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Plaidoyer


Aux côtés de près de 500 signataires issu·es du monde associatif et de la Coalition Impact, nous demandons au gouvernement "Arizona" de revoir son projet de faire passer la réduction fiscale accordée aux dons de 45 % à 30 %. Ce choix menace 2500 associations et fondations qui dépendent de la solidarité des citoyennes et citoyens pour mener leurs actions au service de milliers de bénéficiaires et du bien commun.

Dans une carte blanche parue aujourd'hui dans La Libre, près de 500 signataires issu·es du monde associatif demandent au gouvernement "Arizona" de revoir son projet de faire passer la réduction fiscale accordée aux dons de 45 % à 30 %. Ce choix menace 2500 associations et fondations qui dépendent de la solidarité des citoyennes et citoyens pour mener leurs actions au service de l'intérêt général tels que des services d'urgence, du soutien aux personnes âgées, des actions contre la pauvreté, en faveur de l'environnement et bien plus encore.

Nous vous invitons à partager cette carte blanche ainsi que les posts Facebook et LinkedIn !

 

Plus d'un million de belges soutiennent 2500 associations

Aujourd’hui, une intention de la coalition gouvernementale “Arizona” ébranle une partie essentielle de notre tissu social : la générosité des Belges et les nombreuses associations qui en bénéficient. À la page 40 de l’accord de gouvernement, un changement majeur est annoncé : la diminution d’impôt accordée aux dons devrait passer de 45% à 30%. Une diminution qui, d’après les déclarations dans le parlement, est déjà le fruit d’un compromis. Ce compromis menace la vitalité de 2500 associations et fondations qui dépendent pour partie de la solidarité des citoyennes et citoyens pour mener leurs actions au service de l’intérêt général.

La Belgique a toujours été un modèle de générosité. La solidarité citoyenne se déploie à travers un secteur associatif vaste et varié, qui touche à une multitude de domaines essentiels. Cela va des organisations comme l’Institut de médecine tropicale, qui travaille sur des maladies infectieuses à l’échelle mondiale, en passant par des acteurs comme la Fondation contre le Cancer qui soutient la recherche scientifique sur le cancer jusqu’à d’autres associations comme les Restos du Cœur, la Croix-Rouge, Amnesty International, diverses associations pour la protection de la nature et l’environnement, et de nombreuses ONG à une multitude de fondations philanthropiques et associations caritatives de taille plus ou moins importante.

C’est ainsi que l’engagement financier de plus d’un million de ménages belges soutient des causes aussi diverses que la protection des animaux, la recherche scientifique sur des maladies, la protection des droits humains, la santé, l’inclusion sociale, la solidarité internationale, ou encore l’aide aux plus démunis. Ces associations et fondations sont le reflet d’une société qui choisit de s’unir pour améliorer le bien-être collectif.
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : en 2023, les Belges ont fait pour un total de 362 millions d’euros des dons de plus de 40 euro à des associations. Une générosité qui a doublé en dix ans. En 2013, les dons représentaient environ 175 millions d’euros. Cette mesure va toucher directement 1,04 million de ménages belges qui donnent en moyenne plus de 350 euros par an à 2500 associations ou fondations, qui sont soit désignées par la loi soit bénéficiant de l’agrément fiscal. Cet élan de générosité a toujours été soutenu par des politiques publiques comme la diminution d’impôt, qui a par ailleurs permis une mobilisation plus forte pendant la crise du COVID-19, avec un taux de 60%, le gouvernement d’alors souhaitant inciter les citoyennes et citoyens belges à contribuer davantage face à l’urgence.

Une économie de bout de chandelle

Aujourd’hui, cependant, le gouvernement opte pour une réduction de cette incitation fiscale, de 45% à 30%. Ce changement ne va pas rapporter tant que cela au budget de l’Etat. Selon les dires du ministre Jambon à la Chambre, l’économie réalisée représenterait 40,26 millions d’euros par an sur des économies budgétaires à réaliser de plusieurs milliards. Une économie de bout de chandelle, donc, pour les budgets publics : elle aura par contre des conséquences dramatiques pour plus de 2500 associations et fondations, et surtout les bénéficiaires de nos actions. Derrière chaque don, il y a des vies, des recherches scientifiques essentielles, des projets de prévention et de soin, des combats pour les droits humains, des initiatives d’insertion sociale, des services d’urgence, des soutiens aux personnes âgées, des programmes éducatifs, des actions contre la pauvreté, en faveur de l’environnement, et bien plus encore.

