La réduction de la diminution d’impôt des dons pénalisera la générosité des belges et des milliers de bénéficiaires
- Créé par Lawrence PIETERS
- Le 13/03/2025
- Dans
Aux côtés de près de 500 signataires issu·es du monde associatif et de la Coalition Impact, nous demandons au gouvernement "Arizona" de revoir son projet de faire passer la réduction fiscale accordée aux dons de 45 % à 30 %. Ce choix menace 2500 associations et fondations qui dépendent de la solidarité des citoyennes et citoyens pour mener leurs actions au service de milliers de bénéficiaires et du bien commun.
Dans une carte blanche parue aujourd'hui dans La Libre, près de 500 signataires issu·es du monde associatif demandent au gouvernement "Arizona" de revoir son projet de faire passer la réduction fiscale accordée aux dons de 45 % à 30 %. Ce choix menace 2500 associations et fondations qui dépendent de la solidarité des citoyennes et citoyens pour mener leurs actions au service de l'intérêt général tels que des services d'urgence, du soutien aux personnes âgées, des actions contre la pauvreté, en faveur de l'environnement et bien plus encore.
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Plus d'un million de belges soutiennent 2500 associations
Aujourd’hui, une intention de la coalition gouvernementale “Arizona” ébranle une partie essentielle de notre tissu social : la générosité des Belges et les nombreuses associations qui en bénéficient. À la page 40 de l’accord de gouvernement, un changement majeur est annoncé : la diminution d’impôt accordée aux dons devrait passer de 45% à 30%. Une diminution qui, d’après les déclarations dans le parlement, est déjà le fruit d’un compromis. Ce compromis menace la vitalité de 2500 associations et fondations qui dépendent pour partie de la solidarité des citoyennes et citoyens pour mener leurs actions au service de l’intérêt général.
La Belgique a toujours été un modèle de générosité. La solidarité citoyenne se déploie à travers un secteur associatif vaste et varié, qui touche à une multitude de domaines essentiels. Cela va des organisations comme l’Institut de médecine tropicale, qui travaille sur des maladies infectieuses à l’échelle mondiale, en passant par des acteurs comme la Fondation contre le Cancer qui soutient la recherche scientifique sur le cancer jusqu’à d’autres associations comme les Restos du Cœur, la Croix-Rouge, Amnesty International, diverses associations pour la protection de la nature et l’environnement, et de nombreuses ONG à une multitude de fondations philanthropiques et associations caritatives de taille plus ou moins importante.
C’est ainsi que l’engagement financier de plus d’un million de ménages belges soutient des causes aussi diverses que la protection des animaux, la recherche scientifique sur des maladies, la protection des droits humains, la santé, l’inclusion sociale, la solidarité internationale, ou encore l’aide aux plus démunis. Ces associations et fondations sont le reflet d’une société qui choisit de s’unir pour améliorer le bien-être collectif.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2023, les Belges ont fait pour un total de 362 millions d’euros des dons de plus de 40 euro à des associations. Une générosité qui a doublé en dix ans. En 2013, les dons représentaient environ 175 millions d’euros. Cette mesure va toucher directement 1,04 million de ménages belges qui donnent en moyenne plus de 350 euros par an à 2500 associations ou fondations, qui sont soit désignées par la loi soit bénéficiant de l’agrément fiscal. Cet élan de générosité a toujours été soutenu par des politiques publiques comme la diminution d’impôt, qui a par ailleurs permis une mobilisation plus forte pendant la crise du COVID-19, avec un taux de 60%, le gouvernement d’alors souhaitant inciter les citoyennes et citoyens belges à contribuer davantage face à l’urgence.
Une économie de bout de chandelle
Aujourd’hui, cependant, le gouvernement opte pour une réduction de cette incitation fiscale, de 45% à 30%. Ce changement ne va pas rapporter tant que cela au budget de l’Etat. Selon les dires du ministre Jambon à la Chambre, l’économie réalisée représenterait 40,26 millions d’euros par an sur des économies budgétaires à réaliser de plusieurs milliards. Une économie de bout de chandelle, donc, pour les budgets publics : elle aura par contre des conséquences dramatiques pour plus de 2500 associations et fondations, et surtout les bénéficiaires de nos actions. Derrière chaque don, il y a des vies, des recherches scientifiques essentielles, des projets de prévention et de soin, des combats pour les droits humains, des initiatives d’insertion sociale, des services d’urgence, des soutiens aux personnes âgées, des programmes éducatifs, des actions contre la pauvreté, en faveur de l’environnement, et bien plus encore.
