline pour les programmes 2022-2026) ;
  • le guide pour l’élaboration et l’utilisation de la TOC (Theory Of Change) ;
  • le programme DGD de DBA en cours, à savoir : PADCE XXII 2017-2021 ;
  • les rapports annuels (techniques et financiers) PADCE XXII 2017-2021 ;
  • les évaluations à mi-parcours PADCE 2017-2021 ;
  • le dossier d’agrément de DBA comme Organisation de Jeunesse 2021-2024 ;
  • etc.

Le profil du/de la consultant·e :

  • Disposer d’une expertise et de bonnes connaissances des enjeux liés à l’Education à la Citoyenneté Mondiale et Solidaire (ECMS)
  • Disposer d’une expertise et expérience avec les exigences, les règles de financement et guidelines générales d’un programme DGD ;
  • Avoir déjà accompagné des structures (ONG) dans la préparation et élaboration de programmes DGD ;
  • Parfaite maîtrise du français ;
  • Être disponible de début mars à fin mai 2021

Timing, pilotage et livrables attendus

La consultance sera menée entre mars et mai 2021.

Plan indicatif du processus :

Description

Echéance

Recrutement du/de la consultant.e

10 mars 2021

Préparation de la mission d’accompagnement (3 jours) :

- Passer en revue les termes de la collaboration, signer la convention

- Organiser une réunion de démarrage (méthodologie, personnes à rencontrer, etc.)

- Analyse documentaire (DBA, DGD et autres)

- Rencontre des membres du comité de pilotage et collaborateurs·rices de DBA

- Elaboration d’un rapport de démarrage

mars 2021

Sessions de travail/ateliers

- Organiser des sessions de travail avec des membres du comité de pilotage et l’équipe permanente et l’équipe bénévoles (2 jours)

- Elaboration et soumission des recommandations principales (1 jour)

- Suite des sessions de travail/atelier sous forme d’accompagnement pour la concrétisation des réflexions et recommandations (3-4 jours)

mars et avril 2021

Produit final

- Soumission du récapitulatif des recommandations qui ont été proposées tout au long des sessions de travail (1,5 jour)

- Organiser une réunion de restitution finale avec le comité de pilotage et l’équipe permanente (0,5 jour)

mai 2021

La durée de l’accompagnement/consultance est estimée à environ 12 jours de travail, avec des variations possibles dans la répartition proposée ci-dessus.

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Candidatures

Les candidat.e.s intéressé.e.s sont invité.e.s à adresser leur candidature pour le 1er mars 2021 au plus tard à Jacqueline Schulte (jacqueline@ongdba.org), coordinatrice de DBA, composée des documents suivants :

  • Une note de compréhension du cahier des charges (max 3 pages)
  • Une proposition de méthodologie détaillée (max 5 pages)
  • Un CV du/de la consultant.e
  • Un tableau détaillé des coûts liés à la consultance en Euros TTC.

Toute information additionnelle peut également être obtenue auprès de Jacqueline Schulte.

Site internet de DBA : www.ongdba.org

Description

Contexte du programme

Description de l’organisation

Défi Belgique Afrique (DBA) est une asbl belge, créée en 1987, reconnue comme organisation non gouvernementale (ONG) et agréée organisation de jeunesse (OJ), dont la mission consiste à :

Participer à l’émergence et la consolidation d’une conscience citoyenne auprès de la jeunesse et renforcer son engagement individuel et collectif en faveur d’un monde équitable, solidaire et durable, mais aussi contribuer, avec d’autres, à en faire une priorité des acteurs de l’éducation.

Soutenir les familles dont la principale activité est l’agriculture (exploitations familiales) afin qu’elles améliorent leurs conditions de vie, et assurer la transition vers des systèmes alimentaires durables ayant un impact économique, social et environnemental positif sur le long terme pour les agriculteurs-trices et pour les consommateurs-trices.

Description du programme

Pour remplir ces missions, DBA met en œuvre différents programmes et projets, parmi lesquels le programme PADCE XXI (Programme de Promotion d’une Agriculture Durable et d’une Citoyenneté Engagée au XXIème siècle), mis en œuvre par DBA avec le co-financement de la DGD sur la période 2017-2021. Ce programme se décline sous forme de deux outcomes, un en Belgique et un deuxième au Bénin.

DBA prépare l’écriture d’un nouveau programme quinquennal à soumettre à la DGD pour la période 2022-2026.

Le programme se composera de 3 outcomes : un outcome Belgique, un outcome Bénin et le troisième outcome Burkina Faso.