Cette diminution de la réduction fiscale ne touche pas seulement les associations de grande taille, mais également des structures plus petites, souvent locales, gérées par des bénévoles, qui rendent des services de proximité essentiels. Cette mesure menace donc un écosystème de solidarité d’une richesse incomparable, où chaque organisation, quelle que soit sa taille, joue un rôle crucial dans le tissu social du pays.
Le message que cette mesure envoie aux citoyennes et citoyens est profondément inquiétant : au lieu de valoriser la générosité et l’engagement, on l’entrave, comme si l’effort collectif et la solidarité étaient des éléments secondaires.

C’est pourquoi, en tant que secteur associatif unifié, nous demandons instamment au gouvernement de revoir cette intention. Derrière chaque don se cache une cause importante, qu’il s’agisse de soigner, d’éduquer, de protéger ou d’aider. Ces actions ne peuvent pas être mises en péril sous prétexte d’une économie qui, au final, s’avère fort minime par rapport aux bénéfices sociaux qu’elle génère.

Soutenir la solidarité

Soutenir la solidarité est un acte essentiel dans un monde incertain. Nous appelons donc à un geste constructif : maintenir une diminution d’impôt suffisante pour encourager la générosité des ménages belges et garantir la pérennité des services essentiels fournis par les associations. Ce geste, nous en sommes convaincus, est essentiel et est un pari sur un avenir plus solidaire, inclusif et humain.

Découvrez le nouveau rapport FOCUS

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 12/03/2025
  3. Dans
Avec le rapport FOCUS 2024, ACODEV met en lumière la contribution indispensable de la société civile à la solidarité internationale et à la coopération belge, mais aussi ses réalités et ses enjeux.

Pour la troisième année consécutive, ACODEV publie son rapport FOCUS. Ce rapport a pour but d’illustrer l’action des organisations de la société civile (OSC) belges actives dans la solidarité internationale à travers une carte d’identité du secteur, un focus géographique et un focus thématique liés à l’actualité et aux enjeux du moment de notre secteur.

C’est ainsi que notre focus géographique est consacré à la Palestine où, face à une crise humanitaire sans précédent, les OSC belges, leurs partenaires locaux et leurs personnels ont poursuivi leurs actions de solidarité afin de soutenir les civil·es, tout en œuvrant à la paix et à une résolution du conflit.

Notre focus thématique s’intéresse quant à lui au rôle et aux initiatives des OSC et de leurs partenaires locaux pour des projets de Digital for Development (D4D) inclusifs et qui contribuent au développement durable.

 

Téléchargez le rapport FOCUS et découvrez des projets, des chiffres et des succès concrets des OSC belges qui contribuent à réduire les inégalités et à changer la vie quotidienne de milliers de personnes dans les pays partenaires de la Belgique !

La Belgique n'est pas une bulle !

  1. Créé par Lawrence PIETERS
  2. Le 12/12/2024
  3. Dans
De faux négociateurs installés au centre d’une bulle géante, symbolisant le danger de s’isoler dans un monde interconnecté: ce 12 décembre, les coupoles et fédérations d'OSC menaient une action symbolique pour rappeler au futur gouvernement l'importance d'investir dans la coopération au développement. Car les crises économiques, sanitaires et climatiques ne s'arrêtent pas à nos frontières !

Ce jeudi 12 décembre, les coupoles et fédérations d'OSC étaient à deux pas de la Rue de la Loi pour rappeler aux partis qui négocient la formation du futur gouvernement belge que dans un monde de plus en plus interconnecté, des coupes budgétaires dans le secteur de la coopération au développement auraient des effets dramatiques.

De faux négociateurs étaient installés au centre d’une bulle géante, symbolisant le danger de s’isoler dans ce monde interconnecté et frappé par des crises économiques, climatiques et sanitaires de plus en plus sévères. Les virus, les gaz à effet de serre, les conséquences de conflits à l'étranger, etc. ne s'arrêtent pas à nos frontières !

