Public

Compte tenu de ce changement important, le GT coopérants des fédérations ACODEV et ngo-federatie s'est positionné

A partir de 2017, la réglementation de subsidiation des ONG par les pouvoirs publics belges ne prévoira plus de « statut » de coopérant ONG / d’expatrié. Les ONG d’envoi de coopérants qui participent au groupe de travail « coopérants » ont donc trouvé utile de réfléchir à la question de normes ou accords entre ONG à ce sujet. Ceci a fait l’objet de discussion et en définitive, il est proposé un positionnement commun. Les conseils d'administration des fédérations ACODEV et ngo-federatie ont approuvé le travail du GT.

Les grands principes affirmés par le secteur sont les suivants :

• Les ONG d’envoi d’expatriés s’engagent à mettre en œuvre des politiques RH de qualité et professionnelles
• Les ONG d’envoi d’expatriés ont chacune une politique salariale propre qui est juste et décente
• Les ONG d’envoi d’expatriés offrent une couverture sociale adéquate
• Les ONG d’envoi d’expatriés interviennent dans les coûts liés directement à l’expatriation
• Par expatrié, les ONG entendent le travailleur sous contrat de travail qui a une nationalité autre que celle du pays de travail au Sud où il s’expatrie.

Appel à signatures de l'ONG Memisa

Chaque année, 1 million d’enfants perdent leur maman à cause de complications pendant la grossesse ou l’accouchement. Memisa agit pour que les mamans d’Afrique puissent accoucher dans de meilleures conditions : avec du matériel pour les salles d’accouchement et des formations pour le personnel médical local. Cela vous heurte ? Mobilisez-vous avec Memisa en signant la pétition.

Pour signer la pétition en ligne, vous sélectionnez un bébé, vous personnalisez son visage avec une photo de vous ou de votre bébé et vous choisissez un slogan. Dès que c’est fait, votre « bébé » va rejoindre la manifestation virtuelle. Pour des accouchements sans risque en Afrique! www.bebesenaction.be

A la veille de l’été Imagine Demain le monde a co-édité un hors-série de 92 pages consacré aux festivals de musique en Belgique.

Dans une analyse fouillée de 26 pages, différents aspects sont abordés avec rigueur et distance : le sens de la fête, la programmation, les prix d’entrée, le financement public, le rôle des bénévoles, la qualité d’écoute et de sonorisation...
Dans ce n°, Imagine s’est également intéressé aux rapports entre musiques et société à l’occasion des 15 ans d’Esperanzah ! et des 40 ans du festival Le Temps des Cerises, une grand-messe folk et engagée qui, en juin 1976, avait attiré plus de 15 000 personnes à l’abbaye de Floreffe.
Quatre décennies plus tard, que reste-t-il de cet esprit libertaire et militant ? Où en est la scène folk aujourd’hui ? Que cache ce fameux concept de « world music » ? Qu’entend-on par « métissage » ?... Autant de réflexions inédites à découvrir dans ce hors-série riche en textes et en illustrations.

Ce hors-série est en vente en librairie (8,5 euros, liste de nos 530 points presse sur www.imagine-magazine.com). Tarif préférentiel pour les abonnés (5 euros) uniquement sur commande (info@imagine-magazine.com, 04-380.13.37).

Marchons ensemble pour soutenir les femmes réfugiées et migrantes et lutter contre les mesures d'austérité

Le 8 mars est une des journées internationales instituées par l'ONU pour révendiquer l'égalité entre hommes et femmes au niveau des droits (notamment le droit de vivre sans violence, le droit à l’éducation, le droit de participer à la prise de décision, le droit de recevoir un salaire égal pour un travail égal, le droit de choisir une contraception, etc). C'est aussi l'occasion de se remémmorer les luttes antérieures (droit de vote, droit d'élection, droit d'exercer un métier, etc).

C'est aussi une journée de manifestations à travers le monde.  La marche mondiale pour les femmes aura lieu à Bruxelles et révendiquera les droits des femmes réfugiées et migrantes  et les droits des femmes en situation d'austérité. Plus d'infos sur le site de la marche mondiales des femmes.

Le 8 mars n'est donc pas la journée de la "fête des femmes" dans le sens commercial du terme. Même si dans notre société de consommation, les centres commerciaux, magasins et sites en ligne la présentent de cette manière ("A l'occasion de la fête des femmes, deux rouges à lèvres pour le prix d'un", "Un mixer à moitié prix", et des roses à tout bout de champ).

• Pour plus d'infos sur cette journée consultez le site de l'ONU.