Cette diminution de la réduction fiscale ne touche pas seulement les associations de grande taille, mais également des structures plus petites, souvent locales, gérées par des bénévoles, qui rendent des services de proximité essentiels. Cette mesure menace donc un écosystème de solidarité d’une richesse incomparable, où chaque organisation, quelle que soit sa taille, joue un rôle crucial dans le tissu social du pays.
Le message que cette mesure envoie aux citoyennes et citoyens est profondément inquiétant : au lieu de valoriser la générosité et l’engagement, on l’entrave, comme si l’effort collectif et la solidarité étaient des éléments secondaires.
C’est pourquoi, en tant que secteur associatif unifié, nous demandons instamment au gouvernement de revoir cette intention. Derrière chaque don se cache une cause importante, qu’il s’agisse de soigner, d’éduquer, de protéger ou d’aider. Ces actions ne peuvent pas être mises en péril sous prétexte d’une économie qui, au final, s’avère fort minime par rapport aux bénéfices sociaux qu’elle génère.
Soutenir la solidarité
Soutenir la solidarité est un acte essentiel dans un monde incertain. Nous appelons donc à un geste constructif : maintenir une diminution d’impôt suffisante pour encourager la générosité des ménages belges et garantir la pérennité des services essentiels fournis par les associations. Ce geste, nous en sommes convaincus, est essentiel et est un pari sur un avenir plus solidaire, inclusif et humain.
Avec le rapport FOCUS 2024, ACODEV met en lumière la contribution indispensable de la société civile à la solidarité internationale et à la coopération belge, mais aussi ses réalités et ses enjeux.
Pour la troisième année consécutive, ACODEV publie son rapport FOCUS. Ce rapport a pour but d’illustrer l’action des organisations de la société civile (OSC) belges actives dans la solidarité internationale à travers une carte d’identité du secteur, un focus géographique et un focus thématique liés à l’actualité et aux enjeux du moment de notre secteur.
C’est ainsi que notre focus géographique est consacré à la Palestine où, face à une crise humanitaire sans précédent, les OSC belges, leurs partenaires locaux et leurs personnels ont poursuivi leurs actions de solidarité afin de soutenir les civil·es, tout en œuvrant à la paix et à une résolution du conflit.
Notre focus thématique s’intéresse quant à lui au rôle et aux initiatives des OSC et de leurs partenaires locaux pour des projets de Digital for Development (D4D) inclusifs et qui contribuent au développement durable.
Téléchargez le rapport FOCUS et découvrez des projets, des chiffres et des succès concrets des OSC belges qui contribuent à réduire les inégalités et à changer la vie quotidienne de milliers de personnes dans les pays partenaires de la Belgique !
De faux négociateurs installés au centre d’une bulle géante, symbolisant le danger de s’isoler dans un monde interconnecté: ce 12 décembre, les coupoles et fédérations d'OSC menaient une action symbolique pour rappeler au futur gouvernement l'importance d'investir dans la coopération au développement. Car les crises économiques, sanitaires et climatiques ne s'arrêtent pas à nos frontières !
Ce jeudi 12 décembre, les coupoles et fédérations d'OSC étaient à deux pas de la Rue de la Loi pour rappeler aux partis qui négocient la formation du futur gouvernement belge que dans un monde de plus en plus interconnecté, des coupes budgétaires dans le secteur de la coopération au développement auraient des effets dramatiques.
De faux négociateurs étaient installés au centre d’une bulle géante, symbolisant le danger de s’isoler dans ce monde interconnecté et frappé par des crises économiques, climatiques et sanitaires de plus en plus sévères. Les virus, les gaz à effet de serre, les conséquences de conflits à l'étranger, etc. ne s'arrêtent pas à nos frontières !
Investir dans la Coopération internationale, ce n'est pas seulement une question de justice et de solidarité. C'est aussi dans l'intérêt d'absolument tout le monde. C'est pourquoi nous appelons le futur gouvernement fédéral belge à non pas couper dans le budget de la Coopération au développement, mais l'augmenter !