Le volet Belgique vise à renforcer la conscientisation et l’engagement des jeunes adolescents de Belgique âgés de 15 à 18 ans, individuellement ou collectivement, en faveur d’un monde équitable, solidaire et durable et d’un meilleur vivre ensemble.

Ce programme s’inscrit dans la continuité de nos précédentes interventions et veut proposer aussi des évolutions/innovations liées au contexte actuel, à savoir de nombreux enjeux sociétaux et la crise sanitaire. Nous intégrerons et voulons approfondir certains de ces enjeux qui touchent particulièrement les jeunes, à savoir l’urgence climatique, l’approche genre et la diversité, qui sont les thématiques transversales du CSC Belgique. L’intégration des ODD dans ce programme sera également prioritaire, principalement les ODD 4, 5, 10, et 12. Enfin, la volonté de donner plus largement accès à l’ECMS, en ligne avec la valeur universelle Leave no one behind pour s’assurer que l’offre des formations en ECMS et séjours d’immersion soient accessibles à un plus grand nombre de jeunes devra être développée, entre autres s’articuler via de nouveaux partenariats (et renforcer les existants) et collaborations en Belgique et dans nos 6 pays partenaires africains.

Les bénévoles de l’association (âgé·e·s de 16 à 25 ans), bénéficiaires au sein de l’association d’un programme de formation visant à renforcer leurs capacités et compétences et à ce titre également groupe cible, sont un pilier dans la formation des jeunes participant·e·s, au cœur d’une pédagogie d’apprentissage par les pairs. Pour le programme 2022-2026, DBA cherche à renforcer la fidélisation des bénévoles, au travers du renforcement de la pédagogie active, un travail plus horizontal et de co-construction.

Objectif de la consultance

L’objectif de cette consultance est d’accompagner l’équipe de DBA dans la consolidation et l’écriture des orientations programmatiques pour le Volet Belgique, au travers d’un travail sur la TOC (theory of change) revisitée, de l’élaboration d’un nouveau cadre logique avec des indicateurs pertinents, en assurant le lien avec les ODD et en conformité avec le cadrage DGD, selon son schéma de présentation et en ligne avec l’arrêté royal du 11 septembre 2016.

Plus précisément :

  • accompagner les membres de DBA dans leur écriture du programme du Volet Belgique, pour aboutir à la finalisation de :   
    • la théorie du changement
    • le cadre logique
    • l’intégration des ODD et de la valeur universelle Leave no one behind et l’accès d’un public plus large à l’ECMS
    • l’intégration des thématiques transversales
    • les partenariats
  • organiser des sessions et ateliers pour les membres de DBA de sorte à faire émerger les innovations sur :
    • la pédagogie active avec l’équipe bénévole
    • l’adaptation de la forme du séjour d’immersion (en Afrique, en Belgique)
    • l’adaptation au contexte actuel (sanitaire, climatique)

Détails de l'annonce

Organisation : MEMISA
Site web : http://www.memisa.be
Lieu de l'emploi : Bruxelles /
Type d'emploi : Stage
Type de contrat : Temps partiel
Fonction : Communication
Date de publication : 11/02/2021
Date limite : 12/03/2021

Profil

voir ci-dessous

Description

STAGIAIRE pour le Service Communication et récolte de fonds

Memisa est une ONG belge active dans la coopération médicale au développement. La mission de Memisa est d’améliorer l’accès aux soins de santé de qualité pour tous, et en particulier pour les plus vulnérables. La stratégie vise le renforcement des systèmes de santé périphériques. En ce moment nous sommes actifs en RD du Congo, au Burundi, au Bénin, en Guinée, en Mauritanie et en Inde. En Belgique, Memisa intervient dans la sensibilisation pour la citoyenneté mondiale et au sujet des inégalités d’accès aux soins de santé en vue de renforcer la solidarité internationale.

 

 STAGIAIRE(S) (H/F/X)

Nous recherchons un.e stagiaire pour le Service Communication et Récolte de fonds au sein du Département Development :

  1.  Objectifs du stage

 

Vous effectuerez un certain nombre de tâches administratives liées à l’organisation d’évènements et vous serez également en relation avec les donateurs.

Sous la supervision de votre maître de stage, vous aurez la liberté d'ajouter votre propre créativité et vos idées innovantes à notre organisation.