Investir dans la Coopération internationale, ce n'est pas seulement une question de justice et de solidarité. C'est aussi dans l'intérêt d'absolument tout le monde. C'est pourquoi nous appelons le futur gouvernement fédéral belge à non pas couper dans le budget de la Coopération au développement, mais l'augmenter !

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L’appel de 120 personnalités belges à l’Arizona pour protéger la coopération internationale.

Plus de 120 personnalités belges, flamandes et francophones, issues des différents secteurs de la société belge (chef·fes d’entreprises, académiques dont les recteurs et rectrices de toutes les universités belges, responsables des syndicats, mutuelles et organisations de la société civile, acteurs culturels) appellent les partis qui négocient l’accord du futur gouvernement belge à investir dans le budget de la coopération au développement dans une carte blanche publiée dans Le Soir et De Morgen.

La qualité de la Coopération belge au développement est reconnue à travers le monde. En concentrant ses efforts dans les pays les plus vulnérables et dans des secteurs clés tels que la santé, l’éducation, la souveraineté alimentaire, l’égalité des genres et l’aide humanitaire, la Belgique fait une différence concrète pour des millions de personnes.

Cependant, la Belgique ne remplit pas ses objectifs en matière de quantité de l’aide au développement. Alors que l’engagement international est clair – atteindre 0,7 % du revenu national brut (RNB) d’ici 2030 dans le cadre des Objectifs de développement durable des Nations Unies – l’aide belge ne représente actuellement que 0,44 % du RNB, en dessous de la moyenne européenne. Tous nos pays voisins, sans exception, y consacrent une part plus importante de leurs richesses.

Face aux défis globaux croissants, du dérèglement climatique à la montée des inégalités, en passant par les pandémies et les conflits, il est évident que renforcer la coopération internationale est une nécessité, non un choix. Une aide suffisante et efficace renforce la stabilité, prévient les crises futures et est un instrument unique pour lutter contre la pauvreté dans les pays à faible revenu.

La Coopération belge n’est pas seulement un acte de solidarité, c’est un investissement dans notre stabilité mondiale. Dans un monde interdépendant, ce qui affecte les autres finit par nous affecter. Les inondations liées au dérèglement climatique, la pandémie mondiale, et l’impact de la guerre sur nos factures énergétiques nous montrent à quel point nous sommes toutes et tous interconnectés. Ainsi, la Coopération au développement contribue à stabiliser les régions les plus fragiles, réduisant les risques d’effets « boomerang » des crises. En outre, elle contribue au développement économique durable dans les pays partenaires, contribuant ainsi à une prospérité partagée. La solidarité internationale favorise également l’État de droit, la protection des droits de l’homme et la lutte contre la corruption, autant de conditions préalables essentielles au développement durable.

Bien sûr, l’aide dans des contextes complexes présente des défis et améliorer son efficacité doit être une priorité. Les études d’impact démontrent que la Coopération au développement a bel et bien un impact tangible : réduction de la pauvreté, augmentation de l’accès à l’éducation, amélioration de l’espérance de vie et des systèmes de santé, prévention des conflits. Chaque euro investi dans la prévention des conflits permet d’en économiser seize par la suite, selon l’OCDE – un retour sur investissement indéniable. De même, selon des chercheurs des universités de Princeton et Duke, investir dans la prévention d’une nouvelle pandémie coûterait 500 fois moins cher que de devoir la gérer a posteriori. Des engagements financiers qui doivent être renforcés par la mise en place de politiques cohérentes dans des domaines comme le climat, le commerce ou les migrations internationales. Et ce, afin que tous nos efforts convergent vers l’atteinte des Objectifs de développement durable, à la fois en Belgique et ailleurs dans le monde.

Nous appelons donc les partis qui vont constituer le futur gouvernement fédéral à investir dans le budget de la coopération au développement, tant sur le plan qualitatif que quantitatif. Car investir dans la coopération internationale aujourd’hui, c’est préparer un avenir meilleur pour toutes et tous, dans le monde entier, y compris chez nous.

Vous voulez soutenir la diffusion de cet appel essentiel ? Partagez-le sur Facebook, Instagram, X et LinkedIn.