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La Coopération internationale, solution indispensable dans un monde interconnecté
- Créé par Lawrence PIETERS
- Le 06/12/2024
- Dans
L’appel de 120 personnalités belges à l’Arizona pour protéger la coopération internationale.
Plus de 120 personnalités belges, flamandes et francophones, issues des différents secteurs de la société belge (chef·fes d’entreprises, académiques dont les recteurs et rectrices de toutes les universités belges, responsables des syndicats, mutuelles et organisations de la société civile, acteurs culturels) appellent les partis qui négocient l’accord du futur gouvernement belge à investir dans le budget de la coopération au développement dans une carte blanche publiée dans Le Soir et De Morgen.
La qualité de la Coopération belge au développement est reconnue à travers le monde. En concentrant ses efforts dans les pays les plus vulnérables et dans des secteurs clés tels que la santé, l’éducation, la souveraineté alimentaire, l’égalité des genres et l’aide humanitaire, la Belgique fait une différence concrète pour des millions de personnes.
Cependant, la Belgique ne remplit pas ses objectifs en matière de quantité de l’aide au développement. Alors que l’engagement international est clair – atteindre 0,7 % du revenu national brut (RNB) d’ici 2030 dans le cadre des Objectifs de développement durable des Nations Unies – l’aide belge ne représente actuellement que 0,44 % du RNB, en dessous de la moyenne européenne. Tous nos pays voisins, sans exception, y consacrent une part plus importante de leurs richesses.
Face aux défis globaux croissants, du dérèglement climatique à la montée des inégalités, en passant par les pandémies et les conflits, il est évident que renforcer la coopération internationale est une nécessité, non un choix. Une aide suffisante et efficace renforce la stabilité, prévient les crises futures et est un instrument unique pour lutter contre la pauvreté dans les pays à faible revenu.
La Coopération belge n’est pas seulement un acte de solidarité, c’est un investissement dans notre stabilité mondiale. Dans un monde interdépendant, ce qui affecte les autres finit par nous affecter. Les inondations liées au dérèglement climatique, la pandémie mondiale, et l’impact de la guerre sur nos factures énergétiques nous montrent à quel point nous sommes toutes et tous interconnectés. Ainsi, la Coopération au développement contribue à stabiliser les régions les plus fragiles, réduisant les risques d’effets « boomerang » des crises. En outre, elle contribue au développement économique durable dans les pays partenaires, contribuant ainsi à une prospérité partagée. La solidarité internationale favorise également l’État de droit, la protection des droits de l’homme et la lutte contre la corruption, autant de conditions préalables essentielles au développement durable.
Bien sûr, l’aide dans des contextes complexes présente des défis et améliorer son efficacité doit être une priorité. Les études d’impact démontrent que la Coopération au développement a bel et bien un impact tangible : réduction de la pauvreté, augmentation de l’accès à l’éducation, amélioration de l’espérance de vie et des systèmes de santé, prévention des conflits. Chaque euro investi dans la prévention des conflits permet d’en économiser seize par la suite, selon l’OCDE – un retour sur investissement indéniable. De même, selon des chercheurs des universités de Princeton et Duke, investir dans la prévention d’une nouvelle pandémie coûterait 500 fois moins cher que de devoir la gérer a posteriori. Des engagements financiers qui doivent être renforcés par la mise en place de politiques cohérentes dans des domaines comme le climat, le commerce ou les migrations internationales. Et ce, afin que tous nos efforts convergent vers l’atteinte des Objectifs de développement durable, à la fois en Belgique et ailleurs dans le monde.
Nous appelons donc les partis qui vont constituer le futur gouvernement fédéral à investir dans le budget de la coopération au développement, tant sur le plan qualitatif que quantitatif. Car investir dans la coopération internationale aujourd’hui, c’est préparer un avenir meilleur pour toutes et tous, dans le monde entier, y compris chez nous.