 

  1. Responsabilités

 

Campagne Mamans pour la vie :

  • Aider à l’organisation des shootings photos ;
  • Participer et animer les shootings photo (week-end) ;
  • Répondre aux demandes des participants par téléphone ou par mail ;

 

Relation avec les donateurs :

- Contacts téléphoniques avec les donateurs

- Enquêtes pour améliorer la communication de Memisa avec les donateurs

 

Travail administratif :

  • Mise à jour des fichiers de contacts
  • Préparation de notre campagne d'été

Profil

  • Adhésion à la vision, aux valeurs (Solidarité, Responsabilité et Egalité) et la mission de Memisa
  • Autonomie, rigueur, esprit d’initiative, dynamique, enthousiaste, esprit créatif
  • Capacité rédactionnelle, à l’aise à l’oral face au public
  • Discrétion, confidentialité
  • Maîtrise de l’outil informatique
  • Flexibilité, sens des responsabilités
  • Bilingue (N/F) ou francophone avec une bonne connaissance du Néerlandais

Si vous êtes intéressé.e, vous pouvez envoyer votre lettre de motivation et votre CV à internship@memisa.be avec « Stagiaire communication et récolte de fonds » dans l’objet de l’e-mail.

Memisa vous offre :

- un stage stimulant et varié de minimum 3 jours par semaine pour une durée de minimum 7 semaines ;

- une première expérience dans le secteur de la Coopération au développement ;

- un cadre dynamique ;

- une intervention totale dans les frais de transport ;

- une indemnité forfaitaire journalière de 6,91€ pour frais de repas.

Vos données seront traitées de manière strictement confidentielle par les personnes impliquées dans le processus de recrutement. Ces données seront conservées pour une durée maximale de 12 mois.

Détails de l'annonce

Organisation : Viva Salud
Site web : http://www.vivasalud.be
Lieu de l'emploi : Bruxelles /
Type d'emploi : Contrat à durée indéterminée
Type de contrat : Temps plein
Fonction : Gestion financière
Date de publication : 10/02/2021
Date limite : 01/03/2021

Profil

  • Vous êtes titulaire d'un master dans un domaine pertinent
  • Vous avez au moins 3 ans d'expérience pertinente
  • Vous aimez les contacts et êtes sociable
  • Vous êtes flexible, critique, analytique, précis ou précises, avide d’apprendre
  • Vous pouvez travailler tant de manière indépendante qu’en équipe
  • Vous êtes impliqué ou impliquée et avez un comportement engagé
  • Vous n’avez pas peur de prendre des responsabilités et vous travaillez de façon planifiée, axée sur les résultats
  • Vous avez les connaissances informatiques nécessaires : Excel, Word, E-mail, logiciel comptable
  • Vous vous exprimez couramment en français, néerlandais et anglais (écrit et parlé).
  • La solidarité internationale vous tient à cœur
  • Vous vous sentez proche de la vision et de la mission de Viva Salud

Offre

  • Travail à 80% ou plein temps
  • Possibilité d’intégrer la fonction immédiatement
  • Vous rejoindrez une équipe enthousiaste, un environnement de travail flexible et stimulant, avec de l’espace pour réaliser des idées créatives dans un cadre international
  • Possibilités de formations
  • Possibilité de télétravail partiel
  • Salaire et conditions de travail B1c suivant PC 329.01
  • Remboursement complet des frais de déplacement domicile-travail

Cet offre vous intéresse ?

Envoyez votre lettre de motivation et votre CV à anuschka@vivasalud.be avant le 28 février 2021.

Description

Qui sommes-nous ?

Viva Salud est une ONG qui agit en faveur du droit à la santé et de la souveraineté. Nous soutenons le développement de mouvements sociaux forts qui organisent et mobilisent les gens en faveur du droit à la santé aux Philippines, en Palestine, en République démocratique du Congo, à Cuba et ailleurs. En Belgique, Viva Salud soutient leur lutte politique à travers des actions, des campagnes et du travail de réseau au niveau international. Grâce aux mouvements sociaux, nous souhaitons mobiliser les gens pour que les politiques belges et européennes s'opposent à l’exploitation et l’oppression et promeuvent le droit à la santé à l’échelle internationale.

Description des tâches

Les tâches attribuées à la gestion de programme et au finance sont les suivantes :

Finance :

  • Assistance à l’administration financière et générale de l’organisation
  • Suivi financier et audit des rapports des organisations partenaires
  • Renforcement des capacités, amélioration de la qualité et soutien des processus financiers

Gestion de programme :

  • Suivi de l'analyse et de la gestion des risques
  • Préparation et suivi des dossiers de subvention

Votre place dans l'organigramme

Vous rendrez compte au coordinateur financier et administratif ainsi qu’à la coordinatrice gestion de programme & qualité.

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