 

Signataires
Aerts Yannick CEO de Fruit at work
Aerts Jacobs Yves Coordinateur général de Cavaria
André Emmanuel médecin microbiologiste à l’UZ Leuven
Biscop Sven Professeur à l’UGent
Bittencourt Carla Professeur à l’UMons
Bodson Thierry Président de la FGTB
Bols Peter Doyen de la Faculté des sciences pharmaceutiques, biomédicales et vétérinaires de l’UAntwerpen, administrateur de VLIRUOS
Bostyn Fréderic CEO de The Nutty Farmer
Boverie Michèle Secrétaire générale de l’Union des Villes et Communes wallonnes
Brenez Xavier Directeur général des Mutualités Libres
Brihaye Thomas Professeur à l’UMons
Castiaux Annick Rectrice de l’UNamur
Charlier Adelaïde Cofondatrice du mouvement Youth for Climate
Claes Kathleen CEO de Java Koffie
Coenen Stijn Directeur de Thomas More, administrateur de VLIRUOS
Coheur Alain Directeur des Affaires européennes et internationales chez Solidaris
Colmant Bruno Finance Manager chez Médecins du Monde
Colruyt Piet Fondateur de Impact House
Compagnie Isabelle Cheffe du Service Europe/International de l’Union des Villes et Communes wallonnes
Copers Caroline Secrétaire générale de la FGTB flamande
Coppens Bruno humoriste
Cuypers Ann Professeure à l’UHasselt, administratrice de VLIRUOS
Danckaert Jan Recteur de la VUB et Président du VLIR
De Belder Paul Président de Aan De IJzer
de Brabandere Luc philosophe d’entreprise
de Callataÿ Etienne Co-fondateur d’ORCADIA Asset Management
De Grelle Vincent Co-fondateur et CEO d’Ethiquable
De Koster Koen Chef de la Stratégie et des Opérations chez VLIRUOS
De Maeyer Katrien Directrice de De Ambrassade
De Schutter Olivier Rapporteur spécial de l’ONU sur l’extrême pauvreté et les droits humains
De Wachter Dirk psychiatre à la KULeuven
Debeuckelaere Willem Président de l’August Vermeylenfonds vzw
Degerickx Heidi Coordinatrice générale du Netwerk tegen Armoede
Dehombreux Pierre Professeur et Chef de service de la Faculté polytechnique de l’UMons
Del Re Valerie Executive Director de Greenpeace Belgique
Delfosse Charlotte CEO de Bel&Bo
Monseigneur Delville Jean-Pierre Evêque référendaire pour la coopération internationale
Deman Jo Coordinateur général des Scouts et Guides de Flandre
Derroitte Elise Vice-présidente des Mutualités Chrétiennes
Dessoy Philippe Directeur Général de Besix
Devisch Ignaas Professeur de philosophie médicale et d’éthique à l’UGent
Domb Eric CEO de Pairi Daiza et ex-président de l’Union wallonne des entreprises
Dubois Philippe Recteur de l’UMons
Duez Pierre Professeur au Service de Chimie thérapeutique et de pharmacognosie de l’UMons
Englert Yvon Président du Conseil Wallonie-Bruxelles de la Coopération internationale
Fadil Nadia Professeure d’anthropologie à la KULeuven
François Corinne Directrice de Brulocalis
Frederix Koen Directeur de Fiabel
Funcken Philippe Directeur général de Natagora
Galand Pierre Président de Laïcité et Humanisme en Afrique Centrale
Geukens Hanne Directrice de Federatie sociaal-cultureel werk en amateurkunsten
Gilbert Marius Professeur à l’ULB
Goderniaux Pascal Professeur à la Faculté de géologie de l’UMons
Goethals Tanguy Directeur de la Coopération à l’ARES
Haas Michelle Doctorante à l’UGent
Haenen Ken Vice-Recteur de l’UHasselt et administrateur VLIRUOS
Hertogen Els Directrice générale de 11.11.11
Hornick Jean-Luc Professeur à l’ULiège
Iannello Salvatore CEO de la Chocolaterie Galler
Jacobs Danny Directeur général de Bond Beter Leefmilieu
Jaumain Serge Conseiller à la coopération auprès de la rectrice de l’ULB
Justaert Arnout Directeur de NGO-Federatie