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Signataires | |
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Aerts Yannick | CEO de Fruit at work |
Aerts Jacobs Yves | Coordinateur général de Cavaria |
André Emmanuel | médecin microbiologiste à l’UZ Leuven |
Biscop Sven | Professeur à l’UGent |
Bittencourt Carla | Professeur à l’UMons |
Bodson Thierry | Président de la FGTB |
Bols Peter | Doyen de la Faculté des sciences pharmaceutiques, biomédicales et vétérinaires de l’UAntwerpen, administrateur de VLIRUOS |
Bostyn Fréderic | CEO de The Nutty Farmer |
Boverie Michèle | Secrétaire générale de l’Union des Villes et Communes wallonnes |
Brenez Xavier | Directeur général des Mutualités Libres |
Brihaye Thomas | Professeur à l’UMons |
Castiaux Annick | Rectrice de l’UNamur |
Charlier Adelaïde | Cofondatrice du mouvement Youth for Climate |
Claes Kathleen | CEO de Java Koffie |
Coenen Stijn | Directeur de Thomas More, administrateur de VLIRUOS |
Coheur Alain | Directeur des Affaires européennes et internationales chez Solidaris |
Colmant Bruno | Finance Manager chez Médecins du Monde |
Colruyt Piet | Fondateur de Impact House |
Compagnie Isabelle | Cheffe du Service Europe/International de l’Union des Villes et Communes wallonnes |
Copers Caroline | Secrétaire générale de la FGTB flamande |
Coppens Bruno | humoriste |
Cuypers Ann | Professeure à l’UHasselt, administratrice de VLIRUOS |
Danckaert Jan | Recteur de la VUB et Président du VLIR |
De Belder Paul | Président de Aan De IJzer |
de Brabandere Luc | philosophe d’entreprise |
de Callataÿ Etienne | Co-fondateur d’ORCADIA Asset Management |
De Grelle Vincent | Co-fondateur et CEO d’Ethiquable |
De Koster Koen | Chef de la Stratégie et des Opérations chez VLIRUOS |
De Maeyer Katrien | Directrice de De Ambrassade |
De Schutter Olivier | Rapporteur spécial de l’ONU sur l’extrême pauvreté et les droits humains |
De Wachter Dirk | psychiatre à la KULeuven |
Debeuckelaere Willem | Président de l’August Vermeylenfonds vzw |
Degerickx Heidi | Coordinatrice générale du Netwerk tegen Armoede |
Dehombreux Pierre | Professeur et Chef de service de la Faculté polytechnique de l’UMons |
Del Re Valerie | Executive Director de Greenpeace Belgique |
Delfosse Charlotte | CEO de Bel&Bo |
Monseigneur Delville Jean-Pierre | Evêque référendaire pour la coopération internationale |
Deman Jo | Coordinateur général des Scouts et Guides de Flandre |
Derroitte Elise | Vice-présidente des Mutualités Chrétiennes |
Dessoy Philippe | Directeur Général de Besix |
Devisch Ignaas | Professeur de philosophie médicale et d’éthique à l’UGent |
Domb Eric | CEO de Pairi Daiza et ex-président de l’Union wallonne des entreprises |
Dubois Philippe | Recteur de l’UMons |
Duez Pierre | Professeur au Service de Chimie thérapeutique et de pharmacognosie de l’UMons |
Englert Yvon | Président du Conseil Wallonie-Bruxelles de la Coopération internationale |
Fadil Nadia | Professeure d’anthropologie à la KULeuven |
François Corinne | Directrice de Brulocalis |
Frederix Koen | Directeur de Fiabel |
Funcken Philippe | Directeur général de Natagora |
Galand Pierre | Président de Laïcité et Humanisme en Afrique Centrale |
Geukens Hanne | Directrice de Federatie sociaal-cultureel werk en amateurkunsten |
Gilbert Marius | Professeur à l’ULB |
Goderniaux Pascal | Professeur à la Faculté de géologie de l’UMons |
Goethals Tanguy | Directeur de la Coopération à l’ARES |
Haas Michelle | Doctorante à l’UGent |
Haenen Ken | Vice-Recteur de l’UHasselt et administrateur VLIRUOS |
Hertogen Els | Directrice générale de 11.11.11 |
Hornick Jean-Luc | Professeur à l’ULiège |
Iannello Salvatore | CEO de la Chocolaterie Galler |
Jacobs Danny | Directeur général de Bond Beter Leefmilieu |
Jaumain Serge | Conseiller à la coopération auprès de la rectrice de l’ULB |