Klimis Emmanuel Chargé de cours à l’UCLouvain Saint-Louis Bruxelles
Knikman Meron Présidente du Nederlandstalige Vrouwenraad
Kroll Pierre Caricaturiste
Labie Marc Premier Vice-recteur de l’UMons
Lambert Jean-Paul Président de l’ARES
Leirs Herwig Recteur de l’UAntwerpen
Lynen Lut Directeur de l’Institut de Médecine Tropicale
Mahy Christine Secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté
Maldague Raphaël Directeur d’ACODEV
Michils Marc Président de Kom op tegen Kanker
Moreels Réginald Chirurgien humanitaire et ancien Ministre fédéral de la coopération au développement
Murgia David comédien
Nachtergael Amandine Cheffe de service du Laboratoire de Chimie thérapeutique et Pharmacognosie de l’UMons
Nieuwenhuys Céline Secrétaire générale de la Fédération des Services Sociaux
Noesen Thierry Fondateur et Administrateur de Belvas
Nyssen Anne-Sophie Rectrice de l’ULiège
Peeters Ann Professeure à la VUB et administratrice de VLIRUOS
Pochet Jean-Michel Directeur général de Louvain Coopération
Radeur Wouter et Cabezas Loja Nicole Représentants de l’ONU pour la jeunesse et les droits de l’enfant du Conseil flamand de la jeunesse
Rooms Sven Directeur Général du VVOB
Rurashitse Dorine Directrice Générale d’Africalia
Schaus Annemie Rectrice de l’ULB
Sels Luc Recteur de la KULeuven
Ska Marie-Hélène Secrétaire générale de la CSC
Smets Françoise Rectrice de l’UCLouvain
Stubbers Michaëla Head of Digital Factory de VLIRUOS
Tamellini Jean-François Secrétaire général de la FGTB wallonne
Tombeur Olivier Administrateur délégué de Myriad Print & Mail Solutions
Totté Joris Directeur de BIO
Touhafi Abdellah Professeur à la VUB et administrateur de VLIRUOS
Truyens Gert Président National de la CGSLB
Ulens Miranda Secrétaire générale de la FGTB
Valentin Olivier Secrétaire national de la CGSLB
Van Craen Thomas Managing Director de Triodos Bank Belgique
Van de Velde Sarah Professeure à l’UAntwerpen et administratrice de VLIRUOS
Van de Walle Rik Recteur de l’UGent
Van den Neste Leen Présidente du comité exécutif de vdk banque
Van der Meerschen Benoît Secrétaire général du Centre d’Action Laïque
Van Doren Els Nationaal Proost Chirojeugd-Vlaanderen
Van Gorp Luc Président des Mutualités Chrétiennes
Monseigneur Van Hecke Lode Bisschop referent voor de internationale samenwerking
Van Herreweghe Mieke Vice-Rectrice de l’UGent et vice-présidente de VLIRUOS
Van Reybrouck David auteur
Van Wetter Jean Directeur d’Enabel
van Ypersele Jean-Pascal Professeur à l’UCLouvain et ancien vice-président du GIEC
Vancampenhout Karen Professeure à la KULeuven et administratrice VLIRUOS
Vanderkerken Karin Vice-Rectrice de l’internationalisation de la VUB
Vanheule Kathleen Professeure à la Hogeschool Gent et administratrice VLIRUOS
Vanheusden Bernard Recteur de l’UHasselt
Verbist Dirk Président de Verenigde Verenigingen
Verbrugghen Kristien Directrice de VLIRUOS
Verlaeckt Koen Secrétaire général du VLIR
Vermorgen Ann Présidente de la CSC
Verslype Chris Doyen de la Faculté de médecine de la KULeuven et administrateur de VLIRUOS
Vincent Stephan Co-fondateur et CEO de Ethiquable
Visée Benjamin Président de la fédération des Scouts Baden-Powell de Belgique
Vitry Véronique Professeur à la Faculté polytechnique de l’UMons
Wattiez Ruddy Professeur et Vice-Recteur à la recherche, à l’innovation et à l’entrepreneuriat de l’UMons
Weyembergh Anne Vice-Rectrice aux Relations extérieures et à la coopération de l’ULB
Wouters Peter Président de Beweging.net
Zacharie Arnaud Secrétaire général du CNCD-11.11.11

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