Justaert Arnout | Directeur de NGO-Federatie |
Klimis Emmanuel | Chargé de cours à l’UCLouvain Saint-Louis Bruxelles |
Knikman Meron | Présidente du Nederlandstalige Vrouwenraad |
Kroll Pierre | Caricaturiste |
Labie Marc | Premier Vice-recteur de l’UMons |
Lambert Jean-Paul | Président de l’ARES |
Leirs Herwig | Recteur de l’UAntwerpen |
Lynen Lut | Directeur de l’Institut de Médecine Tropicale |
Mahy Christine | Secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté |
Maldague Raphaël | Directeur d’ACODEV |
Michils Marc | Président de Kom op tegen Kanker |
Moreels Réginald | Chirurgien humanitaire et ancien Ministre fédéral de la coopération au développement |
Murgia David | comédien |
Nachtergael Amandine | Cheffe de service du Laboratoire de Chimie thérapeutique et Pharmacognosie de l’UMons |
Nieuwenhuys Céline | Secrétaire générale de la Fédération des Services Sociaux |
Noesen Thierry | Fondateur et Administrateur de Belvas |
Nyssen Anne-Sophie | Rectrice de l’ULiège |
Peeters Ann | Professeure à la VUB et administratrice de VLIRUOS |
Pochet Jean-Michel | Directeur général de Louvain Coopération |
Radeur Wouter et Cabezas Loja Nicole | Représentants de l’ONU pour la jeunesse et les droits de l’enfant du Conseil flamand de la jeunesse |
Rooms Sven | Directeur Général du VVOB |
Rurashitse Dorine | Directrice Générale d’Africalia |
Schaus Annemie | Rectrice de l’ULB |
Sels Luc | Recteur de la KULeuven |
Ska Marie-Hélène | Secrétaire générale de la CSC |
Smets Françoise | Rectrice de l’UCLouvain |
Stubbers Michaëla | Head of Digital Factory de VLIRUOS |
Tamellini Jean-François | Secrétaire général de la FGTB wallonne |
Tombeur Olivier | Administrateur délégué de Myriad Print & Mail Solutions |
Totté Joris | Directeur de BIO |
Touhafi Abdellah | Professeur à la VUB et administrateur de VLIRUOS |
Truyens Gert | Président National de la CGSLB |
Ulens Miranda | Secrétaire générale de la FGTB |
Valentin Olivier | Secrétaire national de la CGSLB |
Van Craen Thomas | Managing Director de Triodos Bank Belgique |
Van de Velde Sarah | Professeure à l’UAntwerpen et administratrice de VLIRUOS |
Van de Walle Rik | Recteur de l’UGent |
Van den Neste Leen | Présidente du comité exécutif de vdk banque |
Van der Meerschen Benoît | Secrétaire général du Centre d’Action Laïque |
Van Doren Els | Nationaal Proost Chirojeugd-Vlaanderen |
Van Gorp Luc | Président des Mutualités Chrétiennes |
Monseigneur Van Hecke Lode | Bisschop referent voor de internationale samenwerking |
Van Herreweghe Mieke | Vice-Rectrice de l’UGent et vice-présidente de VLIRUOS |
Van Reybrouck David | auteur |
Van Wetter Jean | Directeur d’Enabel |
van Ypersele Jean-Pascal | Professeur à l’UCLouvain et ancien vice-président du GIEC |
Vancampenhout Karen | Professeure à la KULeuven et administratrice VLIRUOS |
Vanderkerken Karin | Vice-Rectrice de l’internationalisation de la VUB |
Vanheule Kathleen | Professeure à la Hogeschool Gent et administratrice VLIRUOS |
Vanheusden Bernard | Recteur de l’UHasselt |
Verbist Dirk | Président de Verenigde Verenigingen |
Verbrugghen Kristien | Directrice de VLIRUOS |
Verlaeckt Koen | Secrétaire général du VLIR |
Vermorgen Ann | Présidente de la CSC |
Verslype Chris | Doyen de la Faculté de médecine de la KULeuven et administrateur de VLIRUOS |
Vincent Stephan | Co-fondateur et CEO de Ethiquable |
Visée Benjamin | Président de la fédération des Scouts Baden-Powell de Belgique |
Vitry Véronique | Professeur à la Faculté polytechnique de l’UMons |
Wattiez Ruddy | Professeur et Vice-Recteur à la recherche, à l’innovation et à l’entrepreneuriat de l’UMons |
Weyembergh Anne | Vice-Rectrice aux Relations extérieures et à la coopération de l’ULB |
Wouters Peter | Président de Beweging.net |
Zacharie Arnaud | Secrétaire général du CNCD-11.11.11 |